Pagina principaleGruppiConversazioniAltroStatistiche
Cerca nel Sito
Questo sito utilizza i cookies per fornire i nostri servizi, per migliorare le prestazioni, per analisi, e (per gli utenti che accedono senza fare login) per la pubblicità. Usando LibraryThing confermi di aver letto e capito le nostre condizioni di servizio e la politica sulla privacy. Il tuo uso del sito e dei servizi è soggetto a tali politiche e condizioni.

Risultati da Google Ricerca Libri

Fai clic su di un'immagine per andare a Google Ricerca Libri.

Sto caricando le informazioni...

On Board The Morning Star

di Pierre Mac Orlan

UtentiRecensioniPopolaritàMedia votiCitazioni
2211,019,686 (3.5)3
Si "La isla del tesoro" seg©ðn Chesterton ofrece "una visi©đn de ataudes, horcas y sables ensangrentados envueltos en una luz celestial, durante el fresco resplandor de un sue©ło", en "A bordo de La Estrella Matutina" "prevalece la crueldad sobre el esplendor, la vigilia sobre el sue©ło y las ilusiones se disuelven en la fr©Ưa luz de un alba gris". Si en aquella el protagonista , Jim Hawkins, es un c©Łndido adolescente de respetable familia, en esta, el adolescente-narrador es un marginal vicioso, criado por vagabundos obscenos y alimentado, a veces, a cambio de infames complacencias. Sin piedad, sin romanticismo, sin esperanza (pero no sin lirismo), estos hu©♭rfanos de la sociedad, hijos perdidos del mar, han inspirado esta epopeya del hampa ex©đtica, en la que Mac Orlan, convertido en el Goya de los mendigos del mar, hace brotar entre traiciones y golpes de sable la poes©Ưa salvaje de los despose©Ưdos.… (altro)
Sto caricando le informazioni...

Iscriviti per consentire a LibraryThing di scoprire se ti piacerà questo libro.

Attualmente non vi sono conversazioni su questo libro.

» Vedi le 3 citazioni

C’est George Merry, le capitaine de L’Etoile Matutine. Il ne fumera plus mélancoliquement sa pipe longue et pour lui, maintenant, les Espagnoles replètes n’ont plus sous leurs jupes de quoi exciter sa curiosité.
Raide et somptueux au bout de sa corde, il attire à peine le regard des passants et l’exemple de sa mort ne remplit de crainte que le cœur des faibles.
(p. 191, Chapitre 20).

Mac Graw disait encore : « La vie des hommes qui vont droit devant eux, renaîtraient-ils dix fois en dix mondes meilleurs, serait toujours semblable à la première. Il n’y a qu’une façon d’aller droit devant soi. » (p. 24, Introduction).

