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Revue Française de Yoga, N° 15, Janvier 1997 : L'ENERGIE EN QUESTION

di Fédération nationale des libres penseurs de France et de l'Union française

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> Revue Française de Yoga N°15, L'ENERGIE EN QUESTION, Collectif, Ysé Tardan-Masquelier (dir.). — Ki, chi, kundalini, big-bang, forces atomiques, le terme « énergie » a pris une extension si large qu'il est en danger de perdre toute signification. Il est par exemple devenu courant de voir confondues des notions aussi différentes qu’énergie et information. À partir des disciplines orientales fondées sur la prise de conscience et la maîtrise de l'énergie, cet ouvrage collectif (notons entre autres les noms de Annick de Souzenelle et de Jean-Marie Pelt) fait d'abord un repérage de l'apport des traditions spirituelles dans lesquelles les voies d'évolution les plus modernes puisent volontiers. Il fait ensuite le point sur les aspects scientifiques, écologiques et cosmiques. Une troisième partie tente de faire le portrait d'une espèce remarquable : l'Homo energeticus.
Pour terminer, des artistes, remontant à la source de l'énergie créatrice, disent ce qu'elle représente pour eux. Une vaste bibliographie pour terminer. Ed. Dervy. (Patrice VAN EERSEL)
Nouvelles Clés, (14), Été 1997, (p. 74)

> L'ENERGIE EN QUESTION, Revue Française de Yoga n°15, Fédération Nationale des Enseignants de Yoga. — Le mot "énergie" est devenu est des termes les plus utilisés depuis quelques années ; jusqu’alors réservé à la science, il est entré dans le vocabulaire de la psychologie et des disciplines à médiation corporelle. Il s’est tellement dilaté qu’on ne connaît plus très bien sa signification première.
Ce volume se propose donc de remettre "l’énergie en question". Il aborde ses significations dans les cultures traditionnelles indienne, chinoise et judéo-chrétienne. Il s’intéresse ensuite aux recherches les plus contemporaines en écologie et en physique, et décrit la subtilité des équilibres énergétiques qui relient tous les plans de la vie, y compris individuelle. Une troisième section est consacrée à l’énergétique humaine. L’ouvrage se clôt par une réflexion sur la création comme quête de l’énergie à son origine et passage conscient de l’énergie dans la forme. Editions Dervy, 1997. 267 p.
3e millénaire, (45), Automne 1997

> Par Revue Française de Yoga (Lemondeduyoga.org) : N°15 : L'ENERGIE EN QUESTION. — Le terme « énergie » a pris une extension si large qu’il est en danger de perdre toute signification. À partir des disciplines orientales fondées sur la prise de conscience et la maîtrise de l’énergie, cet ouvrage collectif revient sur un thème à la mode depuis vingt-cinq ans, pour en montrer les nouvelles configurations. Il faut d’abord […]
Le terme « énergie » a pris une extension si large qu’il est en danger de perdre toute signification. À partir des disciplines orientales fondées sur la prise de conscience et la maîtrise de l’énergie, cet ouvrage collectif revient sur un thème à la mode depuis vingt-cinq ans, pour en montrer les nouvelles configurations.
Il faut d’abord un précieux repérage de l’apport des traditions spirituelles dans lesquelles les voies de l’évolution les plus modernes puisent volontiers. Il fait ensuite le point sur les aspects scientifiques, écologiques et cosmiques. Une troisième partie tente de faire le portrait d’une espèce remarquable : l’homme energeticus. Pour terminer, disent ce qu’elle représente pour eux. Une vaste bibliographie commentée fait de ce livre un guide original.
____________________

LECTURES TRADITIONNELLES DE L’ÉNERGIE : DE L’INDE À LA CHINE ET À LA BIBLE
Boris Tatzky – Prâna : concept du principe universel
Isabelle Brachet – La science des énergies dans la médecine indienne traditionnelle
Jean-Marc Kespi – Le QI dans la cosmologie chinoise
Annick de Souzenelle – « Et le fleuve jaillit d’Eden »: le rôle des énergies dans la tradition judéo-chrétienne

L’ÉNERGIE, LA NATURE ET LE COSMOS
Michel Crozon – L’Energie : unité et multiplicité
Jean-Marie Pelt – Solidarités dans la nature, unité de la nature
Jean-Pierre Laffez – Rythme et énergie

L’ÉNERGÉTIQUE HUMAINE
François Roux – Homo energeticus
Alfred Tomatis – L’énergétique des sons : à l’écoute des mantra
Anne Granger – Énergie, Conscience et Expérience

LA FLAMME DE LA CRÉATION
Maurice Cocagnac – Le feu intérieur
Sylvie Litvine – Le travail sur la matière et la matière en travail
Catherine Cisinski – Je suis née. Je crée. J’existe
Denis Laming – L’énergie créatrice en architecture et la naissance d’une œuvre
Ysé Tardan-Masquelier – Que lire sur l’énergie ? Bibliographie critique et commentée

