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Paul Willems (1912–1997)

Autore di The Cathedral of Mist

23 opere 125 membri 5 recensioni

Sull'Autore

Comprende il nome: paul willems

Nota di disambiguazione:

(fre) Ces succès n'ôtent rien à l'attitude de sympathie distanciée, pleine de respect et de sagesse, que l'auteur adopte à l'égard du monde et de ses frères humains. Il reste celui qui «a réalisé son oeuvre théâtrale à l'écart de tout mouvement littéraire, estimant que le bien le plus précieux de l'homme est la liberté totale de pensée.» (Jacques Lefèbvre).

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Informazioni generali

Nome canonico
Paul Willems
Nome legale
Paul Willems
Data di nascita
1912-04-04
Data di morte
1997-11-28
Luogo di sepoltura
Missembourg (Belgique)
Sesso
male
Nazionalità
Belge
Nazione (per mappa)
Belgique
Luogo di nascita
Missembourg (Belgique)
Luogo di morte
Antwerpen (Belgique)
Luogo di residenza
Missembourg (Belgique)
Istruzione
ll ne fréquente pas l'école primaire. Sa grand-mère lui enseigne le français dans le Télémaque, le jardinier l'initie aux secrets de la nature et du braconnage, son père, qui peint des aquarelles, lui apprend à cueillir l'instant. En 1923, il entame ses humanités au Lycée d'Anvers. Etudes de droit à l'Université Libre de Bruxelles.
Attività lavorative
Aide-stewart sur un pétrolier, avocat stagiaire au barreau d'Anvers, secrétaire général du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles (1946-1984), écrivain (romans, récits, nouvelles, théâtre).
Relazioni
Garland ('éditeur new-yorkais), Giono
Gevers, Marie (writer - mother)
Organizzazioni
Crée avec Franz de Voghel le festival Europalia qui, tous les deux ans, définit un pays par la diversité de ses pratiques artistiques.
Premi e riconoscimenti
Prix Marzotto et Prix triennal du gouvernement belge pour « Warna ou le Poids de la neige, La Ville à voile ». Élu à l'Académie le 13 décembre 1975 à la succession de sa mère, membre belge littéraire du 13 décembre 1975 au 28 novembre 1997. Reçoit en 1980, le Prix quinquennal de littérature pour l'ensemble de son œuvre.
Breve biografia
Né à Edegem, près d’Anvers, le 4 avril 1912, Paul Willems, fils de l’écrivaine Marie Gevers, est un Flamand de culture francophone. La Flandre qu’il habite est celle de l’Escaut et, au-delà, du grand port d’Anvers. Depuis la fin du XIXe siècle, la famille Willems occupe le domaine de Missembourg, vieille bâtisse blanche entourée d’un jardin boisé impressionnant et jouxtant un étang qui disparaîtra dans les années 30. Lieu d’une retraite intemporelle, voué à la magie poétique, ce domaine constitue une permanente source d’inspiration pour les œuvres du fils, comme de la mère. La grand-mère de Paul Willems lui apprend la lecture dans le Télémaque de Fénelon. Il fait des études de droit à l’Université Libre de Bruxelles où il se spécialise en droit maritime. En 1941, Paul Willems travaille aux services du Ravitaillement, groupement de la pêche. Il part habiter Bruxelles, après son mariage (1942). Son père et son frère meurent en 1944. Paul et Elza Willems reviennent habiter à Missembourg (1946). En 1947, Paul Willems entre au palais des beaux-arts de Bruxelles – en 1984, il en devient le secrétaire général. Son travail l’amène à beaucoup voyager : en Chine, au Japon, en URSS, aux États-Unis. Parallèlement, il élabore une œuvre romanesque et dramatique. Son premier roman, Tout est réel ici (1941), s’enracine dans la Flandre natale, aux abords de l’Escaut, mais témoigne, chez cet amateur de Nerval, d’un constant souci de mêler le rêve à la vie. En 1942 paraît le texte L’herbe qui tremble. Ensuite, c’est La Chronique du cygne, étrange récit mêlant fantaisie et cruauté. En 1949, avec Blessures, Paul Willems livre son seul roman « réaliste ». L’auteur a été fortement marqué par les contes de Grimm et d’Andersen. Par ailleurs, fin lecteur qui s’amuse des mots, il retient la légèreté d’auteurs d’avant-garde comme Paul Neuhuys, ou s’intéresse à des dramaturges tels Maeterlinck ou Crommelynck. En 1948, il rencontre Claude Etienne, animateur du « Rideau de Bruxelles », qui l’incite à écrire pour le théâtre. Ce sera Le Bon Vin de Monsieur Nuche (1949). Il pleut dans ma maison (1958) connaîtra un succès international. L’atmosphère légère et fantaisiste des premières œuvres cède progressivement le pas à une gravité qui donne sa force à son théâtre. Les personnages que rassemblait une même volonté de vivre dans la fiction sont tout à coup confrontés au réel. Ainsi en va-t-il des tiraillements des couples qui composent Les Miroirs d’Ostende (1974), mais aussi des déambulations nocturnes des personnages du Marché des petites heures (1964) et des rêves éclatés du Josty de La Ville à voile (1968)… Le motif de la guerre est souvent l’occasion de parcours tragiques dans lesquels le domaine intemporel mais fragile incarne le seul espoir pour la fantaisie idéale. Ainsi, Warna ou le Poids de la neige (1962) et Elle disait dormir pour mourir (1983) en présentent deux variations bien différentes. La Vita breve (1989), la plus violente de ses pièces, clôture un parcours théâtral où l’innocence a toujours été l’enjeu de passions affolées. En outre, la langue, légère ou ironique, semble constamment chercher une issue poétique aux conflits implacables. EN 1980, il reçoit le Prix quinquennal de littérature. Sa carrière dramatique n’a pas empêché Paul Willems de poursuivre une œuvre en prose. Ainsi, il publiera deux recueils de nouvelles, La Cathédrale de brume (1983) et Le Vase de Delft (1995) où, souvent, une situation quotidienne bascule vers une révélation poétique. Comme dans son théâtre, la pureté idéale s’élève jusqu’au sublime ou s’effondre dans le tragique. Enfin, Le Pays noyé (1990) est un récit légendaire qui constitue une synthèse de l’univers imaginaire de l’auteur. On y découvre un pays d’Aquélone, basé sur les lieux où a vécu l’auteur, déchiré entre le rêve qu’il incarne et les lois d’une civilisation prosaïque qui s’immisce dans les consciences. Désir, néant et poésie sont l’aboutissement du trajet littéraire d’un des écrivains majeurs de l’après-guerre en Belgique francophone. (Rf. Wikipedia).
Nota di disambiguazione
Ces succès n'ôtent rien à l'attitude de sympathie distanciée, pleine de respect et de sagesse, que l'auteur adopte à l'égard du monde et de ses frères humains. Il reste celui qui «a réalisé son oeuvre théâtrale à l'écart de tout mouvement littéraire, estimant que le bien le plus précieux de l'homme est la liberté totale de pensée.» (Jacques Lefèbvre).

