Sarane Alexandrian (1927–2009)
Autore di Surrealist Art (World of Art)
Sull'Autore
Sarane Alexandrian (1927-2009) was a member of the surrealist group in Paris in the years directly after World War II. He Is the author of more than 60 books, including novels, a memoir, and studies of occultism, eroticism, and art.
Fonte dell'immagine: Karelia.over-blog
Serie
Opere di Sarane Alexandrian
L'univers de Gustave Moreau 3 copie
Le centenaire de Victor Brauner 2 copie
Os libertadores do amor 1 copia
Pericolo di vita 1 copia
Opere correlate
Etichette
Informazioni generali
- Data di nascita
- 1927
- Data di morte
- 2009-09-11
- Sesso
- male
- Nazionalità
- France
- Luogo di nascita
- Bagdad, Iraq
- Luogo di morte
- Ivry-sur Seine
Utenti
Recensioni
Liste
Sex in the past (1)
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Statistiche
- Opere
- 46
- Opere correlate
- 1
- Utenti
- 545
- Popolarità
- #45,748
- Voto
- 3.5
- Recensioni
- 4
- ISBN
- 66
- Lingue
- 8
> LE SURRÉALISME ET LE RÊVE, par Sarane Alexandrian, éd. Gallimard. — Pour qui possède une culture universitaire de la littérature surréaliste, le livre de Sarane Alexandrian déploie la magie de la vie, nous montrant tous les « héros » de cette aventure à la fois plus grands et plus petits qu’ils ne nous sont jamais parvenus. Si le verbe existait, on pourrait dire qu’il les « défige », grâce à des anecdotes en foule (Alexandrian a connu le surréalisme de l’intérieur). Eluard y perd de sa superbe (que l’on se réfère à la genèse du poème Liberté, écrit en fait pour Nusch), la folie d’Artaud y gagne en fantaisie onirique et en comique (épisode de la canne de St Patrick), on y découvre le médecin surréaliste Pierre Mabille, dont on a honte de ne pas connaître les oeuvres, on y vit en direct une séance de « sommeil hypnotique » dont Desnos est l’interlocuteur privilégié. J. B. Pontalis met très bien en valeur, dans sa préface, ce qui différencie l’approche freudienne du rêve, prudente et laborieuse, et l’« efflorescence » surréaliste. « Il s’agira donc de tirer parti de l’inconscient : moins d’en analyser méthodiquement les « contenus » et les « réseaux » que de s’en approprier, voire d’en mimer, dans des textes-rêves, le mode d’expression (...). Et l’on doit reconnaître à ce parti pris essentiellement éthique – celui d’une poétique généralisée – d’avoir su engendrer un onirisme du quotidien qui a gardé intact, avec le temps, tout son pouvoir d’émerveillement ».
—Revue Française de Yoga, (17), Janvier 1998… (altro)