José FrèchesRecensioni

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Freches-Moi-Confucius/497663

Pekín, 1847. China, ese imperio sublime y misterioso, se está muriendo. Para esclavizarla, franceses e ingleses vierten sobre ella un veneno funesto, el opio. Y matando de hambre a su pueblo, roban, de paso, sus maravillas ancestrales.Un niño, un hijo secreto del emperador Daoguang, puede, sin embargo, cambiar el destino del imperio. Se llama La Piedra de Luna.

Adorados por millares de peregrinos como reencarnación de una mítica pareja, los pequeños Gemelos Celestiales, conducidos a China a través de la fascinante Ruta de la Seda, son objeto de los mimos y desvelos de la emperatriz Wuzhao, convertida en «tía Wu», que les prodiga sus cuidados cuando los asuntos de Estado y sus devaneos eróticos le dejan un momento libre.

Ya convertida en emperatriz, la sensual y enigmática Wuzhao, en su marcha hacia la conquista del poder supremo, se verá obligada a hacer frente a temibles enemigos que la acusarán de haber organizado el crimen del Superior del monasterio de Peshawar, el mayor monasterio budista de la India. La desaparición, además, de valiosísimas reliquias desencadenará en China, la India y el Tíbet extraordinarios disturbios. Debido a ello, surgirán intrigas en las iglesias budistas, se verá amenazado el secreto de la fabricación de la seda y la policía imperial asediará a los traficantes. Pero también nacerá una gran pasión entre un monje budista y una joven cristiana. Tras enfilar la Ruta de la Seda, la pareja sólo sueña con vivir apaciblemente su amor, si bien los dos enamorados se prometen cumplir primero una misión: conducir de nuevo a China a los Gemelos Celestiales, dos misteriosos pequeños en quienes descansa el futuro del Imperio.

Bajo la dinastía de los Tang, la China del siglo VII guarda celosamente un secreto que todo el mundo ansía conocer: la fabricación de la seda. En ningún otro lugar se sabe cómo obtener esta tela tornasolada, más rara que el jade y más preciosa que el oro, que arruina y enloquece a la sociedad occidental más elegante. A lo largo de la Ruta de la Seda llegarán a China numerosas expediciones con hombres e ideas muy diferentes: budistas, cristianos, monjes, adoradores del profeta Mani... En su afán por arrancar al imperio su bien más querido, intentarán imponer sus creencias y declararán una guerra de religión nunca vista: una guerra pacífica cuyo objetivo será... la seda. En este contexto, la quinta concubina imperial, Wuzhao, una bella, inteligente y ambiciosa mujer, se convierte en la esposa del emperador Gaozong. Pero tiene dos importantes defectos a ojos de los dignatarios: no sólo es una plebeya, sino que además es budista.

Livro catequético do Budismo. Tal como todos os catecismos, serve para deleite ou edificação dos já crentes, pois não converte ninguém.
Consequentemente, o Buda retratado é o Buda da tradição budista. O Buda histórico fica perdido entre tanta informação.
Expões, mas sem clareza, os fundamentos do Budismo e fica-se por aí. Mesmo a separação entre Therevada e Mahayana é apenas referida de passagem.

Voici donc la conclusion de l’Impératrice de la soie, seconde incursion de José Frèches dans le roman historique, ayant produit une trilogie dans l’antiquité chinoise quelques années auparavant. On a ici affaire à une nouvelle fresque exploitant une période clef de l’histoire chinoise puisque celle-ci se déroule sous la dynastie des Tang, à une époque où le commerce de la soie battait son plein et faisait la richesse de l’Empire. C'est aussi, et peut-être surtout, le récit de l'accession au pouvoir de Wu Zetian, seule femme en 5000 ans d'Histoire ayant accédé au statut d'Empereur de Chine.

Comme bon nombre de derniers tomes de cycles, l'Usurpatrice met avant tout en scène la confluence de plusieurs intrigues débutées dans les volumes précédents. On retrouve donc les rêves de puissance de l'impératrice Wu Zhao ainsi que la complexité de ses interactions avec le bouddhisme chinois qui va être son principal appui politique dans son accession au pouvoir suprême.