QUE LIRE SUR L’ENERGIE ?
BIBLIOGRAPHIE CRITIQUE ET COMMENTÉE

Ysé Tardan-Masquelier

I. L’ÉNERGIE EN YOGA ET DANS LA TRADITION INDIENNE

— André PADOUX : Recherches sur le symbolisme et l’énergie de la Parole dans certains textes tantriques, Paris, De Boccard.
— André PADOUX : L'Énergie de la parole, Ed. Le Soleil noir, 1981.
La civilisation indienne, plus que tout autre, a accordé à la Parole un rôle fondamental notamment dans les mythes où la puissance cosmogonique ou magique de certaines formes du Verbe fait l’objet de nombreuses spéculations. L’Inde, la première au monde, et sans doute la seule - nous dit A. Padoux - a élaboré bien avant notre ère une phonétique et une grammaire aujourd’hui encore scientifiquement valable. L’ouvrage traite de ces spéculations sous l’aspect particulier de l’hindouisme tantrique. La Parole, créatrice du monde, intervient comme « instrument d’action de celui-ci, moyen de le faire apparaître ou disparaître, force à la fois cosmique et humaine donc à portée cosmogonique, tout en étant utilisable pour le salut et pour la perdition de l’homme ». La Kundalînî est présentée dans sa relation au son et à la parole. Ce livre expose aussi la cosmogonie liée aux lettres de l’alphabet sanskrit, langue « parfaite », sacrée, dont la phonétique dicte les étapes de la naissance du monde. Le dernier chapitre est consacré au mantra, parole sacrée et opératoire.

— Jean VARENNE (trad) : Upanishads du yoga, Gallimard, 19
Ces Upanishad, qui ne figurent pas parmi les Upanishad majeures du canon des textes sacrés de l’Inde, proviennent de milieux d’ascètes et de yogis, qui ont mis en forme leurs expériences empiriques. On voit pratiquement naître la réflexion sur l’énergie et ses manifestations psycho-corporelles. On est là au moment d’invention du vocabulaire de l’énergie en Yoga : prâna, nadî, chakra, etc. sont des termes encore « tout frais ».
Les postures et les exercices de prânâyâma, de concentration, de visualisation sont décrits avec plus de détail que dans les traités classiques. Tout est dynamique, en mouvement, dominé par une vision énergétique du monde et du corps.

YOGA-SUTRA DE PATANJALI
De nombreuses traductions commentées existent aujourd’hui en langue française ; nous recensons simplement ici les plus sûres :
— Jean PAPIN, La voie du Yoga, Dervy-Livres, 1984.
— I.K. TAIMNI, La science du Yoga, de l’humain au divin, éd. Adyar, 1980.
— PATANJALI, Yoga-sûtras, Albin Michel, coll. Spiritualités vivantes, 1991.
Yoga-sutra de Patanjali, Traduction et commentaire de T.K.V. — DESIKACHAR, éd. du Rocher, 1986.
— SVAMI SATYANANDA SARASVATI, Propos sur la liberté, commentaires des yoga-sûtras de Patanjali, éd. U.E.F.N.Y. (épuisé).

VASUGUPTA
— Lilian SILBURN (trad) : Spandakarika : stances sur la vibration, De Boccard, 1990
Cet ouvrage fait partie d’une série d’études sur le shivaïsme du Cachemire. Il établit le fait que la nature de la Conscience est de vibrer. « Libre de toutes particularités spatiales et temporelles, cette grande Réalité qui vibre et fulgure est proclamée coeur, en tant qu’essence du suprême Seigneur ». Cette vibration essentielle donne vie au mantra. Tout au long de ce traité, avec beaucoup de sobriété et de rigueur, Vasugupta expose la technique qui permet au « trésor caché » dans la caverne du coeur, Shiva, le Seigneur, de se dévoiler.

— Tara MICHAEL : Corps causal et corps subtil, les six cakra et le Kundalînî Yoga, Le Courrier du Livre, Paris, 1979.
Ce traité de Kundalînî Yoga a pour thème l’étude des systèmes de représentations extrêmement complexes et hautement symboliques par lesquels les Hindous ont tenté de formuler la structure du Cosmos. A partir des textes de la Tradition, c’est une analyse très approfondie qui est faite des « circuits » empruntés par Kundalînî (nadî') et des « centres » d’énergie (cakra). Ainsi anâhata-cakra, le Lotus du coeur, est décrit- comme « le très adorable surgi-de-la-boue, (…) dans lequel sont placées les douze lettres qui commencent par Ka, d’un rouge vermillon ». Il est dit de celui qui médite sur ce centre qu’il devient « souverain de la Parole », « capable de protéger ou de détruire les mondes ».

