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L'Art francais de la guerre (French Edition)…
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L'Art francais de la guerre (French Edition) (edizione 2011)

di Alexis Jenni

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2295117,618 (3.46)3
It was the beginning of the Gulf War. I watched it on TV and did little else. I was doing badly, you see. Everything was going wrong. I just awaited the end. But then I met Victorien Salagnon, a veteran of the great colonial wars of Indochina, Vietnam and Algeria, a commander who had led his soldiers across the globe, a man with the blood of others up to his elbows. He said he would teach me to paint; he must have been the only painter in the French Forces, but out there no one cares about such things. I cared, though. In return, he wanted me to write his life story. And so he talked, and I wrote, and through him I witnessed the rivers of blood that cut channels through France, I saw the deaths that were as numberless as they were senseless and I began finally to understand the French art of war.… (altro)
Utente:gigile
Titolo:L'Art francais de la guerre (French Edition)
Autori:Alexis Jenni
Info:Gallimard (2011), Edition: GALLIMARD, Paperback, 633 pages
Collezioni:In lettura
Voto:
Etichette:littérature, France, XXIe siècle

Informazioni sull'opera

L'arte francese della guerra di Alexis Jenni

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Très beau roman. Très belle réflexion sur l'une des origines de la violence sociale dans notre société française, de notre difficulté de plus en plus lourde à vivre ensemble. Une théorie inéressante avancée par Alexis Jenni, le mal de la société française vient de ces vingt années de guerre et surtout de défaites que nous avons refusé d'assumer et de comprendre. J'ai beaucoup apprécié l'écriture d'Alexis Jenni et surtout la construction du roman basculement permanent entre la vie de Victorien Salagnon parcourant l'histoire de la France de la résistance puis de la France coloniale et ses guerres et les chapitres décrivant notre société "pacifiée" sous l'emprise permanente des vigiles, des polices municipale, des forces de l'odre et d'un racisme et d'une violence diffuse et permanente pour certaines parties de la population. J'ai été également très sensible au fil conducteur du roman sur la peinture qui devient le seul outil permettant de dire les choses et faire ressortir la beauté. ( )
  folivier | Jul 26, 2017 |
A vue de nez, cet ouvrage est tellement connu qu'il n'y a, a priori, pas besoin d'une énième critique. Je vais donc le faire pour mon entourage et donc me permettre d'en faire le synopsis.

Le récit de ce roman commence au début des années 90 quand la première guerre de l'Irak est en route, le narrateur principal relate sa morne existence à Lyon qui mène à une rencontre capitale avec Victorien Salagnon, un ancien combattant qui erre lui aussi désœuvré dans le même écosystème. Un prétexte pour faire connaissance, le dessin et la peinture chinoise dont Salagnon semble être un maitre ou du moins un fervent adepte. Le narrateur est avide d'apprendre et Salagnon ouvert à cette proposition. En guise de paiement pour cet apprentissage, le narrateur s'engage à écrire les mémoires militaires de Salagnon et c'est là que le bouquin commence : c'est une alternance entre les états d'âme contemporains du narrateur et le récit du destin de Victorien Salagnon.

Les "commentaires" contemporains me font penser, attention je vais me faire flammer, aux tribulations du narrateur de Voyage au bout de la nuit. Pas au niveau du style mais dans le genre safari urbain ("urbex" comme on dirait maintenant ^^) entrainant toute une logorrhée sur les réflexions de ce touriste social à propos de ce qu'il contemple. Dans la seconde partie, c'est donc l'histoire de Salagnon de son adolescence pendant l'occupation allemande jusqu'à la fuite des pieds-noirs d'Alger dans les années 60 en passant par la guerre d'Indochine.

Maintenant, ce que j'en pense. Sur la forme, le style en lui-même, ce n'est pas la révélation (comme celui de Céline justement) mais ce n'est pas non plus simpliste comme la plupart de la littérature de genre que je me tape en parallèle (SF, fantasy, etc.

