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Sto caricando le informazioni... King Leardi William Shakespeare
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PRATELEIRA EUNICE 1 LIVRO 121 A TRAGÉDIA DEFINITIVA SOBRE A VELHICE Ao chegar à velhice, Lear, rei da Bretanha, se vê obrigado a dividir seu reino. A maior desgraça para um monarca atingira-o: para protegê-lo e garantir sua sucessão, nenhum filho varão, apenas três filhas mulheres, Goneril, Regana e Cordélia. As duas primeiras são casadas, respectivamente, com o Duque da Albânia e com o Duque da Cornualha, olhos cobiçosos por sobre as terras bretãs, enquanto que Cordélia recusa-se a casar, para permanecer ao lado do pai. Mas o assédio de estranhos pelo reino não é o mal maior do qual padece o rei. A progressiva dificuldade de discernir as atitudes e os discursos daqueles que o cercam, o embotamente da percepção da sinceridade e da falsidade humana e a suspeita errônea de onde viria a traição são os males fatais para o outrora grande monarca I liked it but I’m ngl I did watch the play while reading, it helped a lot to keep a visual on the characters Edmond – C’est bien là l’excellente fatuité des hommes. Quand notre fortune est malade, souvent par suite des excès de notre propre conduite, nous faisons responsables de nos désastres le soleil, la lune et les étoiles : comme si nous étions scélérats par nécessité, imbéciles par compulsion céleste, fourbes, voleurs et traîtres par la prédominance des sphères, ivrognes, menteurs et adultères par obéissance forcée à l’influence planétaire, et coupables en tout par violence divine ! Admirable subterfuge de l’homme putassier : mettre ses instincts de bouc à la charge des étoiles ! J’ai lu cette pièce juste avant d’aller la voir jouer par la troupe de la Comédie Française dans la mise en scène de Thomas Ostermeier. Je me suis dit que j’allais attendre de voir la pièce pour écrire une note de lecture plus riche, mais maintenant que je l’ai vue, j’ai du mal à faire la part de ce que je pense de la pièce et de la mise en scène et cette note s’avère plus difficile à écrire que prévu. Je me lance tout de même… Il semble que cette pièce divise les amateurs de théâtre, certains en faisant un des chefs d’œuvre de Shakespeare, d’autres la considérant comme une œuvre mineure, voire ratée. Je suis très probablement dans le premier groupe. En effet, la lecture de cette pièce m’a happée, les personnages ne m’ont pas quitté, ni pendant le temps qu’a duré ma lecture ni depuis que je l’ai vue jouer il y a quelques jours. Le trio formé par le roi Lear et ses deux filles aînées, Goneril et Régane, est voué à la catastrophe, on le sait d’entrée. Mais voir les forces qui conduisent à cette catastrophe se mettre peu à peu en place et l’étau se resserrer sur les personnages est glaçant et fascinant. A un moment, un des personnages, Gloucester je crois, dit que « Ce que les mouches sont pour des enfants espiègles, nous le sommes pour les dieux : il nous tuent pour leur plaisir. » (Acte IV, scène 1), mais ici ce n’est pas vrai : les personnages sont bien eux-mêmes les artisans de leur propre perte. Les raisons en sont multiples, et celles que j’ai vues à la lecture diffèrent de celles que Thomas Ostermeier a mis en avant dans sa mise en scène. On peut citer pêle-mêle la difficulté de se voir vieillir, les appétits de la jeunesse, la jalousie, le pouvoir, l’amour. Ostermeier met peut-être aussi en scène une sorte de fatalisme, mais qui est plus le fait d’une société patriarcale aux codes bien établis et, même si Goneril et Régane veulent exercer le pouvoir différemment, dès qu’elles sont confrontées à des difficultés, elles ne savent réagir qu’en fonction des codes qu’elles connaissent, elles n’ont pas encore la liberté nécessaire pour inventer cette autre forme de pouvoir qu’elles appellent peut-être de leurs vœux (bon, pour être honnête, cette analyse n’est pas de moi, c’est une des comédiennes qui en parlait, bien mieux que moi d’ailleurs, dans le petit documentaire qui nous était présenté avant la représentation). Finalement, Le Roi Lear peut apparaître comme une pièce assez simple, mais