J’ai lu ce livre rapidement, mais je dois avouer qu’il m’a plutôt déçue. Je voulais une histoire de mer, j’ai eu une histoire de pirates, bon soit. Mais non, pas exactement une histoire, des historiettes en réalité, puisque chaque chapitre, et le livre en compte vingt, sont autant d’histoires indépendantes les unes des autres, parfois des histoires vécues par le narrateur lui-même, parfois celles d’individus rencontrés dans une taverne mal famée ou tout autre lieu aussi louche. Ce manque d’unité de l’ensemble m’a déçue et ne m’a pas permis de rentrer dans un récit dont j’ai trouvé la construction décousue. Et en plus, j’ai pu voir passer le capitaine Flint, ainsi qu’une énième chasse au trésor. Alors peut-être que je fais une overdose de Long John Silver et de ses acolytes après avoir lu récemment une version abrégée de L’île au trésor par Stéphane Frattini puis une nouvelle aventure de Long John Silver par Xavier Dorison et Mathieu Lauffray, toujours est-il que j’aurais aimé un peu plus de nouveauté, d’inventivité. Les pirates ne se résument quand même pas à l’équipage du Walrus ! Et avec tout cela un style sans unité, oscillant entre le précieux et l’argot.
Bref, peu de nouveautés dans cette description de la piraterie alors sur le déclin, et encore moins de vraisemblance. Alors, peut-être suis-je passée à côté du propos de l’auteur, ou du moins de l’interprétation qu’en fait le préfacier de mon édition Folio, Francis Lacassin. Pierre Mac Orlan aurait voulu peindre « une Ile au trésor sans trésor, sans perroquet et sans espoir » (titre de la préface), de dépouiller la figure du pirate de tout l’apparat romanesque dont les siècles l’ont parés, pour le décrire tel qu’il est, c’est-à-dire un assassin, plus cruel que courageux, plus égoïste qu’anarchiste. Et c’est vrai que les personnages de ce roman ne sont guère glorieux et ne correspondent pas à l’image d’Epinal du pirate. Pas d’abordages intrépides, juste des prises qui capitulent à la simple vue du drapeau noir (ce qui était souvent la réalité, ni les marins des bateaux de commerce ni les pirates n’étaient assez fous pour s’engager dans des combats à l’issue incertaine mais toujours sanglante), des personnages sans foi ni loi, certes, mais pas au grand cœur, impulsifs, batailleurs, plus prompts à user de leur couteau que de leur cervelle…
Vu sous cet angle, le roman commence peut-être à avoir un intérêt, mais si il faut lire les préfaces pour apprécier un bouquin, où va-t-on ? Non, je reste sur ma première idée, pour une aventure marine ou une croisière en compagnie de pirates, on peut passer son chemin, et trouver mieux ailleurs. J’ai un autre livre de Mac Orlan dans ma bibliothèque, L’Ancre de Miséricorde, qui a l’air dans la même veine en plus, je ne sais trop quel sort réserver à ce livre après cette première pêche infructueuse…
  raton-liseur | Jan 14, 2014 |
nessuna recensione | aggiungi una recensione

Appartiene alle Collane Editoriali

Devi effettuare l'accesso per contribuire alle Informazioni generali.
Per maggiori spiegazioni, vedi la pagina di aiuto delle informazioni generali.
Titolo canonico
Dati dalle informazioni generali inglesi. Modifica per tradurlo nella tua lingua.
Titolo originale
Titoli alternativi
Data della prima edizione
Personaggi
Luoghi significativi
Eventi significativi
Film correlati
Epigrafe
Dedica
Incipit
Citazioni
Ultime parole
Nota di disambiguazione
Redattore editoriale
Elogi
Lingua originale
DDC/MDS Canonico
LCC canonico

Risorse esterne che parlano di questo libro

Wikipedia in inglese

Nessuno

Si "La isla del tesoro" seg©ðn Chesterton ofrece "una visi©đn de ataudes, horcas y sables ensangrentados envueltos en una luz celestial, durante el fresco resplandor de un sue©ło", en "A bordo de La Estrella Matutina" "prevalece la crueldad sobre el esplendor, la vigilia sobre el sue©ło y las ilusiones se disuelven en la fr©Ưa luz de un alba gris". Si en aquella el protagonista , Jim Hawkins, es un c©Łndido adolescente de respetable familia, en esta, el adolescente-narrador es un marginal vicioso, criado por vagabundos obscenos y alimentado, a veces, a cambio de infames complacencias. Sin piedad, sin romanticismo, sin esperanza (pero no sin lirismo), estos hu©♭rfanos de la sociedad, hijos perdidos del mar, han inspirado esta epopeya del hampa ex©đtica, en la que Mac Orlan, convertido en el Goya de los mendigos del mar, hace brotar entre traiciones y golpes de sable la poes©Ưa salvaje de los despose©Ưdos.

Non sono state trovate descrizioni di biblioteche

Descrizione del libro
Riassunto haiku

Discussioni correnti

Nessuno

Copertine popolari

Link rapidi

Voto

Media: (3.5)
0.5
1
1.5
2
2.5
3
3.5 1
4
4.5
5

Sei tu?

Diventa un autore di LibraryThing.

 

A proposito di | Contatto | LibraryThing.com | Privacy/Condizioni d'uso | Guida/FAQ | Blog | Negozio | APIs | TinyCat | Biblioteche di personaggi celebri | Recensori in anteprima | Informazioni generali | 205,101,952 libri! | Barra superiore: Sempre visibile