Gail Holst-Warhaft
Autore di Road to Rembetika: Music of the Greek Sub-culture
Sull'Autore
Opere di Gail Holst-Warhaft
The Gold Letter 5 copie
Opere correlate
Greeks and barbarians : essays on the interactions between Greeks and non-Greeks in antiquity and the consequences for… (1997) — Collaboratore — 5 copie
The Fall of Cities in the Mediterranean: Commemoration in Literature, Folk-Song, and Liturgy (2016) — Collaboratore — 4 copie
Etichette
Informazioni generali
- Nome legale
- Holst-Warhaft, Gail Lilian
- Data di nascita
- 1941-06-30
- Sesso
- female
- Nazionalità
- Australia (birth)
- Nazione (per mappa)
- USA
- Luogo di nascita
- Melbourne, Victoria, Australia
- Luogo di residenza
- Greece
Ithaca, New York, USA - Istruzione
- Cornell University (PhD|1991)
- Attività lavorative
- journalist
Associate Professor, Comparative Lit, Classics - Organizzazioni
- Cornell University
- Breve biografia
- Contemporary Authors says "Earned undergraduate degree in English literature and art history in Australia," but doesn't specify where.
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- Voto
- 3.3
- Recensioni
- 1
- ISBN
- 26
- Lingue
- 3
> AUX SOURCES DU RÉBÉTIKO, par Gail Holst-Warhaft - Nuits rouges, 2010, 142 p., 15.3 euros, Première édition : 2001, Coll. : Essai - ISBN : 978-2913112421. — Smyrne – Le Pirée – Salonique (1920-1960), un livre et un CD : Les chansons des bas-fonds, des prisons et des fumeries de haschisch
Les touristes qui visitent la Grèce ne connaissent guère le rébétiko (Ρεμπέτικη μουσική), musique urbaine importée de Turquie dans les années 1920, qu’on qualifie parfois de « blues grec », et qui se survit aujourd’hui dans quelques bonnes tavernes, après avoir influencé les compositeurs Hadjidakis et Theodorakis, et aujourd’hui des chanteurs comme Nikos Papazoglou, Haris Alexiou, Glykeria ou Dalaras.
[…]
« Musique grecque née au début du XXe siècle, le rébétiko est en vogue et vit de beaux jours ou plus exactement de belles nuits, dans les tavernes d’Athènes et des autres villes. Il est apparu dans les quartiers populaires et défavorisés, exprimant une sorte de mal-être sublimé par la musique et le chant. Il est en cela comparable au blues des Noirs américains. C’est dans un ferment de culture populaire et de pauvreté que le rébétiko bouillonne, avec des ingrédients orientaux venus de Smyrne où vivait jadis toute une population grecque. Sous-prolétaires, réfugiés, chômeurs forcés ou professionnels vivant de trafics en tout genre, ce “milieu” est celui des rébètes qui se retrouve dans les cafés ou les tékés (fumeries de haschich) pour tenter d’oublier cette vie de chien dans la fumée du narguilé, la mastoura (enivrement), la musique et la danse. » (extrait d’un article de Laurence Stiefenhöfer, Le Forum des Images)
Ce livre refondu plusieurs fois est paru pour la première fois en 1975 sous le titre Road to Rembetika.
[…]
Cette réédition comprend plusieurs nouveaux chapitres. Les chansons qui l’accompagnent ont été entièrement renouvelées, privilégiant les enregistrements originaux de la grande époque du rébétiko.
—BiblioMonde… (altro)