Recoge textos remozados y occidentalizados por Idries Shah. Se trata de una obra diáctica y doctrinaria, embellecida por el encanto de las narraciones tradicionales del Asia milenaria y su clima fantástico y poético. Idries Shah, diestro cuentista que combina el lirismo de Tagore con la serena sabiduría de Krishmamurti, en el más alto exponente del mundo del sufismo (antiguo pensaiento tradicional islámico, para algunos místico, para otros un cuerpo de conocimientos morales) y procura hacer accesibles a Ocidente aquellos aspectos del sufismo que le serían muy beneficiosos, transmitiendo la enseñanza moral y espiritual sufí a través de situaciones muy siemples e ingeniosas -analogías, parábolas, apólogos, proverbios- que encienrran mensajes de enseñanza interior y de agudo conocimiento del hombre y de la vida.

> Jamais encore ne m’était apparu avec une telle clarté pour l’âme et l’esprit l’enseignement contenu dans la parabole « L’hôte et les invités », figurant dans les écrits du Maître Amir-Sayed Kulal Sokhari qui mourut en 1371. Son intégration demande l’effort simultané des trois composantes de l’unité humaine : le corps, le psychisme et le mental.
L’HÔTE ET LES INVITÉS*
« Le Maître est l’hôte dans la maison. Ses invités sont ceux qui s’efforcent d’étudier la Voie. Ils n’ont jamais été dans une maison auparavant et n’ont qu’une vague idée de ce à quoi elle peut ressembler. Elle existe néanmoins.
Lorsque les invités entrent dans la maison et qu’ils découvrent les sièges, ils sont vaguement conscients de la fonction de ce que cela représente. Ils demeurent souvent perplexes et parfois mal à l’aise.
Le bon hôte qui “ connaît ” le problème de ses invités s’emploie à les mettre à l’aise, afin qu’ils soient en mesure de goûter la nourriture lorsqu’elle viendra. Au début, ils ne sont pas en état de s’approcher de la nourriture. Certains sont plus rapides que d’autres à comprendre et à saisir les rapports entre les différents éléments de la maison. Ce sont ceux-là qui peuvent communiquer ce qu’ils savent à leurs amis plus lents.
L’hôte, pendant ce temps, donne à chaque invité la réponse qui correspond à sa capacité de percevoir l’unité et la fonction de la maison. Il n’est pas suffisant qu’une maison existe, qu’elle soit prête à recevoir ses invités et que l’hôte soit présent. Quelqu’un doit alors exercer activement la fonction d’hôte, afin que les étrangers qui sont les invités, et dont l’hôte prend la responsabilité, puissent se familiariser avec la maison.
Au début, nombre d’entre eux n’ont pas conscience d’être des invités ou, plus exactement, de ce que signifie la situation d’invité, ce qu’ils peuvent apporter à cette situation et ce qu’ils peuvent en recevoir.
L’invité expérimenté qui a étudié la maison et l’hospitalité est finalement à l’aise dans sa condition d’invité et il est à même de mieux comprendre tout ce qui se rapporte aux maisons et aux aspects variés de la vie dans ces maisons. Tant qu’il en est encore à essayer de comprendre ce qu'est une maison, ou à tenter de se rappeler les règles de l'étiquette, son attention reste trop accaparée par ces facteurs pour qu'il soit en mesure d'observer, par exemple, la beauté, la valeur ou la fonction des différents meubles de la maison.
Cette parabole vénérée est censée s'appliquer sur plusieurs plans. Elle se réfère à la mise en ordre des différentes fonctions psychiques, qui peut permettre à une certaine perception de l'univers, perception supérieure, de se développer.
Elle est aussi destinée à indiquer, sous une forme facile à garder présente à l'esprit, la nécessité d'un groupe de travail, l'inter-relation des individus qui le composent et la manière dont ils peuvent se compléter mutuellement. Il faut un certain arrangement des facteurs, avant que l'individu puisse bénéficier des efforts du groupe. »
*Cette parabole n’existe dans aucun classique. Elle est extraite de Contes derviches, par Idrics Shah, Éd. Le Courrier du Livre, 1979. … ; (Source),
cité dans: Jeanne Guesné, Le 3e souffle, Albin Michel (1995), pp. 172-174

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Shah-Contes-derviches/12436

> Une réédition de ce recueil indispensable des plus belles histoires de la tradition soufie, rassemblées par Idries Shah. A découvrir et à méditer.
—Psychologies ( )

This is a collection of various Sufi tales---some more well-known than others. The stories are all entertaining and conducive to contemplation and edification, but being first published in 1970 it may be an early work of Idries Shah and thus suffers from an excess of eruditeness. The grammar and phrasing seem designed to elicit the flavor of the Arabian Nights tales and of an era of florid and stretched elegance in phraseology. I found it a bit distracting and unnecessary. Sure, this isn't the Mullah Nasruddin, but it just came across a bit stilted and unnecessary. In spite of this caveat it's a good read and you may (or may not) learn any lessons from it. ( )

CUENTOS DE LOS DERVICHES

Cuentos de derviches recoge textos remozados y occidentalizados por Idries Shah. Se trata de una obra didáctica y doctrinaria, embellecida por el encanto de las narraciones tradicionales del Asia milenaria y su clima fantástico y poético. Idries Shah, diestro cuentista que combina el lirismo de Tagore con la serena sabiduria de Krishnamurti, es el mas alto exponente del mundo del sufismo (antiguo pensamiento tradicional islámico, para algunos místico, para otros un cuerpo de conocimientos morales) y procura hacer accesibles a Occidente aquellos aspectos del sufismo que le serian muy beneficiosos, transmitiendo la enseñanza moral y espiritual sufi a traves de situaciones muy simples e ingeniosas -analogias, parabolas, apologos, proverbios- que encierran mensajes de enseñanza interior y de agudo conocimiento del hombre y de la vida. Introduccion de Robert Graves

I first encountered this book in 1970 in what officially was an English Composition class but was really a class in, for me, radically different ways of thinking. Among the texts was this book, my first introduction to Eastern religion, a collection of Sufi teaching stories. The stories are a form of parable, but intended to be understood differently according to the ability of the listener/reader. Some of them I still vividly recall and have used in conversations with friends and therapy clients. I went on to study with a Sufi guide for a while, and learned from him a Sufi meditation practice aimed at increasing intuition and creativity that seemed to open up a kind of 6th sense while I was doing it daily. Remarkable stuff. I've since migrated to Buddhist practices, but I continue to find the Sufi teachings and practices intriguing, and for me they started here. ( )