— Prithwindra MUKHERJEE : Le Sâmkhya, Paris, Epi, 1983.
Bien qu’étant l’unique livre en français consacré à cette philosophie qui fut l’une des voies fondamentales de l’Inde classique, cet ouvrage est occupé, pour près de moitié, à l’application de la doctrine, en particulier aux conséquences de la théorie des gunas sur les tempéraments, leur santé et la diététique. C’est toute la théorie de la médecine ayûrvédique qui est développée ici, tableaux (très didactiques) à l’appui.

— Jean BOSSY, Pierre HUARD, Guy MAZARS : Les médecines de l’Asie, Paris, Le Seuil, 1978.
Cet ouvrage traite à la fois des systèmes de santé en Inde et en Chine, exposant la coexistence de la médecine occidentale et des médecines traditionnelles. Pour ce qui concerne l’Inde, les bases théoriques de l’l’ayûrveda y sont décrites de manière logique et systématique, à côté d’une évocation de la médecine des Siddha (médecine traditionnelle du sud de l’Inde) et du yoga.

— Gérard EDDE : Constitution et santé selon la médecine ayurvédique, Guy Trédaniel éditeur, 1989.
— Gérard EDDE : La médecine ayurvédique, Dangles, 1985.
Ouvrages de vulgarisation donnant un aperçu théorique, mais à visée surtout pratique avec des conseils d’hygiène et des recettes pour la vie quotidienne, à considérer avec circonspection.

— Jean FILLIOZAT : La doctrine classique de la médecine indienne - Ses origines et ses parallèles grecs, Paris, Adrien Maisonneuve, 1975 (lre édition 1949).
Comme l’indique son titre, ce livre écrit par un indianiste est plus théorique et philosophique que pratique. Il recherche avec minutie la datation, les origines et les correspondances des principes de l’ayûrveda. Il expose aussi assez longuement les rapports entre médecine ayûrvédique et médecine grecque.

— Docteur Thérèse BROSSE : Etudes instrumentales des techniques du Yoga, expérimentation psycho-somatique, Paris, Maisonneuve, 1963.
Thérèse Brosse, qui a écrit plus tard « La conscience-énergie », a participé, en tant que jeune chercheur, à trois missions officielles, en 1935-36, en 1952 et en 1958. Elève de Laubry à Broussais, elle était plus particulièrement axée sur l’appareil cardio-vasculaire. Ces missions ont pris pour sujets d’expérimentation onze yogis, quatre bhakta, dix occidentaux pratiquant le yoga, neuf intellectuels à forte concentration, treize adolescents formés à la prise de conscience de leurs affects, vingt personnes présentant des maladies psycho-somatiques, vignt-cinq adultes « normaux », c’est-à-dire sans entraînement particulier. Le but était d’observer les rythmes respiratoires, le comportement cardiaque et d’enregistrer les ondes cérébrales de ces sujets dans plusieurs asanas, différents types de prânâyâma, les états de concentration et de méditation. Les scientifiques ont essayé de comprendre aussi comment certains yogis peuvent subir des inhumations prolongées sans dommage et réussir à arrêter leur coeur impunément. Si la physiologie à l’occidentale propose certaines hypothèses plausibles, c’est d’abord à la « cosmophysiologie pneumatiste » du Yoga qu’il faut demander compte des modifications observées. Tout l’intérêt de cette étude - le modèle du genre -réside justement dans le fait qu’elle tente une conciliation entre deux systèmes de référence : l’objectivité de la démarche expérimentale et les archétypes de l’architecture traditionnelle du Yoga de Patanjali.

— Tara MICHAEL (trad) : Hatha-yoga pradîpikã, Fayard, coll. « Documents spirituels », 1974.
Ce texte est un grand classique du hatha-yoga, c’est-à-dire du yoga tantrique ; il est très proche de deux autres traités, Shiva Samhita et Gheranda Samhita. Avec eux, c’est un témoignage précieux sur le milieu spirituel des yogi du nord de l’Inde, les Natha, qui se distinguaient par des pratiques énergétiques intenses, savantes, raffinées, qu’ils se transmettaient de maîtres à disciples dans le secret.

— Jean HERBERT et Jean VARENNE : Vocabulaire de l’hindouisme, Dervy-Livres, 1985.
Jean Herbert, grâce à sa connaissance des oeuvres des grands maîtres spirituels de l’Inde moderne, établit une liste des mots sanskrits, hindis, bengalis, etc., couramment employés par ces maîtres. Cependant que Jean Varenne apporte le secours de son érudition pour préciser le sens originel des termes choisis, leur valeur grammaticale, leur genre, etc. Cette double préoccupation fait toute l’originalité de ce Vocabulaire de l’Hindouisme dont on peut dire que, de ce point de vue, il est unique en son genre. Le lecteur y trouvera clairement définis tous les mots sanskrits qu’utilisent les auteurs d’ouvrages sur la pensée indienne. Termes philosophiques, techniques, mythologiques, noms de personnages célèbres et de textes sacrés, tous cités en abondance, concourent à faire de ce Vocabulaire un ouvrage de référence extrêmement précieux. On y trouvera, dans leurs vrais sens et usages, prâna, shakti, guna, kundalini, chakra, nadî… et les autres.