). Ce n'est pas non plus la complexité de Proust ou Faulkner. Personnellement, j'ai savouré la partie biographique de Salagnon peut-être plus simple que la partie sur les réflexions contemporaines que j'ai trouvée parfois non pas absconse mais parfois mal articulée. J'ai eu parfois l'impression "d'écouter" les digressions de quelqu'un qui parle en même temps qu'il réfléchit sur un sujet, quelque chose de saccadé, qui manque un peu de structure. Je pinaille, hein, je prends quand même : c'est au-dessus de la plupart de ce que j'ai pu lire jusqu'alors mais je ne n'irais pas jusqu'à dire "Je lis du Jenni" comme j'aurais voulu dire un jour "Je lis du Faulkner" (parce que c'est encore au-dessus de mes moyens intellectuels :/).

Sur le fond, le récit sur Salagnon, les réflexions du narrateur même si ce sont deux choses différentes (même si elles se rejoignent à la fin), je les ai appréciés. Le narrateur, je le rejoins sur sa manière de voir les choses, sur ses conclusions probablement parce que je lui "ressemble" (ethniquement, politiquement, « générationnellement »), que je vois la société à travers le même prisme contrairement à Salagnon, Mariani et Eurydice. Puis accessoirement, actuellement, je souffre presque de ne pas savoir dessiner et, avec la pourriture colonialiste, le dessin et la peinture sont un des fils rouges de tout le livre. C'est un hasard complet, je ne savais pas que ce livre allait parler de cette activité mais ça m'a permis d'entrer en quelque sorte en résonnance avec le narrateur. Et la guerre ? Ce qui m'a attiré vers ce livre. Je m'intéresse à la seconde guerre mondiale, aux français de la seconde guerre mondiale, etc. J'en ai eu un peu, le minimum syndical. Ceci dit, plus on lit à propos d'un sujet précis et moins on en apprend. On apprend toujours un truc nouveau, une information inédite, un point de vue inédit. J'ai plutôt découvert l'ambiance de Lyon qu'autre chose. En revanche, il faut un début à tout mais j'ai découvert la guerre d'Indochine et la guerre l'Algérie. D'accord, j'en avais déjà entendu parler (au lycée) et il n'est pas possible de ne pas connaitre un pied-noir mais jusqu'à maintenant, je ne m'y étais pas intéressé. Probablement parce que je n'ai personne de ma famille qui a été impliqué directement dans ces guerres (à ma connaissance, notre dernier soldat a combattu en 1945). Bref, ces récits me semblent un bon début, ils m'ont ouvert l'appétit et peu après, je discutais auprès d'une collègue pied-noir sur ses souvenirs de l'époque. La machine à lire est relancée, la liste de films sur l'Indochine est établie, les autres anciens d'Algérie repérés. L'art français de la guerre fut donc pour moi un livre qui me donne envie d'en savoir plus, qui me donne envie de lire. Ce ne fut pas la révélation du siècle, un incontournable mais ça reste pour moi une lecture recommandable. ( )
1 vota Chassegnouf | Jan 4, 2014 |
Op zich goed qua inhoud, qua ritme nogal traag en vlak. Het boek wordt echter links en rechts aangekondigd als "de nieuwe Littell" of " wat 'De welwillenden' waren voor Duitsland, is 'In tijden van oorlog' voor Frankrijk", maar dat is te veel eer. Littell grijpt je constant terwijl bij Jenni enkel een paar Algerijnse passages datzelfde niveau halen. ( )
1 vota Jevers01 | Jan 17, 2013 |
Une réflexion intéressante sur les guerres coloniales françaises de l'après guerre. Sont elles une des sources du racisme ordinaire de la France de ce début du 21ème siècle ?

