Un troisième volet bien plus méritant que le deuxième et bien plus fidèle au premier. Un blockbuster qui respecte le fil des événements présentés dans les deux précédents opus.

A l’époque du film, nous sommes en 2004. John Connor vit en marge de la société depuis son adolescence «légèrement perturbée par une tentative d’assassinat ». Skynet, un programme de défense réalisé par l’armée américaine, véritable virus, tente de l’anéantir, lui et sa future femme…

Scènes d’action en cascade, efficacité de la narration, humour évident et autocritique de Scharzy extrêmement bienvenue, cette suite est d’une bonne tenue. Il donne de la profondeur et un écho puissant aux deux précédents Terminator. Les clins d’œil et les références aux deux précédents volets sont nombreux, justes et bien placés.

On jugera de la qualité évidente du film pour son caractère formel soigné, n’hésitant pas à boucler cette première partie de la saga avec une ouverture aussi esthétique que subtile. Le réalisateur Jonatha Mostow offre ainsi un film fidèle à l’esprit Cameron tout en dépassant avec talent le projet du maître. ( )

Sci-Fi

Good director commentary in the special feaatures. ( )