II. LA CONCEPTION CHINOISE ET JAPONAISE DE L’ÉNERGIE

— Claude LARRE : Les Chinois - Esprit et comportement des Chinois comme ils se révèlent par leurs livres et dans leur vie, des origines à la fin des Ming (1644), Edition Lidis-Brepols, Paris, 1981.

— François JULLIEN : Eloge de la fadeur, Edition Philippe Picquier, 1991.
Un petit livre dont le titre provocateur recouvre une réflexion délicate sur une idée trop vite classée. « La fadeur des choses appelle au détachement intérieur. Mais elle est aussi vertu, notamment dans notre rapport à autrui, parce qu’elle est gage d’authenticité ». Avec une légèreté et une finesse bien en harmonie avec le sujet, ce texte fait sentir la profondeur de la fadeur, cette vertu suprême du vide du coeur, où se rencontrent et s’entendent tous les courants de la pensée chinoise : taoïsme, confucianisme et bouddhisme. Cet éloge de la fadeur fait percevoir avec élégance et simplicité tout ce que nous suggèrent les arts de la Chine grâce à leur dépouillement et leur richesse allusive. Illustrations, poèmes, anecdotes qu’on y trouve commentés sont autant de portes qui s’ouvrent à cette réconciliation, que chacun de nous recherche, entre la sensation et cet « au-delà » où le sensible s’efface sans pour autant se couper du monde réel, que la subtile fadeur chinoise nous permet d’éprouver.

— François JULLIEN : Procès ou Création - Une introduction à la pensée des lettrés chinois, Paris, Seuil, 1989.
A travers l’étude des oeuvres d’un penseur chinois du XVIIe siècle, François Jullien, sinologue, mais d’abord philosophe, cherche à nous faire sentir la différence entre notre fond d’« évidences culturelles » et celui commun aux lettrés chinois. Particulièrement ici, notre conception du monde comme résultant d’une création (divine, pour les chrétiens, « idéale », pour les platoniciens) alors que le monde lettré chinois y voit le résultat du Yin/Yang, d’un «processus » (le sens premier du mot procès). François Jullien nous offre une vision très pénétrante de ce que peut être la « morale » chinoise, allant jusqu’à nous faire saisir l’importance du vide, de l’écho, de l’effacement de l’auteur dans l’oeuvre littéraire ou poétique. Un livre dense et enrichissant, où se trouvent en outre de magnifiques chapitres sur le Yi Jing, « modèle pour penser le devenir ».

— Claude LARRE (trad) : Tao Te King - Le livre de la voie et de la vertu, Edition Desclée de Brouwer-Bellarmin, 1977, Collection Christus.
L’auteur propose juste de « traduire mots, sens, rythmes, climats, pour frapper et entendre : “Entre.” Commenter pour converser ». Là est toute l’originalité. Le commentaire qui éclaire cette traduction magnifique par sa finesse et son ampleur, n’est ni sinologique, ni théologique ; il est spirituel au sens fort du mot, « si on reconnaît que Jésus Christ libère l’homme sans lui imposer ni logique particulière, ni vision déterminée de la nature réalisable, sérieuse et séduisante ». « Le temps est venu d’une réconciliation de la logique développée en Occident et de la pensée de la vie méditée en Orient ». Car, conclut l’auteur en avertissement : « Rien n’empêche plus de placer la Foi en Jésus Christ au coeur d’une spiritualité simple, ardente et discrète comme celle dont le Livre de la Voie et de la Vertu m’a paru avoir donné l’enseignement ».

— KOICHI TOHEI : Le Ki dans la vie quotidienne, éd. Guy Trédaniel.
— ITSUO TSUDA : Le non-faire, Ecole de la respiration, éd. Le Courrier du livre.
— Shunryu SUZUKI : Esprit zen, esprit neuf, éd. Le Seuil, coll. Points Sagesses.
— LAO TSEU : Tao te king, éd. Albin Michel, coll. Spiritualités vivantes.

