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Jacques Ferrandez

Autore di The Stranger: The Graphic Novel

47+ opere 339 membri 7 recensioni

Sull'Autore

Comprende il nome: Jacques Ferrandez

Fonte dell'immagine: Jacques Ferrandez à Mouans-Sartoux en 2012

Serie

Opere di Jacques Ferrandez

The Stranger: The Graphic Novel (2013) — Autore — 94 copie
Carnets d'Orient, tome 1 (1987) 30 copie
La Boîte noire (2000) 11 copie
Achterland (1982) 9 copie
Alger la noire (2012) 7 copie
Carnets d'orient (1987) 6 copie
O primeiro homem (2019) 5 copie
Le chant du monde, d'après l’œuvre de Jean Giono (0201) — Illustratore — 4 copie
VILLA TENEBRE (1994) 4 copie
Im Jahr der Flammen (1991) 2 copie
Comic Art n.155 - Ottobre 1997 — Immagine di copertina — 1 copia
Den fremmede (2020) 1 copia
Nouvelles du pays (1986) 1 copia
Outsiders (1986) 1 copia
Stranac 1 copia
Miles Davis (2CD audio) (2006) 1 copia

Opere correlate

L' occhio del lupo (1984) — Illustratore, alcune edizioni472 copie

Etichette

Informazioni generali

Data di nascita
1955-12-12
Sesso
male
Nazionalità
France
Nazione (per mappa)
France
Luogo di nascita
Alger, Algérie
Attività lavorative
Dessinateur (BD)
Scénariste (BD)

Utenti

Recensioni

Dans ma mémoire, le roman de Camus ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable. Peut-être un peu d’ennui scolaire nimbé d’une aura de chef d’oeuvre que je n’avais pas du comprendre. Guère plus.

L’adaptation m’avait donc intéressé, peut-être m’étais-je trompé alors et le dessin pourrait révéler ce qui m’avait échappé. Mais non. L’ennui est toujours là.

Certes, certaines aquarelles sont réussies, mais l’ensemble reste aussi statique que son personnage bartlebien. Une BD dans l’étouffante torpeur algérienne qui m’a laissé froid… (altro)
 
Segnalato
noid.ch | 2 altre recensioni | Oct 28, 2023 |
This was a mega boring one. I had plough thru to complete it.
 
Segnalato
Santhosh_Guru | 2 altre recensioni | Oct 19, 2023 |
Quand le drapeau est déployé toute l’intelligence est dans la trompette (Stefan Zweig - p72)

La mémoire se légitime dans la seule mesure où elle vise à garantir l’identité d’un groupe qui a un rapport affectif douloureux au passé. Elle joue sur l’obsession du culte du souvenir, de la souffrance exclusive décrétées unique et incomparable à celle de l’Autre, inopposable. (P72)

Plus tard, à l’école, et dans la petite cité où j’ai grandi, ‘j’ai eu des petits copains européens. Ils étaient français, sépharades, maltais, espagnols, italiens, vietnamiens, allemands. Ils ne ressemblaient pas du tout aux enfants de colons. Ils étaient presque aussi pauvres que nous et la guerre leur faisait aussi peur qu’à nous. On était presque pareils sauf qu’on n’était pas du même côté du miroir. Ce n’est pas facile d’être tous du même côté du miroir. Parce que si c’était le cas, qui regarder et qui haïr alors ? (…) Face à face, chacun de son côté, nous regardons les mêmes choses aux mÊmes moments. Deux frères qui voient l’Histoire se faire au détriment d’eux, incapables d’arrêter son cours ou de glisser un grain de sable pour en arrêter les rouages. (P196)

On ne m’ôtera pas de l’idée qu’une nation, c‘’et une colonisation qui a réussi (p206)

Mais une guerre est-elle vraiment finie lorsque se taisent les armes ? (…) Il faut que le temps passe pour que la parole vienne, c’est peut-être la condition pour que la guerre s’arrête (..) Que vienne la parole pour réconcilier les mémoires… alors seulement pourrons-nous regarder l’histoire en face. Alors seulement la guerre sera finie. (P259)
… (altro)
 
Segnalato
folivier | Aug 10, 2021 |
> Critiques Libres : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/35663
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Camus-Letranger/3874
> Voir un extrait : rel="nofollow" target="_top">https://books.google.fr/books?id=8ilBLY4QEGoC&hl=fr&printsec=frontcover&...

> L'ETRANGER, de A. Camus - 1941 (2ième partie). — Meursault est-il vraiment étranger ? Nous ne pouvons nous permettre de répondre immédiatement à la question mais le tout se clarifiera avec les articles suivants. Voyons l'homme autour duquel tourne le roman. C'est le type froid autant sur le plan intérieur qu’extérieur. Il rejette tout ce qui lui est extérieur; Dieu entre autres. Son instruction religieuse est minime pour ne pas dire nulle. Le besoin d'absolu commun à chacun ne le touche pas. Il est matérialiste, réservé et quelque peu replié sur lui-même. Il n'en reste pas moins qu'il était conscient et même attentionné par ses proches ; en autres : Raymond, surtout, Marie, le maître du chien et ses copains de travail. Il vit inconsciemment. En effet ne s'aperçoit-il pas qu’il est heureux ? Ce, il le reconnaîtra après son crime lorsqu'il dira : "J'ai compris que j’avais détruit l'ordre du jour !" L’Etranger, Albert Camus, 1957, Coll, du Livre de Poche, (p. 90). La Rencontre.
La revue de Gatineau, 17 janv. 1968… (altro)
 
Segnalato
Joop-le-philosophe | 2 altre recensioni | Mar 23, 2021 |

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Utenti
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Popolarità
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Voto
½ 3.7
Recensioni
7
ISBN
62
Lingue
8

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