Roland Jaccard (1941–2021)

> Nicolas (Amazon) : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R2CQZNZ941NY16?ref=pf_vv_at_pdctrvw_sr...
> Philosophiques, Vol. 26, n° 2 (automne 1999), pp. 386–388 : https://id.erudit.org/iderudit/004941ar ; https://doi.org/10.7202/004941ar
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Jaccard-Lenquete-de-Wittgenstein/287550
> BAnQ (Cornellier L., Le devoir, 13 nov. 2004, F-22) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2814522
> Voir un extrait : https://books.google.fr/books?id=210LCwAAQBAJ&hl=fr&printsec=frontcover&...… (altro)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Jaccard-La-Tentation-nihiliste/2493

> Voici un livre bien écrit et qui propose une excellente introduction au nihilisme. Avec une touche d'humour, on y trouvera toutes les pistes pour une exploration plus approfondie du sujet.
—Danieljean (Babelio)… (altro)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Jaccard-Manifeste-pour-une-mort-douce/221122

> MANIFESTE POUR UNE MORT DOUCE, par Roland Jaccard et Michel Thévoz. — Notre vie nous appartient comme notre mort. Il n'y a pas de bonheur sans liberté et pas de liberté sans courage. A commercer par le courage d'affronter sa propre mort.
D'emblée le ton de ce livre est donné par l'avant-propos :
"… Ce manifeste vise, d'une part à étendre le champ de nos libertés individuelles contre l'emprise croissante de l'Etat thérapeutique, d'autre part, à revendiquer concrètement pour chacun le droit élémentaire, mais constamment bafoué, de prendre congé quand il le désire et comme il le désire d'une existence qui, pour des raisons qui ne regarde que lui, ne lui semble plus digne d'être vécue.
"Je veux mourir de ma mort, non de la mort des médecins" écrivait Rilke. Il n'y a aucune raison valable en l'état des connaissances actuelles, pour que cette mort reste violente et infamante. Elle peut, elle doit être douce, ce qui veut dire aussi discrète, polie, ne s'infligeant pas comme un spectacle pénible à autrui.
Tel est le plaidoyer ultime que font Jaccard et Thévoz dans ce manifeste aussi courageux que lucide. Le seul sujet d'étonnement, c'est qu'il ait fallu l'attendre si longtemps. Sur ce fait de société et d'éthique, qui met en jeu un des droits de l'homme, aussi important que les autres, il se peut que le XXème siècle finissant ferme encore les yeux.
Le XXIème sera bien obligé de les ouvrir. Éd. Grasset.
—Nouvelles Clés, (24), Juillet/Août 1992, (p. 81)… (altro)