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Being Genuine: Stop Being Nice, Start Being Real

di Thomas d'Ansembourg

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1744157,999 (3.58)Nessuno
In this English translation of the French bestseller, readers will learn simple, practical skills to step outside of their emotional masks to live a genuine, authentic life. Teaching everyday communication skills to respectfully express true feelings and the power of requesting wants without demands or force, readers learn how to tackle life's difficult situations and conversations with ease and even excitement. Topics include ideas and advice on how to identify feelings and needs without blaming others, honest and respectful self-expression, facing conflict with ease, and finding balance by staying connected to basic needs.… (altro)
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> Babelio : https://www.babelio.com/livres/dAnsembourg-Cessez-detre-gentil-soyez-vrai--tre-a...

> Je recommande ce livre à toutes les personnes qui s'entendent dire " qu'elles sont gentilles..."!
Danieljean (Babelio)

> CESSEZ D'ÊTRE GENTIL, SOYEZ VRAI ! Etre avec les autres en restant soi-même, par Thomas d' Ansembourg. — Nous sommes souvent plus habiles à dire leurs quatre vérités aux autres qu'à leur exprimer simplement la vérité de ce qui se passe en nous. Nous n'avons d'ailleurs pas appris à tenter de comprendre ce qui se passe en eux. Nous avons davantage appris à être complaisants, à porter un masque, à jouer un rôle. Nous avons pris l'habitude de dissimuler ce qui se passe en nous afin d'acheter la reconnaissance, l'intégration ou un confort apparent plutôt que de nous exprimer tels que nous sommes. Nous avons appris à nous couper de nous-même pour être avec les autres. La violence au quotidien s'enclenche par cette coupure: la non-écoute de soi mène tôt ou tard à la non-écoute de l'autre, le non-respect de soi mène tôt ou tard au non-respect de l'autre. Cessez d'être gentil, soyez vrai! est un seau d'eau lancé pour nous réveiller de notre inconscience. Il y a urgence à être davantage conscients de notre manière de penser et d'agir. En illustrant ses propos d'exemples percutants, l'auteur explique comment notre tendance à ignorer ou à méconnaître nos propres besoins nous incite à nous faire violence et à reporter sur d'autres cette violence. Pour éviter de glisser dans une spirale d'incompréhension, il s'agit de reconnaître nos besoins et d'en prendre soin nous-même plutôt que de nous plaindre du fait que personne ne s'en occupe. Ce livre est une invitation à désamorcer la mécanique de la violence, là où elle s'enclenche toujours: dans la conscience et le cœur de chacun de nous. Thomas d’Ansembourg a été avocat, conseiller juridique et animateur d’une association qui s’occupe de jeunes en difficulté. Il s’est engagé tôt dans la gestion de conflits. Formé à différentes approches psychothérapeutiques, notamment à la méthode du Dr Marshall Rosenberg, il anime des formations et des conférences et pratique la consultation individuelle.
-- Ce livre a changé ma vie… Cette lecture fut pour moi le commencement d'un grand changement intérieur, une prise de conscience qui a changé ma vie. Ce livre est maintenant mon mentor, je m'y réfère dès que je m'écarte du chemin que je me suis fixé de suivre. Je le recommande à tous et chacun.
Hélène Leclerc (ICI.Radio-Canada.ca)

> CESSEZ D’ÊTRE GENTIL, SOYEZ VRAI !, de Thomas d’Ansembourg - Éd. de L’Homme. — Le plus souvent, ce que nous appelons communication est une juxtaposition de monologues. Au mieux, chacun attend poliment que l’autre ait fini de parler pour placer son propre argument. Au pire, nous nous lançons des reproches à la figure... ou des assiettes. Thomas d’Ansembourg fut longtemps, comme beaucoup, gentil, poli, et parfaitement égoïste. Ce qui l’a fait changer fut son travail avec Marshall Rosenberg, inventeur de la CNV (communication non-violente), qui a réussi à faire dialoguer des ennemis farouches, taulards, adversaires israélo-palestiniens... ou couples en guerre. Reprenant la question, Thomas d’Ansembourg s’est rendu compte que la première cause de conflit est souvent que nous ne savons pas :
1°) prendre conscience de notre propre ressenti,
2°) l’exprimer sous forme d’un sentiment précis,
3°) le traduire en un besoin personnel,
4°) formuler la demande, forcément négociable, que cela implique.
En ignorant nos propres besoins, nous nous faisons violence et reportons cette violence sur les autres. Une invitation à un bonheur authentique.
*Pour en savoir plus sur Thomas d’Ansembourg :
Thomas d’Ansembourg, le bonheur vrai n’est ni gentil, ni confortable, par Patrice van Eersel (Patrice van EERSEL)
Nouvelles Clés

> Thomas d’Ansembourg, le bonheur vrai n’est ni gentil, ni confortable, par Patrice van Eersel. — À PEINE PARUS, SES DEUX LIVRES, "CESSEZ D’ÊTRE GENTIL, SOYEZ VRAI !" ET "LE BONHEUR N’EST PAS NÉCESSAIREMENT CONFORTABLE" ONT CONNU UN GRAND SUCCÈS ET NOUS ONT PLU. INTRIGUÉS PAR CES TITRES NARQUOIS, NOUS AVONS EU ENVIE DE SAVOIR QUI SE CACHAIT DERRIÈRE. PORTRAIT D’UN BRUXELLOIS DU XXI" SIÈCLE.