Utenti

Recensioni

Most of the stories in this collection really surprised me, almost blew me away. The third story, I think it was, did not move me the same way. When I got to the eponymous piece, I was startled by the voice of it; it was very different from the rest of the collection up to that point, and I recognized in some of the phrases (at least, as translated by Gauvin) a style that I have seen before in a place very meaningful to myself personally.
½
 
Segnalato
H.R.Wilson | 1 altra recensione | Jan 7, 2024 |
I was suckered into buying this by the publisher’s write-up: “a collection of stories from the last of the great Francophone Belgian fantasists: distilled tales of distant journeys, buried memories and impossible architecture. Described here are the emotionally disturbed architectural plan for a palace of emptiness; the experience of snowfall in a bed in the middle of a Finnish forest; the memory chambers that fuel the marvelous futility of the endeavor to write; the beautiful woodland church, built of warm air currents and fog, scattering in storms and taking renewed shape at dusk.” Well, yes. That’s all true and, from time to time, the writing and the stories even live up to the hype. But generally, I found the collection disappointing—the imagination was just a little too fantastical, the writing not quite convincing enough. However, the last two pieces in the book are non-fiction essays, one on reading and one on writing. Though I found the writing a bit self-indulgent, both essays were worth the time and I enjoyed them.… (altro)
½
 
Segnalato
Gypsy_Boy | 1 altra recensione | Aug 23, 2023 |
My girls are outgrowing board books, but they still choose some that have new interactive elements to them. In this book, the front is a pouch filled with four large animal cut-outs, that fit into recessed spaces throughout the book. The theme is farm animals, and the basic story is that Farmer Jack is taking the reader to see his farm. My daughters like putting the animals in their right spot, the story is so simple that they can read along soon, and it is a good opportunity to work on language and vocabulary. The illustrations are colorful with thick outlines and sharp contrast; they look like digital animation, unoriginal but cute. That's actually a good summation for the entire book: unoriginal but cute.… (altro)
 
Segnalato
nmhale | Apr 30, 2013 |
magisch realisme
 
Segnalato
olivavaneeghem | Nov 23, 2011 |

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