elle me semble plus complexe que le premier abord peut le laisser croire, et elle se révèle finalement riche d’interprétations multiples qui se complètent plus qu’elles ne se contredisent. Et autour de ce trio très sombre, gravitent des personnages qui assombrissent encore la pièce, avec Edmond notamment, caractère détestable et faux mais ressort indispensable de l’intrigue, et d’autres qui l’égayent un peu, comme le Fou qui dit des choses graves avec détachement et Kent, qui est capable de débiter des chapelets d’injures à côté desquels le capitaine Haddock n’est qu’un enfant de chœur. Je ne sais pas pourquoi il est si facile de lire Shakespeare, mais voilà qu’encore une fois j’y prends un immense plaisir, en même temps que j’ai été captivée, que, moi qui ne suis ni dans l’âge tendre des filles de Lear et dans la décadence du Roi, je me suis identifiée tour à tour à chacun des personnages, outragée comme Lear qui perd son rang de son propre fait mais qui ne peut en supporter les conséquences, comme Goneril et Régane qui tentent d’imposer leur marque et leur pouvoir tout neuf, qui sont courtisanes quand il le faut, mais filles de leur père aussi, et qui tiraillées entre leurs devoirs divers et contradictoires, comme Goneril aussi lorsqu’elle se fait insulter par son père de la plus horrible des manières (quelle tirade que celle-là!), comme Cordélia aussi peut-être, trop fière pour dire des paroles sur commande et qui, du haut de sa fraîche jeunesse refuse les compromis. Entrée dans cette pièce sans beaucoup en savoir, j’en suis sortie secouée, et pleine des richesses d’une lecture (et d’une représentation théâtrale) magnifique. Not my favourite play, but I did read it for completeness. A king, worn down by the trammells of office, divides his domain among his children and suffers from the flaws in his parenting. He is eventually reduced to roaming the fields and assailling "Deaf heaven with his bootless cries." nessuna recensione | aggiungi una recensione
Appartiene alle Collane EditorialiCentopaginemillelire (205) — 26 altro È contenuto inElizabethan Drama in Two Volumes [set] di Charles William Eliot (indirettamente) The Harvard Classics 50 Volume Set di Charles William Eliot (indirettamente) Harvard Classics Complete Set w/ Lectures [51 Volumes] di Charles William Eliot (indirettamente) Harvard Classics Complete Set w/ Lectures and Guide [52 Volumes] di Charles William Eliot (indirettamente) Harvard Classics Five Foot Shelf of Books & Shelf of Fiction 71 Volumes including Lecture Series di Charles William Eliot (indirettamente) The Five-Foot Shelf of Books, Volume 46 di Charles William Eliot (indirettamente) The complete works of William Shakespeare : reprinted from the First Folio (volume 11 of 13) di William Shakespeare [Dramatische Werke] Shakespeare's dramatische Werke 11 König Lear. Troilus und Cressida. Ende gut, alles gut di William Shakespeare The Annotated Shakespeare: The Comedies, Histories, Sonnets and Other Poems, Tragedies and Romances Complete di William Shakespeare (indirettamente) È rinarrato inHa l'adattamentoThe Graphic Canon, Vol. 1: From the Epic of Gilgamesh to Shakespeare to Dangerous Liaisons di Russ Kick È ispirato aHa ispiratoHa come guida di riferimento/manualeHa uno studioHa come supplementoHa come commento al testoHa come guida per lo studente
King Lear, one of Shakespeare's darkest and most savage plays, tells the story of the foolish and Job-like Lear, who divides his kingdom, as he does his affections, according to vanity and whim. Lear's failure as a father engulfs himself and his world in turmoil and tragedy. Non sono state trovate descrizioni di biblioteche |
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![]() GeneriSistema Decimale Melvil (DDC)822.33Literature English & Old English literatures English drama Elizabethan 1558-1625 Shakespeare, William 1564–1616Classificazione LCVotoMedia:![]()
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The decision here is to incorporate both Quarto and Folio texts in one, with the differences clearly delineated. It's probably the best possible option for this play, and well done. (