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KATZ Gabriel

Autore di La traque

32 opere 146 membri 19 recensioni

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Serie

Opere di KATZ Gabriel

La traque (2012) 26 copie
Nelle tue mani (2019) 15 copie
La Maîtresse de guerre (2014) 8 copie
Aeternia (2016) 4 copie
Les Papillons noirs (2022) 4 copie
La nuit des cannibales (2017) 3 copie

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Informazioni generali

Sesso
male
Nazionalità
France
Nazione (per mappa)
France

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Recensioni

Very interesting and disturbing novel about two kindred spirits, society pariahs that found strength in each other - unfortunately not to do good things but to engage in horrible wave of murders that span decades.

Albert and Solange, former orphaned and latter de-facto orphan even with her mother still alive, will create a very strong bond. Their goal is to build a family, create something of their lives but very soon it will become obvious that they are much more damaged than even they thought possible - they complement each other and they are in balance, but that balance comes with the price. One acts very destructively while other tries to hide their tracks and ensure they are out of danger after the bloody murders. I have to say that 'til the end I was not quite sure who did what but ending was really a twist.

It is not story of one using the other - they are like two damaged persons, fulfilling each other, but due to their rather traumatic experiences they act on instinct, and they do not allow others to enforce themselves on them (due to their ... I guess you might say socially strange behavior they are haunted by a very specific type of person). In their deranged state they take care of each other and they even build a very successful business, they travel, for all means and purposes enjoy their life (or at least try) but they are marked, one might say with the mark of Kane, that constantly brings more and more asocial and brutal creatures to their door and only way they can deal with them is to kill them. They are like eponymous black butterflies drawn to the light that burns them (although I think these are moths, but all right, I guess some poetic freedom needs to be given here).

Very disturbing story of two psychopaths that under different situations (better and happier childhood) might have been very successful in life.

Book is not that big (around 200 pages) and it is written in a very readable style - I did not find any excess of words or parts of the story that is not supposed to be there (in other words, there are no meaningless fillers). Story spans decades and it is told from Albert's (like 3/4 of the book) and Solange's point of view (1/4 of book). Author manages to present very vividly their own view of the world and events, and reader even develops a bond with these antiheroes, although it is very clear that this weird pair could never be part of the normal world (or better said, the majority of population, because actions of some of these "normal" people are everything but).

Twist at the end though, puts this book into "Sixth Sense" category meaning a lot of time needs to pass before re-read is possible.

Interesting, very haunting crime thriller.

Highly recommended to fans of thriller and crime genre.
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Zare | Jan 23, 2024 |
Norte de Francia, años cincuenta. Cuando Albert, un joven huérfano y solitario, conoce a Solange, hija de una prostituta castigada socialmente por haber simpatizado con los nazis, de inmediato salta una chispa entre ellos. Solos frente al mundo, se vuelven inseparables y su amistad da paso a un amor salvaje. Su primer crimen es un accidente. El segundo, un delito perfectamente calculado. A partir de entonces, cada verano cometen un asesinato distinto. Sin embargo, ninguna llama puede durar para siempre.

Una relación que recuerda la de Bonnie y Clyde o la de los protagonistas de Asesinos natos de Oliver Stone. Una novela sentimental y oscura, hipnótica e inquietante, como la personalidad de sus dos torturados antihéroes: estas mariposas negras no dejarán de acecharte.
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bibliotecayamaguchi | Jul 14, 2023 |
Stuttgart war an der Wende des letzten Jahrhunderts eine der wenigen Städte, an der man eine Ausbildung als Malerin anstreben konnte. Nachdem die Männer die Bedingungen für Malerinnen verschärften bzw. den Zugang erschwerte, gründeten Künstlerinnen 1893 den Württembergischen Kunstverein, einen Standesverein, der ein Netzwerk ermöglichte und doch Zugänge zum Kunststudium schuf, abseits männlicher Hegemoniebestrebungen. Man ging einen oft schweren Weg und nicht nur den der vorgzeichnet traditionellen, mit den Etappen verliebt, verlobt, verheiratet. Dieses Buch zeichnet den Weg der ersten Frauen bzw. Künstlerinnen nach, die sich in Stuttgart ausbilden ließen.