Aussi loin qu’il remonte dans ses souvenirs, Thomas d’Ansembourg a toujours éprouvé une immense tristesse à voir des gens en conflit. Sa famille était honnêtement catholique et aimante, et aucun traumatisme particulier ne pourrait expliquer cette sensibilité exacerbée. Toujours est-il que, pour lui, le choix professionnel ne fit pas un pli : il serait avocat, pour aider les humains à mieux s’entendre. L’origine de la plupart des conflits lui semblait évidente : défaut de communication. Au barreau de Bruxelles il se fit les dents. Mais ses compétences l’entraînèrent vite vers le droit des affaires, où le bluff, l’esprit procédurier et la brutalité grossière, hypocritement camouflée sous des dehors polis, priment largement sur le désir de mieux communiquer. Aussi s’engagea-t-il, parallèlement à son métier, dans un travail bénévole avec des jeunes en difficulté, dans une association de prévention spécialisée appelée "Flics et Voyous" et dirigée par un ami à lui, ancien avocat “défroqué”, devenu commissaire de police.
Mais réorienter la vitalité des jeunes délinquants vers des activités sportives (escalade, parachutisme, voyage dans le désert) n’allait curieusement pas de soi. Beaucoup restaient prisonniers de spirales suicidaires et renvoyaient le « gentil Thomas » à ses oignons. Celui-ci avait vite repéré combien leur manque de vocabulaire les empêchait d’évoluer, mais il ne pouvait les aider et encaissait mal ses échecs. À la fin, il comprit ce que les jeunes lui signifiaient implicitement : qu’il commence par se soigner lui-même, pour s’arracher à ses propres marigots, avant de prétendre secourir autrui !
Six ans de psychanalyse. Classique. Freudienne. À une époque où l’on écrit des livres noirs sur la chose, Thomas la défendrait plutôt : « Toute approche a ses limites et il existe bien d’autres méthodes. Mais pour moi, ce fut très efficace, malgré ma rage contre les contraintes que ça représentait... ou grâce à elles ! Ce travail de fond débusqua mes automatismes et fit fondre les cloisonnements qui m’empêchaient de voir la réalité. Pour la première fois, j’ai compris que je n’étais obligé d’être gentil, que je pouvais me rebeller contre quelqu’un sans perdre son estime. »
Il est en fin de cure, quand il découvre Père manquant, fils manqué, le premier livre de Guy Corneau. Un choc. D’autant plus marquant que le fameux psy québécois donne justement un stage en Belgique. Thomas et son ami commissaire se souviendront toujours de ce week-end, qui leur laissera l’impression d’avoir « passé au tamis » tout ce qui coinçait dans leurs relations respectives. Pendant le stage, les explosions ultra-émotionnelles des stagiaires (rien que des hommes) les laissent pantois : comment le thérapeute parvient-il à canaliser de pareilles tempêtes, à les rendre libératrices ? Bientôt Thomas y pense sérieusement : voilà le métier qu’il aimerait faire. Avec des jeunes en difficulté, ça pourrait s’avérer inespéré...
Trois stages plus tard, dont un très long au Maroc, Thomas devient l’assistant de Guy Corneau au plat pays. On est en 1993, il a 32 ans et son job d’avocat ne sera bientôt plus qu’un (très confortable) gagne-pain... Mais déjà se profile son second instructeur à l’horizon : Marshall Rosenberg.
« Une pièce maîtresse manquait encore à mon puzzle et voilà qu’elle m’était offerte par cette étonnante synchronicité, qui se met en place sitôt que nous acceptons de nous ouvrir à la vie. » Marshall Rosenberg est l’homme qui, rescapé des camps de la mort, a inventé la CNV : communication-non-violente. « Tout tient en quatre mots, explique Thomas : les faits, les ressentis, les besoins, les demandes. Face à un conflit, il s’agit d’abord d’observer les faits sans juger. Puis de ressentir, le plus précisément possible, ce qu’ils suscitent en moi. Ensuite de traduire ces ressentis en besoins personnels exprimables. Enfin de demander satisfaction de ces besoins - au moins partiellement... car au fond, tout est négociable. »
De nouveau, c’est un travail en groupe, mais très différent. Hommes et femmes sont mélangés. Et il ne s’agit pas de thérapie - même si la première découverte que Rosenberg fait faire à d’Ansebourg (notamment par le biais de sortes de constellations familiales, qui débouchent sur le mystère transpersonnel, quand les protagonistes ont l’impression incroyable d’être différents visages d’une même conscience), c’est la violence énorme qu’il entretient... vis-à-vis de lui-même. Or, il faut s’aimer pour aimer l’autre.
