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Exploradores del abismo

di Enrique Vila-Matas

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Short stories examine a variety of styles and themes, from Russia in 1904 to science fiction, and explore being a writer.
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Lo he terminado por pura disciplina, y esto me ha permitido leer el penúltimo cuento, que ha sido el único que me ha gustado.
Gran decepción en mi primer Vila-Matas, pero lo volveré a intentar con "El mal de Montano". ( )
  crsiaac | Sep 10, 2008 |
Ce retour de Vila-Matas au format de la nouvelle est très réussi. Si le thème récurrent et titre de cette série, "Explorateurs de l'abîme" est proche des préoccupations habituelles de l'auteur, son traitement est volontairement plus optimiste et flirte souvent avec le fantastique. "quand on est à un seul pas de l'abîme et qu'on veut que ce pas nous maintienne en vie, mais loin d'ici." indique comme un programme la première nouvelle, "Café Kubista".

La Modestie : Le narrateur "espionne" dans le bus n°24, à la recherche de phrase, de visages, de gestes.

Sang et Eau : La volonté de changer de style.

Nino : Nino passe sa vie à se faire financer par son père le narrateur sous prétexte d'explorer les abîmes (en alpiniste, en équilibriste, en malade). Le narrateur n'est pas dupe et finit par refuser.

Ainsi sont les autistes : Luc est resté toute sa vie chez lui, dans son village, amoureux de la pluie et de la couleur rouge. Un coup de fil, un canular, déclenche une prise de conscience subite. De petits changements le transformeront définitivement, il ira à Stokholm et "guérira" de son presqu'autisme.

Matière obscure : Un couple se dispute et s'interroge sur leurs préoccupations personnelles (un genou douloureux) comme sur celles du monde. A-t-on par exemple réussi a "voir" la matière obscure ? Et qui est ce voisin mystérieux (le narrateur) ? "C'était comme s'il savaient que leur salut était dans le vide, mais qu'il n'était guère urgent de franchir le seuil béni."

Loin d'ici : Les tourments d'Andrei Petrovitch Petrescov, à l'aube du vingtième siècle, père de jumelles "stratosphériques" aux questions effrayantes "qu'y a-t-il loin d'ici ?", "pourquoi y a-t-il quelquechose et non pas rien ?", et de jeunes adultes révolutionnaires et sanguinaires. Un soir il racontera dans le noir ce conte, qui sera transmi par une des jumelles au grand-père du narrateur.

La prédiction par une gitane sur les conditions invraisemblables de la mort d'Isabelle Dumarchey se réalise lentement mais surement malgré les précautions de celle-ci.

J'ai aimé Bo : Un homme est le seul survivant d'un incident de voyage interstellaire, la destination (la Terre) a été loupée et le vaisseau continue indéfiniment dans le vide. Finalement il est intercepté par les Karibéens, êtres les plus drôles de l'univers. L'homme si adapte, tout en se souvenant tristement de son ancienne compagne, Bô. La nouvelle se termine par la réalisation d'un souhait du personnante : vivre une fin spectaculaire de l'univers avant de mourrir.

Illuminé : Illuminé est un ami d'enfance du narrateur qui disait écouter les conseils de son père en posant son front contre les murs. C'est le secret qu'il lui délivre quand le narrateur doit le raccompagner chez ses parents depuis l'école. Ils croiseront le groupe les Shadows et... la mère de llluminé manifestement très amie du chanteur. Les routes des deux enfants se séparent alors, et le narrateur essaiera vainement de retrouver sa trace, rêvant de le retrouver par hasard à Barcelone pour apprendre qu'il 'avait "jamais bougé du quartier".

Parce qu'elle ne l'a pas demandé : Enrique Vila-Matas écrit une nouvelle sur Rita Malù, artiste qui se considère comme la meilleure imitatrice de Sophie Calle. Il raconte comment elle décide de devenir détective privé et son aventure su sur l'île de Pico, dans les Açores. Dans la deuxième partie de la nouvelle on apprend que le texte précédent avait en fait été commandé par la vraie Sophie Calle dans le cadre de son nouveau projet qui consistait à vivre une oeuvre de fiction. Mais Sophie Calle retarde l'éxécution de son projet avec des justifications de plus en plus fallacieuses et Vila-Matas finit par lui envoyer des lettres et emails amers auxquels Sophie Calle répond sur le même ton. Finalement il règle ses comptes dans une émission de télévision à laquelle il était invité ainsi que Sophie Calle pour parler du projet.
Alors l'auteur décide de tenter lui-même de vivre la fiction qu'il a écrite, car l'appel de Sophie Calle était aussi une fiction. Il va demander à son ami Ray Loriga de demander à l'artiste française de l'appeler. Ce qu'elle fait pour lui proposer un rendez-vous au Café le Flore, comme prévu. Vila-Matas s'y rend, alors qu'il doit sous peu subir une opération urinaire importante. Après une autre aventure impliquant un "artiste retiré" qui demande aux passants s'il ne le reconnaissent pas, Vila-Matas et Sophie Calle se retrouvent donc à discuter, et le narrateur finit par déclarer qu'aller au-delà de la littérature ne l'intéresse plus : "On dirait ces recherches biochimiques qu'on commence à entrevoir et qui, je crois, tendent un piège à l'homme.". Il se rend alors compte qu'il est, face à Sophie Calle, le fantôme de l'ile de Pico qu'avait rencontré Rita Malu.

La gloire solitaire : Le genius loci, l'isolement des grands artistes, celui des enfants dans leurs jeux.

Épilogue : "Je tenais le stylo à bille machinalement pointé vers les choes. Quand je m'en suis rendu compte, je lui ai immédiatement fait prendre une autre direction où il n'y avait rien." Peter Handke, Le Poids du monde. ( )
  aipotu | Jul 20, 2008 |
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