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Paul Feval (1) (1816–1887)

Autore di Le Bossu

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Sull'Autore

Fonte dell'immagine: Drawn by Henri Meyer, from a photograph by Nadar, and engraved by Méaulle

Serie

Opere di Paul Feval

Le Bossu (1857) 151 copie
Vampire City (1875) 56 copie
Knightshade (2001) 29 copie
The Vampire Countess (2003) 21 copie
Les Habits noirs, tome 1 (1987) 16 copie
Les Habits noirs (1910) 10 copie
John Devil (2005) 10 copie
La fée des grèves (1940) 10 copie
Le Loup blanc (1977) 9 copie
Les Habits noirs, tome 2 (1987) 8 copie
Contes de Bretagne (2013) 7 copie
Le cavalier Fortune (1932) 5 copie
La Maison de Pilate (2009) 4 copie
Les drames de la mort (1969) 4 copie
Les errants de nuit. (2015) 4 copie
Les contes de nos pères (2013) 4 copie
Le Dernier Vivant (2010) 4 copie
Revenants (2006) 3 copie
Le Médecin bleu (2015) 3 copie
Jean Diable, Tome 1 (2013) 3 copie
The Mysteries of London (1847) 2 copie
A Fekete Brigád (1990) 2 copie
O cavaleiro das trevas (1860) 1 copia
Le capitaine fantome (1949) 1 copia
Les Fanfarons du Roi (2013) 1 copia
Madame Gil Blas (2013) 1 copia
La tapisserie 1 copia
Les tribunaux secrets (1981) 1 copia
El hermano pacifico (1931) 1 copia
Roi des Gueux (2009) 1 copia

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Recensioni

La Ciudad Vampiro es una obra maestra del humor negro, hasta un grado tan exacerbado que hace pensar en los cuentos de Apollinaire o los delirios de bande dessiné propios de Jean-Pierre Jeunet o Marc Caro y que a pesar de su tono paródico funciona como una alucinada narración fantástica, como novela de horrores grotescos y estrambóticos, como una pesadilla surreal y gozosamente absurda.
 
Segnalato
Natt90 | 2 altre recensioni | Dec 16, 2022 |
A horror/comedy, supposedly showing events which led Ann Radcliffe to write 'Mysteries of Udolpho'. This is a pre-D(racula) vampire story and as such none of the usual vampire rules apply.
The story is told to the author by a servant, who heard it from Miss Radcliffe. These layers of removal from the actual events make it feel like reading myth or urban legend and allows the reader to easily ignore any errors or contradictions that might arrive in the plot.
You would think that this distance from events would however be detrimental to any sense of horror but this is not the case due to the surreal and nightmarish form's of horror which the author uses, its almost Lovecraftian at times.
Towards the end things do go downhill a little, it feels like maybe this started as a pure vampire story and the gothic satire was added later on, it doesn't quite mesh.
One aspect i particularly liked was that our main action hero is irish. Much comedy is derived from this fact given that the story is being told by someone english, allowing the story to make fun of english prejudices.
I think this story would be a great piece to read alongside Carmilla and Dracula.
… (altro)
 
Segnalato
wreade1872 | 2 altre recensioni | Nov 28, 2021 |
An 1867 novel starring Ann Radcliffe as a vampire hunter? You bet. This one is strange, surprisingly amusing in a few places, but definitely of its time. Perhaps the most interesting parts are the elements of vampire behavior that are quite different from how they later "settle."
½
 
Segnalato
JBD1 | 2 altre recensioni | Jan 16, 2020 |
Nos paysans ont toujours la tête dure, au physique comme au moral, et ils avalent d’aussi bon cœur un coup de pen-bas, qu’un coup de cidre.
(p. 99, “Le Bâton”).

Ce livre est composé d’une longue nouvelle qui donne son titre au recueil et de quelques autres nouvelles très courtes.
Le Château de Croïat m’a fait penser à La Fée des Grèves, même couple de jeunes gens amoureux malgré les barrières sociales, même mystère des origines. Mais cette fois, le décor est celui de l’aristocratie moribonde et des derniers soubresauts de la Chouannerie. Les péripéties sont dans l’ensemble assez prévisibles, mais forment un ensemble agréable à lire, et qui tient en haleine, avec une fin assez étonnante finalement, plus nuancée que ce à quoi j’aurais pu m’attendre. Un petit amuse-bouche qui fleure bon la Bretagne et ses mythes, un petit plaisir que j’ai dégusté lors d’une petite soirée de lecture sans prétention et beaucoup de nostalgie.
Les nouvelles suivantes s’apparentent plus à des « choses vues » plutôt qu’à de véritables nouvelles, surtout les dernières. La plupart sont des sortes de petites cartes postales décrivant des traditions villageoises étranges, comme cette tradition de la grenouille une fois par an sur le pont de Cesson, qui oppose les partisans des noces et les partisans des grous, respectivement la bouillie d’avoine ou la bouillie de sarrasin… Et tout cela est très clairement écrit pour un public parisien conscient de sa supériorité mais sachant rire de lui-même et assez ouvert pour apprécier le folklore naissant avec une condescendance qui reste assez indulgente pour ne pas être offensante, comme en atteste ce petit extrait qui m’a bien amusée…

Une chose parfaitement incontestable, c’est que, d’ici à cinquante ans, si ce n’est plus tard, il y aura un chemin de fer de Paris à Brest. En ce temps, on ne mettra guère que huit heures trente-sept minutes et un nombre insignifiant de secondes pour se rendre au pont de Cesson. (…) Cesson sera dans la banlieue de Paris ; on connaîtra Noyal comme Pantin ou Saint-Cloud, et les jeunes employés du commerce graveront poétiquement leurs initiales bourgeoises sur l’écorce séculaire des grands chênes de la forêt de Rennes. Tout le monde voyagera, verra, saura ; pour se faire lire, hélas ! les malheureux conteurs seront tenus d’aller faire des études de mœurs aux îles Sandwich ; on verra le feuilleton maigrir, les variétés s’étioler, le roman disparaître… Ce dont Dieu préserve le monde et les cabinets de lecture !
(p. 102, “La Grenouille”).

Un joli morceau d’équilibriste littéraire, que Paul Féval réussit à merveille et qui donne à ses petites nouvelles un joli parfum désuet et amusé qui leur permet de passer les outrages du temps et d’amuser la lectrice moderne (humm…) que je suis.
Une jolie lecture, donc, avec un peu d’aventure dans la première nouvelle et des descriptions enjouées dans les suivantes. Paul Féval père est toujours une valeur sûre pour les historiettes au goût de Bretagne. Je le lis de façon sporadique, mais toujours avec plaisir. Peut-être serait-il temps que je m’attaque à l’un de ses romans fleuves. Lecture à suivre…
… (altro)
 
Segnalato
raton-liseur | Jul 5, 2016 |

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Tim Lambon Cover artist
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