Ein wunderschönes Buch mit einer Auswahl der Werke, gedruckt in Farbe in ausgezeichneter Qualität. Besonders beeindruckt haben mich die Portraits von Helene Wagner, deren Umsetzungen mütterlicher Zärtlichkeit sowie der kindlichen Emotionen eine ganz besondere Kraft und Intensität aufweisen (siehe eingestelltes Bild). Helene Wagner lebte von Autragsportäts, die sie alle fotografieren ließ. Ihre Arbeiten und die gesichteten Unterlagen belegen ein künstlerisches Leben inmitten der Zwänge aus Vorleistungen und Werben um neue Aufträge. Viele Kunden sprangen nach ein paar Sitzungen z.B. ab, das erhoffte Einkommen blieb aus.

Ebenso beeindruckt bin ich von den Porträts der Malerin Käte Schaller-Härlin und Luise Deichet, deren Selbstbildnis in Schwarz-Weiss auf Seite 105 ein Traum von mir wäre, nämlich so zeichnen zu können, mit ganz wenigen Tuschestrichen auf Papier inkl. einem derart starken Ausdruck. (Siehe eingestelltes Bild) Ebenso beeindruckend das Selbstbildnis von Ida Kerkovius.
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Clu98 | Mar 10, 2023 |
Après Le Puits des Mémoires, voici une autre histoire qui se déroule dans le même monde. Un one shot, "standalone", pas de connection avec la trilogie. Le style est aussi un peu plus accessible et le livre est catalogué comme YA (jeune adulte), ce qui ne veut pas dire que les "vieils" adultes ne peuvent pas le lire. Au contraire, je dirais.

Comme écrit sur la quatrième de couverture, il s'agit d'une fille (Kaelyn) qui devait être un fils, pour succéder à son père (Horn), le maître de guerre d'un peuple à Nordland. Malgré ça, elle part quand même en guerre avec ces compatriotes pour combattre le lointain sultanat d’Azman. Ceci est décrit comme terre barbare en proie aux cannibales. Mais une fois arrivé là-bas, Kaelyn se rend compte que "terre barbare en proie aux cannibales" est complètement faux; elle découvre toute une civilisation développée (ce qui peut être considéré comme une critique sur notre [l'Europe, les États-Unis] point de vue sur, par exemple, le Proche-Orient et Moyen-Orient [ou d'autres pays/régions], non?). Et elle veut y passer plus de temps, parce qu'elle croit qu'elle pourra se développer, devenir maîtresse de guerre plus facilement chez eux que chez son propre peuple.

Et une chose mène à une autre. Elle commence comme esclave, mais arrive à monter l'escalier (en quelque sorte) - entre autres en sauvant la via de Fenia (l'épouse de Hadrian, le maître de guerre, et la nièce du sultan) - convainquant le maître de guerre (Hadrian) de la prendre sous ses ailes (et oui, Cupidon est présent aussi, ou qu'avez-vous pensé?), pour qu'elle puisse réaliser son grand rêve. Évidemment, cela ne se passe pas si facilement. Il y a de la jalousie, de la haine, de la manipulation (surtout par l'épouse de Hadrian, le maître de guerre: Fenia, la nièce du sultan). A la fin, on récolte ce qu'on sème.

Kaelyn entre-temps doit se battre pour avoir un statut spécial, pour vivre son rêve, pour être accepté en tant que femme dans un monde largement dominé des hommes. Et des Waegs, comparable avec, je dirais, les Uruk-hai dans Le Seigneur des Anneaux (LOTR), mais encore plus féroces.

Tout n'est pas décrit, c'est au lecteur de remplir les vides. Les batailles des Rouges contre les Azmaniens étaient un peu simples, je trouve. Par contre, Gabriel Katz =/= Bernard Cornwell. Chacun son style et ses propres capacités. Mais bon, l'histoire se tournait donc autour Kaelyn et le fait de devoir se battre en tant que femme dans ce monde si on veut réaliser son rêve.

Mais il y avait aussi au moins un moment auquel je me disais: "Comment?" Par exemple, quand quelqu'un de la formation de Kaelyn va contrôler si l'eau est potable pour les chevaux, Katz l'écrit comme ça, mais il n'a pas ajouté comment ce type l'a fait. Avait-il quelque chose sur lui, une sorte d'appareil? On ne saura jamais. Un détail, je sais, mais d'une certaine importance, je trouve.

Il y avait aussi une mention d'une langue locale, le Tchi. Cela me faisait penser au... Ch'ti. Un petit jeu de mots délibéré ou juste une coïncidence? ;-)

En tout cas, cette histoire m'a beaucoup plu, non seulement grâce au style raisonnablement accessible, mais aussi aux pincées d'humour. Bef, une chouette, eh, amuse-gueule par rapport aux histoires plus sérieuses ou épaisses.
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TechThing | 1 altra recensione | Jan 22, 2021 |

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