Le livre est un peu long à démarrer à mon gout et les personnages de Victorien Salagnon et de Mariani seuls lui confère de l'intérêt à mes yeux.
Je ne suis pas sûr d'avoir complètement appréhendé les intentions de l'auteur mais certaines remarques (notamment sur l'utilisation de la violence comme façon de régler les problèmes) m'ont donné à réfléchir. ( )
  yannrosko | Feb 20, 2012 |
J'allais mal; tout va mal; j'attendais la fin. Quand j'ai rencontré Victorien Salagnon, il ne pouvait être pire, il l'avait faite la guerre de vingt ans qui nous obsède, qui n'arrive pas à finir, il avait parcouru le monde avec sa bande armée, il devait avoir du sang jusqu'aux coudes. Mais il m'a appris à peindre. Il devait être le seul peintre de toute l'armée coloniale, mais là-bas on ne faisait pas attention à ces détails. Il m'apprit à peindre, et en échange je lui écrivis son histoire. Il dit, et je pus montrer, et je vis le fleuve de sang qui traverse ma ville si paisible, je vis l'art français de la guerre qui ne change pas, et je vis l'émeute qui vient toujours pour les mêmes raisons, des raisons françaises qui ne changent pas. Victorien Salagnon me rendit le temps tout entier, à travers la guerre qui hante notre langue.
  vdb | Dec 31, 2011 |
Mostra 5 di 5
aggiunto da grimm | modificale Figaro, Frédéric Beigbeider (Aug 27, 2011)
 
Vom Krieg im Frieden
Als 1991 der erste Golfkrieg ausbricht, ist er für den jungen Erzähler von Alexis Jennis beeindruckendem Roman nicht viel mehr als ein paar harmlose Bilder im Fernsehen – ein Geschehen, weit weg, das sein Dasein nicht berührt. Er lässt sich treiben wie immer, als ginge ihn das alles nichts an. Bis er eines Tages in einem Bistro Victor Salagnon kennenlernt, einen Greis, der als junger Mann in der Résistance gegen die Deutschen kämpfte und später in Indochina und Algerien in Frankreichs schmutzigen Kolonialkriegen diente. Salagnon ist ein begnadeter Tuschezeichner, aber er kennt auch das wahre Gesicht des Krieges: Er hat noch die Kunst des Tötens gelernt und ausgeübt.

Bei diesem Mann, in dessen Wesen sich das Zivilisierte und das Barbarische merkwürdig vereint finden, lernt der Erzähler das Zeichnen. Und währenddessen erzählt ihm Salagnon von seinem Leben im Krieg und für den Krieg, von seinen Träumen und seinen Alpträumen, die ihn bis heute verfolgen. Und je länger der Erzähler dieser Geschichte lauscht, desto mehr begreift er, dass Salagnons Vergangenheit direkt in unsere Gegenwart zielt. Dass wir, die wir glauben in einer Epoche des Friedens aufgewachsen zu sein, den Krieg lediglich tabuisiert und verdrängt haben. Dass wir das Morden und Töten verlagert, es in ferne Länder exportiert haben: nach Südostasien, nach Afrika, in den mittleren Osten. Und dass der Krieg deshalb bis heute untergründig alle westlichen Gesellschaften durchzieht …

Alexis Jennis monumentaler Roman war die literarische Sensation des Jahres 2011; er ist, so die einhellige Meinung, ein Meisterwerk, das den versteckten Krieg, auf dem unser Frieden beruht, wieder sichtbar macht.
 

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Luoghi significativi
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Eventi significativi
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Epigrafe
Dedica
Incipit
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Les débuts de 1991 furent marqués par les préparatifs de la guerre du Golfe et les progès de ma totale irresponsabilité.
Citazioni
Ultime parole
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Nota di disambiguazione
Redattore editoriale
Elogi
Lingua originale
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Risorse esterne che parlano di questo libro

Wikipedia in inglese (1)

It was the beginning of the Gulf War. I watched it on TV and did little else. I was doing badly, you see. Everything was going wrong. I just awaited the end. But then I met Victorien Salagnon, a veteran of the great colonial wars of Indochina, Vietnam and Algeria, a commander who had led his soldiers across the globe, a man with the blood of others up to his elbows. He said he would teach me to paint; he must have been the only painter in the French Forces, but out there no one cares about such things. I cared, though. In return, he wanted me to write his life story. And so he talked, and I wrote, and through him I witnessed the rivers of blood that cut channels through France, I saw the deaths that were as numberless as they were senseless and I began finally to understand the French art of war.

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