— E. HERRIGEL : Le zen dans l’art chevaleresque du tir à l’arc, éd. Dervy-Livres.
Pour obtenir la maîtrise d’un art, les connaissances techniques doivent être dépassées, pour faire en sorte que l’art devienne « un art sans sacrifice » qui plonge ses racines dans l’inconscient. Dans le cas du tir à l’arc, l’archer travaille à perdre la conscience de lui-même comme d’un être occupé à atteindre le centre de la cible. Cet état particulier de conscience s’obtient lorsque l’archer, vidé et débarrassé de son ego, ne fait plus qu’un avec l’amélioration de son habileté technique. « Quand tout découle de l’oubli total de soi et du fait qu’on s’intégre à l’événement sans aucune intention propre, il convient que, sans aucune réflexion, direction ou contrôle, l’accomplissement extérieur de l’acte se déroule de lui-même ».

— LE BOL ET LE BATON : 120 contes zen racontés par Maître Taisen Deshimaru, éd. Albin Michel, Spiritualités vivantes.

III. LA CONCEPTION CHRÉTIENNE DE L’ÉNERGIE

— Annick de SOUZENELLE : Le symbolisme du corps humain, Paris, Dangles, 1984.
Cet ouvrage est devenu un « grand classique » parmi les lectures de ceux qui s’intéressent à la symbolique du corps et qui cherchent à déchiffrer le sens des diverses somatisations. L’auteur s’appuie sur les archétypes qui animent l’inconscient collectif européen, et proviennent essentiellement de la source biblique et de la source grecque. Du pied bot d’Œdipe à la hanche de Jacob luttant avec l’ange, toute une psycho-somatique spirituelle se dessine.

IV. L’ÉNERGIE DANS LE CHAMANISME AMÉRINDIEN

— Carlos CASTANEDA : L’herbe du diable ou la petite fumée, Paris, Le Soleil Noir, 1972.
— Carlos CASTANEDA : Voir, Paris, Gallimard, 1973.
— Carlos CASTANEDA : Le voyage à Ixtlan, Paris, Gallimard, 1974.
— Carlos CASTANEDA : Histoires de pouvoir, Paris, Gallimard, 1978.
— Carlos CASTANEDA : Le second anneau de pouvoir, Paris, Gallimard, 1979.
— Carlos CASTANEDA : Le don de l’Aigle, Paris, Gallimard, 1982.
— Carlos CASTANEDA : Le feu du dedans, Paris, Gallimard.
— Carlos CASTANEDA : La force du silence, Paris, Gallimard, 1988.
En 1960, Carlos Castaneda, jeune anthropologue de F Université de Los Angeles, spécialisé dans l’étude des plantes hallucinogènes, rencontre au Mexique un sorcier yaqui nommé Don Juan. Ce dernier, après avoir testé Carlos et mesuré son « inflexible résolution », qualité indispensable et fondamentale pour devenir « apprenti », accepte de lui transmettre sa science et de faire de lui un « homme de connaissance ». Commencent alors de longues années d’apprentissage, auprès de Don Juan et d’autres sorciers, apprentissage souvent ardu et douloureux qui prend parfois l’allure d’une aventure terrible et sans retour, où l’auteur, mené aux confins de lui-même, vit une transformation radicale de son être.
Des relations extrêmement fortes s’installent entre Carlos et Don Juan ainsi que les autres sorciers et apprentis qu’il rencontre. Quel que soit son niveau de lecture et de compréhension, le lecteur est frappé par le caractère extraordinaire de ce maître sorcier qu’est Don Juan, maître authentique, réceptacle d’une tradition ancestrale ; par son étonnante pédagogie et par l’apothéose de cette relation maître-disciple où le maître, après avoir participé à la transformation radicale du disciple lui confère le titre de maître, assurant ainsi sa filiation.

V. L’ÉNERGÉTIQUE HUMAINE

— André LEROI-GOURHAN : Le geste et la parole, tome II : La mémoire et les rythmes, Paris, 1965.
Le grand anthropologue et préhistorien emploie le mot « mémoire » en un sens très large : « non pas une propriété de l’intelligence, mais, quel qu’il soit, le support sur lequel s’inscrivent les chaînes d’actes. On peut à ce titre parler d’une “mémoire spécifique” pour définir la fixation des comportements des espèces animales, d’une mémoire “ethnique” qui assure la reproduction des comportements dans les sociétés humaines et, au même titre, d’une mémoire “artificielle”, électronique dans sa forme la plus récente, qui assure, sans recours à l’instinct ou à la réflexion, la reproduction d’actes mécaniques enchaînés » (p. 269). Des réflexions remarquables, partant de l’instinct et de la mémoire sociale, conduisent à des thèmes comme : introduction à une paléontologie des symboles, les fondements corporels des valeurs et des rythmes, la liberté de l’imaginaire et le sort de l’homo sapiens.