Si le récit est un peu plus fluide que précédemment, j'ai regretté que les considérations économiques et commerciales entourant la Route de la Soie ainsi que les problématiques religieuses (relations entre les différentes variantes de bouddhisme, statut des religions implantées en Chine) soient quelque peu laissées de côté au profit de la trajectoire des nombreux personnages, chacun porteur de sa propre quête. Au final, tout comme le Disque de Jade, l'Impératrice de la soie traîne en longueur et laisse malheureusement l'Histoire en simple toile de fond au profit du destin d'une multitude de personnages secondaires fictifs plus ou moins bien développés. Une semi-réussite, quand même.

Avec l’Impératrice de la soie, José Frèches réitère son incursion dans le roman historique ayant produit une trilogie dans l’antiquité chinoise quelques années auparavant. On a ici affaire à une nouvelle fresque exploitant une période clef de l’histoire chinoise puisque celle-ci se déroule sous la dynastie des Tang, à une époque où le commerce de la soie battait son plein et faisait la richesse de l’Empire.

Ce deuxième tome poursuit les écheveaux d’intrigues amorcés dans le premier volume, à savoir le commerce de la soie (ainsi que son trafic), l’impératrice Wuzhao rêvant de devenir premier empereur féminin de Chine ainsi que les tractations entre les différentes voies du bouddhisme (indien, chinois et tibétain). Mais c’est l’histoire d’amour entre une jeune chrétienne et un moine bouddhiste en mission qui est au-devant de la scène.

Malgré l’intérêt évident des problématiques levées dans cette trilogie (échanges entre Orient et Occident, état de l’Empire chinois sous les Tang, destin d’un des personnages historiques clé de l’Histoire de la Chine, essor du bouddhisme en Asie) et une écriture plutôt soignée, José Frèches est rattrapé par ses vieux démons. Le lecteur se voit ainsi infligé une histoire d’amour mièvre entre deux ados dont le seul intérêt semble être de décrire le dilemme de l’amour et de la foi qu’affronte un moine bouddhiste. On souffre également de la paresse scénaristique affligeante : des personnages parcourent des milliers de kilomètres et se rencontrent ponctuellement par le plus grand des hasards, etc.½

Avec l’Impératrice de la soie, José Frèches réitère son incursion dans le roman historique ayant produit une trilogie dans l’antiquité chinoise quelques années auparavant. On a ici affaire à une nouvelle fresque exploitant une période clef de l’histoire chinoise puisque celle-ci se déroule sous la dynastie des Tang, à une époque où le commerce de la soie battait son plein et faisait la richesse de l’Empire.

Le Toit du monde est un tome d’exposition relativement efficace dans la mesure où il présente l’intégralité des personnages de la saga ainsi que bon nombre d’amorces d’intrigues. La Route de la soie est évidemment un des lieux clefs du roman mais celui-ci fait également la part belle aux hauts lieux du bouddhisme chinois, indien et tibétain, religion qui dominait déjà la majeure partie de l’Asie.

J’ai trouvé le roman agréable dans ce qu’il laisse entrevoir de l’érudition de l’auteur, en particulier sur la situation géopolitico-religieuse avec le chevauchement du bouddhisme, des variantes du christianisme avec les paganismes locaux encore bien enracinés. C’est malheureusement une des seules forces du livre (mais elle est de taille) puisque scénaristiquement l’auteur use de grosses ficelles et que les personnages sont aussi inconsistants que dans le Disque de Jade (l’autre trilogie écrite par José Frèches).

Et voilà la trilogie du Disque de Jade qui s’achève avec ce troisième tome et finit de décrire le règne de Qinshihuangdi, roi du Qin ayant réunifié l’Empire et instauré le légisme comme doctrine d’État, dont la résonnance se faire sentir jusqu`à aujourd’hui.

Les Îles immortelles c’est avant tout la description de deux destins radicalement différents. Celui de Poisson d’Or, à qui tout réussit et va essayer de soulever le peuple de Chine contre l’Etat tyrannique tout en retrouvant Rosée Printannière, son cher amour. Et celui de Zheng, alias Qinshihuangdi, empereur impitoyable et paranoïaque, aveuglé par sa quête vaine de l’immortalité.

Au final voici un roman pataud et sans beaucoup de saveur, l’auteur ayant usé toutes ses cartouches dans les deux premiers tomes. On a le droit à une amourette sans intérêt et à la chute sans crier gare d’un roi antipathique et sur qui à peu près tout a été dit dans le tome précédent. Je passe sur l’épilogue mièvre et donnant dans l’orientalisme béat : « faites l’amour pas la guerre, et vive l’union de l’homme et de la nature ».½

Après un premier tome très crédible, José Frèches remet ça avec un deuxième volume de sa trilogie du Disque de Jade, décrivant les moments forts de la période des Royaumes Combattants.

