Jean Mambrino

> Mambrino, Jean. L'Oiseau-cceur. Paris: Stock, 1979. Pp. 328.
Se reporter au compte rendu de Tatiana GREENE
In: The French Review, Vol. 55, No. 3 (Feb., 1982), p. 439… ; (en ligne),
URL : https://drive.google.com/file/d/14RFKQXUQHsA5SQwsuFiWRHMwwYHmAg_y/view?usp=shari...… (altro)

> Jean Mambrino, Le Chant profond. Paris, José Corti, 1985. Un vol. in-8° de 360 p.
Se reporter au compte rendu de Jean-Noël SEGRESTAA
In: Revue d'Histoire littéraire de la France, 88e Année, No. 1 (Jan. - Feb., 1988), pp. 152-153. … ; (en ligne),
URL : target="_top">https://drive.google.com/file/d/1GgkbYoeBjfu7hdP8tK6IQNKbUxHUNx6S/view?usp=shari... ; JSTOR : https://www.jstor.org/stable/40529042

> Jean Onimus. Le chant profond de Jean Mambrino.
In: Littératures19, automne 1988. pp. 133-145. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/litts_0563-9751_1988_num_19_1_1452… (altro)

> UNE CERTAINE NUIT. TRANSCENDANCE ET POÉSIE, de Jean Mambrino, Jean-Claude Renard, Yves-Alain Favre. Paris, Éditions Universitaires, 1992. Un vol. in-8° de 110 p. — Cette dense et belle introduction à la lecture et à l’exercice de la poésie donne la parole successivement à deux grands poètes contemporains de la mouvance spiritualiste, puis au regretté Y.-A. Favre, qui situe leur entreprise avec une grande clarté dans le vaste atelier de la poésie moderne. C’est peut-être par cette excellente conclusion qu’il convient de commencer le livre.
Le chatoiement des mots de Jean Mambrino, la prose plus nue, plus serrée et parfois plus exigeante, de Jean-Claude Renard, nous placent au coeur de leur expérience créatrice. « Je parle pour ne rien dire, pour dire le rien qui dévaste mon silence et rejoint le vôtre », écrit Jean Mambrino. Et Jean-Claude Renard, lui, définit la poésie comme « révolution (et révélation) intime » et s’attache avec rigueur et modestie à marquer son terrain d’élection, distinct certes de la littérature d’idées (sans incompatibilité radicale toutefois) mais aussi de l’expérience mystique.
Un double « art poétique » tissé de pudeur et d’émotion qui devrait, on le souhaite ardemment, apprivoiser bien des esprits méfiants (il n’en manque pas, même à l’Université) à l’écriture impressionnante mais indispensable, des poètes d’aujourd’hui. (Jean-Noël SEGRESTAA)
—Revue d'Histoire littéraire de la France 94e Année, No. 2 (Mar. - Apr., 1994), pp. 387-388… (altro)