— Alexandre LOWEN : La bioénergie (Editions TCHOU - 1976-1977-1978)
— Alexandre LOWEN : Le corps bafoué (Editions TCHOU - 1976-1977-1978)
— Alexandre LOWEN : La dépression nerveuse et le corps (Editions TCHOU - 1976-1977-1978)
Disciple de Reich, Lowen élabore dans les années 1950 les bases d’une nouvelle approche thérapeutique utilisant le corps : la bioénergie. Cette technique s’inscrit dans le prolongement de la thérapie reichienne dont elle reprend les concepts essentiels (unité psychosomatique, réflexe orgastique, cuirasse musculaire, etc…) ainsi que l’orientation thérapeutique initiale (travail sur les tensions, les zones de blocage et la respiration). Lowen développa de façon plus spécifique une méthode de lecture du corps qui a valeur de diagnostic et permet d’orienter le travail thérapeutique. Il détermina une « typologie caractérielle » définie par l’importance et la localisation de la cuirasse corporelle (zones où se sont inscrites les défenses psychologiques de l’individu et où la circulation de l’énergie est bloquée). Ces ouvrages sont du plus grand intérêt pour l’enseignement du yoga, même s’ils sont un peu anciens et si les techniques de bioénergie vont quelquefois à contresens de celles utilisées en yoga. Ils offrent cependant une réflexion très intéressante sur l’origine des tensions dans le corps, sur le processus qui conduit à la dépression nerveuse et sur certains principes corporels extrêmement restructurants (rôle du hara, importance de la notion de centre, de l’assise, de la verticalité, de l’éveil des sensations, etc… pour remettre une personne perturbée « dans son corps » et lui permettre d’appréhender au mieux la réalité) que l’on retrouve exposés dans les textes fondamentaux du yoga.

— Wilhelm REICH : L’analyse caractérielle (Payot - 1973)
— Wilhelm REICH : La fonction de l'orgasme (Edition L’Arche - 1975)

— Sudhir KAKAR : Moksha, le monde intérieur (Oxford University Press - 1981)
Sudhir Kakar, psychanalyste indien, a été l’élève d’Eric Erikson, le grand psychanalyste américain dont les ouvrages ont été souvent controversés et qui a travaillé, en particulier, sur la biographie de Gandhi. L’intérêt du livre de S. Kakar est de nous montrer comment l’inconscient s’organise différemment dans des cultures différentes ; comment le mythe est formateur des structures psychiques, et en quoi il leur apporte une énergie fondamentale.

— D.T. SUZUKI, Erich FROMM, Richard de MARTINO : Bouddhisme zen et psychanalyse, Presses Universitaires de France, Collection Quadrige, 1971.
Lors d’un séminaire tenu au Mexique, ce livre est né de l’intérêt de psychanalystes américains pour la sagesse d'Extrême-Orient. L’ouvrage n’est pas centré sur la notion de thérapie, mais il pose les bases d’un autre regard sur le lien entre conscient et inconscient, et ainsi esquisse une définition de la santé psychique et de sa restauration.

— Arthur JANOV : Le cri primal, Flammarion, 1975.
Psychologue clinicien, Arthur Janov a élaboré vers 1967 les bases de la thérapie primale. Son livre, Le cri primai, publié en 1970 aux Etats-Unis, a connu un succès considérable. Le cri n’est qu’un aspect de la thérapie primale. Lorsque la souffrance dans l’enfance a été trop insupportable, elle est refoulée dans l’inconscient et ne s’exprime que sous forme de tension. C’est au moment où le patient arrive à se reconnecter sur cette souffrance enfouie que le cri jaillit : c’est l’expérience du primai qui consiste à revivre totalement un traumatisme de la petite enfance et à s’en libérer.

— Alfred TOMATIS : L’oreille et le langage, Ed. du Seuil, coll. Points-Sciences, 1963.
— Alfred TOMATIS : Vers l’écoute humaine (tomes I et II), Ed. ESF, coll. Sciences de l’éducation, 1974.
— Alfred TOMATIS : L’oreille et la vie, Ed. Robert Laffont, coll. Réponse-Santé, 1977.
— Alfred TOMATIS : La nuit utérine, Ed. Stock, 1980.
— Alfred TOMATIS : L’oreille et la voix, Ed. Robert Laffont, 1987.
— Alfred TOMATIS : Pourquoi Mozart ? Ed. Fixot, 1991.
Spécialiste en oto-rhino-laryngologie, Alfred Tomatis a entrepris dès 1947 des recherches dans le domaine de l’audiologie et de la phonologie. L’ensemble de ses ouvrages développent les principes de l’audio-psycho-phonologie qui soigne tous ceux qui, de près ou de loin, ont perdu le sens de la vie, de la communication et de l’écoute. Il s’agit là d’ouvrages de références pour alimenter toute réflexion sur l’oreille et la voix.