Vis-à-vis de l’autre, justement, Marshall Rosenberg, comme Karl Rogers ou Eric Berne (bien prolongés en France par Jacques Salomé) parle du « tu qui tue » : dans un conflit, apprenons à dire « je » et à faire la part de ce qui revient à chacun.
Moyennant quoi, en peu d’années, la vie de Thomas va changer de fond en comble. Au point de lui donner le vertige. Un double vertige, affectif et professionnel : lui qui se voyait célibataire à vie, va accepter d’épouser une femme et d’avoir des enfants ; lui qui jouissait d’un revenu lucratif, va prendre le risque de tout lâcher, pour devenir thérapeute. C’est à cette époque qu’il découvre la différence entre bonheur et confort. Car lâcher la sécurité - en particulier, dans son cas, risquer de perdre la maison qu’il s’est acheté et dont il raffole - vous creuse un trou dans l’estomac. « Je n’y serais pas arrivé sans ma femme, dit-il. Un jour, elle m’a demandé : “Et si nous perdions cette maison, ça serait vraiment si grave ?” d’un air tel que j’ai éclaté de rire. Le bonheur doit se libérer du confort, dans le sens où il faut renoncer aux petits plaisirs pour en connaître de grands, bien sûr, mais aussi, plus profondément, parce que nous devons apprendre à ne pas toujours faire, faire, faire des choses, pour nous autoriser enfin à être. Or, s’arrêter de faire, donc dire souvent non (aux autres et à soi) vous met dans des situations très inconfortables, remplies de reproches, de regards noirs, de remords, de culpabilité. On vous dit : “Tu as changé, tu es devenu égoïste !” Vous répondez : “J’apprends à être plutôt que faire.” Mais on ne vous comprend pas, du moins au début. Ça fait partie de l’apprentissage : l’estime de soi doit venir de nous, pas des autres. Elle seule autorise des choix conscients : exercer ma liberté d’aller sur tel chemin, c’est faire le deuil de tous les autres chemins. »
Thomas d’Ansembourg ne regrette pas d’avoir lâché le monde des affaires. Ses livres se sont très bien vendus (deux cent mille pour le premier, le second a déjà dépassé les quarante mille quelques mois après sa parution) et sa vie professionnelle se partage désormais entre ses propres stages et conférences. Son truc le plus populaire : Changez votre vie en trois minutes trois fois par jour de vraie présence à soi ! « Si vous prenez vraiment ce temps, plaide-t-il, pour observer ce qui se passe en vous, sans juger, pour constater ce qui vous rend heureux et ce qui vous démolit, ce qui fiche en colère et ce qui vous nourrit, un processus extrêmement transformateur se met en route. Malheureusement, beaucoup de gens ne supportent même pas ces trois fois trois minutes de silence. Dommage, c’est très puissant ! Ça ne permet pas de changer le cadre, mais la façon de vous mouvoir dans ce cadre. »
Quant à sa vie privée, regardez plutôt la photo : il croule sous les femmes !
*Cessez d’être gentil, soyez vrai ! et Le bonheur n’est pas nécessairement confortable, Thomas d’Ansembourg, Editions de L’Homme.
Nouvelles Clés ( )
  Joop-le-philosophe | Dec 4, 2018 |
De structuur van het boek vind ik vrij rommelig: er zijn veel herhalingen, de titels van de hoofdstukken dekken niet altijd de lading, de coherentie is soms ver te zoeken.... Toch raad ik iedereen aan dit boek te lezen omdat het, eigenlijk op basis van gezond verstand, inzichten geeft in onszelf en in onze manier van communiceren waar we zelden bewust van zijn. ( )
  TLievens | Oct 5, 2013 |
I particularly love the theme of Compassionate Communication and therefore giving us Empathic & Nonviolent Communication (NVC) clues around 12 efficient strategies! Useless to say how this would be useful over Personal and Professional situations.
Being Genuine is really nice book for people wanted to act instead of react ... And potentially wanted to focus on NVC and get rid of judgmental style of communication. Avoiding occasions of expense by cultivating peace!

Sunday, Oct 7 - 2012 ( )
  Fouad_Bendris | Dec 25, 2012 |
An excellent book about the art of Non-Violent Communication a concept. I found it more helpful than Marshall Rosenberg's book as it started with the premiss that 1st we need to work on our own internal communication with ourselves and others. For anyone who struggles with our cultures way of communicating and the strife it causes us and those we talk too. ( )
  APMum | Aug 2, 2010 |
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