Poisson d’Or, comme son nom ne l’indique pas, est focalisé sur l’accession au pouvoir du roi Zheng, celui qui a donné au légisme ses lettres de noblesse et réunifié l’Empire chinois en permettant au Qin de conquérir ses voisins, et à la déchéance de Lubuwei, brillant Premier Ministre ayant parfaitement gouverné ce royaumes en servant quatre rois successifs. Poisson d’Or est l’ami d’enfance de Zheng, qui va connaître une traversée du désert (comme on dit).

Ce roman est encore plus intéressant que le précédent car il décrit les temps forts de cette période, avec notamment la mise en place du système politique totalitaire implacable qu’est le légisme, qui servira d’ailleurs d’inspiration à de nombreux gouvernants de l’Empire. Il faut savoir que la relation entre Zheng et Lubuwei, ainsi que la réunification de l’Empire par la conquête par le royaume de Qin de ses voisins sont des épisodes de l’histoire chinoise très fréquemment mise en scène au cinéma et dans la littérature.½

Premier tome d’une trilogie se déroulant en Chine antique, à l’époque des Royaumes combattants. La Chine, divisée pendant cette période en sept royaumes s’affrontant perpétuellement, s’apprête à être dominée et réunie par l’un d’eux : le Qin.

Les Chevaux célestes est un roman d’intrigues et d’Histoire mettant en scène une des périodes les plus intéressantes de l’Histoire de la Chine. Intrigues de cour et amoureuses, espionnage et assassinats sont le lot quotidien du royaume de Qin qui voit sa puissance s’affirmer grâce à son organisation sociale et sa supériorité militaire.

L’auteur nous balade dans cet univers avec un souci aigu à donner à l’Histoire une place de premier plan. On sent la culture profonde de l’auteur, qui se traduit par une écriture impeccable bien que très classique et parfois assez lourde. José Frèches est clairement plus historien que romancier et cela se sent. Au final une sympathique incursion dans l’antiquité chinoise grâce à un auteur qui respecte les codes du genre.½

Excellent short book about his life, with lots of pictures and artwork, along with letters and other documents. I hadn't realized he died so young.

Pekín, 1847. China, un Imperio sublime y misterioso, se muere. Para esclavizarla, franceses e ingleses vierten sobre ella un funesto veneno: el opio. Y matando de hambre a su pueblo roban, de paso, sus maravillas ancestrales. Sin embargo, un niño -el hijo secreto del emperador Daoguang- puede cambiar el destino del Imperio. Se llama La Piedra de Luna. Amenazado de muerte y perseguido por el clan de los eunucos más poderosos de China, da inicio una búsqueda despiadada y frenética en la que La Piedra de Luna, para salvar la vida, tendrá que sortear mil avatares y peligros. Una joven contorsionista, un príncipe Tang rebelde, una joven londinense... serán algunos de los fantásticos personajes que La Piedra de Luna se encontrará en su viaje.

Adorados por millares de peregrinos como reencarnación de una mítica pareja, los pequeños Gemelos Celestiales, conducidos a China a través de la fascinante Ruta de la Seda, son objeto de los mimos y desvelos de la emperatriz Wuzhao, convertida en «tía Wu», que les prodiga sus cuidados cuando los asuntos de Estado y sus devaneos eróticos le dejan un momento libre. No obstante, muchas aventuras y sorpresas aguardan aún a los personajes en La Usurpadora, final de la trilogía de La emperatriz de la seda: por negarse a confesar dónde se encuentran los inestimables «Ojos de Buda», la joven cristiana Umara es secuestrada por el jefe del budismo chino; la hermosa china Luna de Jade es raptada y vendida después como concubina a un sultán del remoto Occidente... El día en que, gracias a la magia de la Ruta de la Seda, confluyan todos los caminos en la corte de China y en la persona de la sensual Wuzhao, la emperatriz alcanzará su triunfo y todos los héroes se librarán de las trabas que entorpecen su vida, disfrutando finalmente con toda libertad del amor o de la fe...