— Marcel JOUSSE : La manducation de la Parole, Gallimard, 1975.
— Marcel JOUSSE : Le Parlant, la Parole et le souffle, Gallimard, 1978.
Père Jésuite (1886-1961), ce chercheur solitaire enseigna à la Sorbonne, à l’Ecole d’Anthropologie de Paris et à l’Ecole pratique des Hautes Etudes. De son vivant, il ne publia que le « Style oral » en 1925 et des mémoires scientifiques. A sa mort, il laissa un millier de cours sténotypés et de notes qui devaient permettre de publier « L’Anthropologie du geste », « La Manducation de la Parole » et « Le Parlant, la parole et le souffle ». Cultiver une mémoire vivante et globale de l’enseignement du Christ par le développement de la conscience du geste, du rythme, du souffle qui portent la Parole, tel est le fondement de l’enseignement de Marcel Jousse.

— Gaston BACHELARD : L’eau et les rêves. Essai sur l’imagination de la matière
— Gaston BACHELARD : L’Air et les songes, essai sur l’imagination du mouvement ;
— Gaston BACHELARD : La Terre et les rêveries de la volonté, essai sur l'imagination des forces ;
— Gaston BACHELARD : La Terre et les rêveries du repos, essai sur les images de l’intimité ;
— Gaston BACHELARD : Psychanalyse du feu ;
— Gaston BACHELARD : La poétique de l’espace.
En philosophe et en poète, Bachelard a exploré les images que forme la psyché humaine dans son rapport avec les éléments de l’univers. Il montre ainsi que la relation avec le cosmos n’est pas d’abord affaire de concepts, mais d’expériences fortes et vivantes qui enclanchent une transformation intime de la personne. Une lecture fascinante, grâce à l’immense culture artistique de Bachelard et à son extrême sensibilité.

VI L’ÉNERGIE DANS LES SCIENCES ACTUELLES: MATIERE, COSMOS, NATURE

— Michel CROZON : La Matière première, La recherche des particules fondamentales et de leurs interactions, Le Seuil, 1987.
Peut-on connaître et isoler des constituants ultimes de la matière, la matière première du monde, en quelque sorte ? C’est là une des visées de la science et c’est l’objet de la physique des particules, une discipline aujourd’hui très active. Explorant les phénomènes à l’échelle sub nucléaire, elle isole des objets déroutants, souvent éphémères - les particules - et étudie leurs interactions mutuelles, étonnamment complexes. La théorie quantique et des principes de symétrie permettent de découvrir un certain ordre dans cette complexité. Et les particules jouent un rôle crucial au sein du noyau atomique comme à la naissance de l’Univers. Cette recherche de l’infiniment petit exige, paradoxalement, des instruments gigantesques, des équipes nombreuses et des budgets considérables. Science lourde par excellence, la physique des particules est, par là même, à la croisée d’influences variées : développements techniques et industriels, problèmes financiers et politiques, voire sociologiques. C’est l’histoire, les résultats, les difficultés, la nature même de cette quête au coeur de la matière que présente cet ouvrage.

— Hubert REEVES : Patience dans l’azur, L’évolution cosmique, Seuil, 1981.
« Nous ne sommes pas nés d’hier. Notre existence commence dans la fulgurante explosion qui a donné naissance à l’univers. Elle se poursuit au coeur ardent des étoiles, dans les vastes espaces interstellaires, dans l’océan primitif de la Terre et à la surface des continents. L’univers entier est notre cocon. A la recherche de nos racines profondes, ce livre conte l’histoire de notre cosmos. La science moderne nous révèle un univers en état de gestation permanente. Né dans le plus grand dénuement, il a engendré, tour à tour, les noyaux atomiques, les atomes, les molécules, les organismes végétaux et animaux, jusqu’au cerveau humain. La “vie” est la manifestation de cette tendance de la matière à s’organiser : deux atomes se combinent pour composer une molécule, un homme et une femme se joignent pour engendrer un enfant. Nous retrouvons ici la tradition hindouiste : les pierres et les étoiles sont nos soeurs. Quel sera l’avenir de l’Univers, de la Galaxie et de la Terre ? L’astronomie nous apporte ici quelques lumières. Quant à l’avenir du genre humain, il dépend de l’Homme… » (H. Reeves).

— Hubert REEVES : Dernières nouvelles du cosmos, Vers la première seconde, Seuil, 1994.
« Ces dernières années, les recherches scientifiques sur le passé le plus lointain de l’univers ont été menées avec une grande vigueur. Je me propose d’en présenter ici les résultats les plus marquants. La théorie du Big Bang s’impose comme la description la plus adéquate de l’évolution du cosmos. Les arguments en sa faveur se sont accumulés. Mais, en parallèle, un certain nombre de difficultés sont apparues. Mon objectif est d’amener le lecteur vers les premiers temps de l’univers pour lui permettre d’estimer lui-même le degré de crédibilité de la théorie. Dans ce livre, nous remontons le temps jusqu’au moment où l’horloge conventionnelle marque “une seconde”. Les affirmations de la théorie sont fondées sur une collection d’observations, les “fossiles cosmologiques”, qui nous renseignent sur l’état du cosmos à certains moments de son histoire. Nous donnons à chaque étape les arguments qui justifient nos reconstitutions de cette histoire. En même temps, nous auscultons la théorie pour en évaluer la cohérence interne. Ses “pathologies” sont énoncées et décrites. Elles ne sont pas nécessairement incurables. Des “remèdes” existent, mais leur pouvoir curatif paraît encore bien incertain. Le lecteur est ainsi conduit sur le front même de la cosmologie moderne, en quête de sa propre cohérence. Il constatera ainsi que les problèmes du Big Bang portent l’espoir de déboucher sur une vision nouvelle du monde. » (H. Reeves.)

— Richard FEYNMAN : La nature de la physique, Le Seuil, 1980.
Quelle est la nature du savoir qu’élaborent les sciences physiques ? Quelle est la nature du monde qu’elles nous découvrent ? C’est à cette double interrogation que répond, dans un style inimitable, l’un des plus grands physiciens de notre temps.
Panorama du développement des sciences physiques et méditation sur leur caractère, la Nature des lois physiques, ici réédité, traite aussi bien de la physique classique que de la plus récente.
S’y ajoutent deux conférences et un entretien inédits en français, où R. Feynman développe une conception stimulante du rôle éducatif et culturel de la science, et des problèmes de sa diffusion.

— Steven WEINBERG : Les trois premières minutes de l’univers, Le Seuil, 1980.
L’origine de l’univers : objet de recherches fascinantes. En 1965 fut découverte l’existence d’un bruit de fond cosmique d’ondes radio, vite interprétées comme la rumeur affaiblie d’une gigantesque explosion initiale. A partir de là, les physiciens ont pu reconstituer les trois premières minutes de cet univers vieux de dix milliards d’années ! Les voici racontées, simplement mais rigoureusement, ainsi que la passionnante histoire de cette découverte.

— Carl SAGAN : Cosmic connection ou l'Appel des étoiles, Le Seuil, 1978.
Les grandes explorations recommencent : l’enfer sulfureux de Vénus, les glaces carboniques et les volcans géants de Mars, bientôt les océans de méthane de Jupiter se découvrent à nous. Nos sondes quittent maintenant le système solaire, porteuses de messages pour les étoiles lointaines, cependant que nos radiotélescopes se mettent à l’écoute des autres galaxies. Trouver des formes de vie autres, dialoguer avec des civilisations extra-terrestres, ces vieux rêves de l’humanité se concrétisent aujourd’hui. La réalité dépasse la science-fiction.

— Banesh HOFFMANN : L’étrange histoire des quanta, Le Seuil, 1981
L’importance de la théorie quantique dans la science contemporaine n’est plus à souligner. Matérialisée dans la technologie moderne (transistors, lasers), elle continue à susciter d’âpres débats philosophiques, autour de l’indéterminisme et de la non-séparabilité. Le développement de la théorie quantique et l’élaboration de ses concepts surprenants sont contés avec une simplicité et une clarté irremplaçables par B. Hoffmann dans sa présentation devenu un classique de l'Étrange Histoire des quanta, maintenant mise à jour par les Nouveaux Voyages au pays des quanta de M. Paty.

— Groupe confédéral énergie de la CFDT : Le dossier de l'énergie, Seuil, 1984
La question de l’énergie a pris une place essentielle dans le débat économique et politique. En voici une approche nouvelle, fondée sur l’analyse des besoins de la collectivité. Partant non de la production, mais de la consommation, dans les secteurs de l’habitat, de l’industrie, des transports et de l’agriculture, une analyse qualitative autant que quantitative permet de tracer les grandes lignes d’une politique qui concilierait exigences sociales, maîtrise technique et croissance économique. Cette analyse est concrétisée par de nombreux exemples d’expériences, des notes sur les organismes importants, des encarts techniques et des tableaux. Elle est complétée par des fiches particulières sur les diverses sources et moyens de production de l’énergie. Dans la lignée du Dossier électronucléaire, pour approfondir le débat, et aider décideurs, producteurs, citoyens, un dossier riche et original.

Ajoutons trois livres, écrits par de grands savant, mais qui sortent du strict domaine de la science pour extrapoler à la psychologie et à la spiritualité une vision énergétique et holistique de la vie :
— Fritjof CAPRA : Le Tao de la physique, éd. Sand, 1981.
— David BOHM : La plénitude de l’Univers (Wholeness and the implicate order), éd. du Rocher, 1992.
— Rupert SHELDRAKE : Une nouvelle science de la vie, éd. du Rocher, 1991.

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  Joop-le-philosophe | Feb 28, 2019 |
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