Ya convertida en emperatriz, la sensual y enigmática Wuzhao, en su marcha hacia la conquista del poder supremo, se verá obligada a hacer frente a temibles enemigos que la acusarán de haber organizado el crimen del Superior del monasterio de Peshawar, el mayor monasterio budista de la India. La desaparición, además, de valiosísimas reliquias desencadenará en China, la India y el Tíbet extraordinarios disturbios. Debido a ello, surgirán intrigas en las iglesias budistas, se verá amenazado el secreto de la fabricación de la seda y la policía imperial asediará a los traficantes. Pero también nacerá una gran pasión entre un monje budista y una joven cristiana. Tras enfilar la Ruta de la Seda, la pareja sólo sueña con vivir apaciblemente su amor, si bien los dos enamorados se prometen cumplir primero una misión: conducir de nuevo a China a los Gemelos Celestiales, dos misteriosos pequeños en quienes descansa el futuro del Imperio.

Bajo la dinastía de los Tang, la China del siglo VII guarda celosamente un secreto que todo el mundo ansía conocer: la fabricación de la seda. En ningún otro lugar se sabe cómo obtener esta tela tornasolada, más rara que el jade y más preciosa que el oro, que arruina y enloquece a la sociedad occidental más elegante. A lo largo de la Ruta de la Seda llegarán a China numerosas expediciones con hombres e ideas muy diferentes: budistas, cristianos, monjes, adoradores del profeta Mani... En su afán por arrancar al imperio su bien más querido, intentarán imponer sus creencias y declararán una guerra de religión nunca vista, una guerra pacífica cuyo objetivo será... la seda. En este contexto, la quinta concubina imperial, Wuzhao, una bella, inteligente y ambiciosa mujer, se convierte en la esposa del emperador Gaozong. Pero tiene dos importantes defectos a ojos de los dignatarios: no sólo es una plebeya, sino que además es budista.

Pekín, 1847. China, ese imperio sublime y misterioso, se está muriendo. Para esclavizarla, franceses e ingleses vierten sobre ella un veneno funesto, el opio. Y matando de hambre a su pueblo, roban, de paso, sus maravillas ancestrales.Un niño, un hijo secreto del emperador Daoguang, puede, sin embargo, cambiar el destino del imperio. Se llama La Piedra de Luna.
Amenazado de muerte y perseguido por el clan de los eunucos más poderosos de China, comienza una búsqueda despiadada , y en ella La Piedra de Luna se encontrará a una danzante contorsionista, un chambelán corrompido, una joven londinense, un príncipe rebelde Tang…

Typical for the first novel in a series - the problems are all set up, but there is no resolution. Not interesting enough to read two more of this length.

La première partie du livre qui tient lieu d'introduction, nous présente (autant que faire se peut) les grandes lignes de la culture et de la pensée chinoise. Cette première partie apporte beaucoup de clefs pour mieux comprendre la Chine et les Chnois. Ensuite Frèches retrace 4500 ans d'histoire chinoise. Il s'agit lâ d'une tâche énorme, que de concentrer le tout sur 300 pages. Ce serait comme raconter l'histoie de toute l'Europe depuis la Grèce Antique en 300 pages. Impossible. Il en est de même pour l'histoire de la chine. Ainis, on ressort de la lecture de la partie histoire du livre sans réelle connaissance de l'histoire chinoise. On a seulement pris conscience de la complexité de celle-ci.

Très bon condensé de l'histoire de la Chine. Le premier chapitre est en lui-même déjà suffisant pour appréhender la richesse et la complexité de La Chine.½

China im 3. Jahrhundert vor Christus: Im Königreich Zhao gelangt der Pferdehändler Lü Buwei zufällig in den Besitz eines prachtvollen Diskus aus schwarzer Jade. Besessen von der Idee, damit jene legendäre Jadescheibe in Händen zu halten, die Erfolg und ewiges Leben verspricht, macht er sich auf ins Königreich Qin. Dort will er das Mysterium der schwarzen Scheibe lüften und kommt zu Reichtum und Ansehen bei Hofe. Zur gleichen Zeit beauftragt der Herrscher von Qin, der altersschwache König Zhong, einen Offizier damit, den geheimnisvollen Diskus zu ihm zurückzubringen. Nach einer alten Prophezeiung ist das Schicksal des Reichs untrennbar mit dem Kultobjekt verwoben. Der König rechnet allerdings nicht mit dem Machthunger seiner Schwiegertochter Huayang. Die bezaubernde junge Frau versüßt nicht nur das Leben des alten Herrschers mit ihren erotischen Reizen, sie setzt ihre Mittel auch gezielt ein, um ihren Einfluss auszubauen. Selbst vor Mord schreckt sie nicht zurück. (buchkatalog)