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Pietra viva

di Leonor de Recondo

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Quand on ouvre le livre, la dédicace saute aux yeux

Pour Cécile, ma mère, ma lumière.

Pourtant l’histoire au premier abords ne semble pas avoir un grand rapport avec la mère de l’auteur.

On est en 1505 à Rome. Michelangelo dissèque des corps qu’on lui amène dans le but de mieux connaître l’anatomie humaine. Le seul corps qu’il a pour l’instant refuser d’opérer est celui d’un bébé sous prétexte que sous le drap blanc il ne pouvait y avoir un corps humain. Aujourd’hui on lui amène sous le drap blanc le corps d’un moine. Quand il soulève le voile, il découvre le corps d’Andrea dont il admirait secrètement la beauté et la perfection plastique. Bouleversé, il s’enfuit et se réfugie à Carrare où il devait de toute manière aller pour choisir les marbres qui serviront pour le tombeau que le pape Jules II lui a commandé. Là-bas, il essaiera de comprendre pourquoi et comment Andrea est mort. Par les personnes qu’il rencontrera mais aussi par la nature qu’il côtoiera, il essaiera de retrouver sa sérénité perdue.

La plupart du roman se passe donc à Carrare. L’auteur mêle habilement les descriptions des falaises de marbre et celles de la vie des ouvriers où la solidarité joue un grand rôle pour surmonter la mort. À la lecture, j’ai ressenti une grande sérénité comme si le temps allait plus lentement. Léonor de Résondo a un style qui mêle cela : de longues phrases avec de belles images et beaucoup de poésie. C’est ce que j’ai particulièrement aimé dans ce livre : le style !

Je suis moins enthousiaste sur l’évolution du personnage principal au cours du roman. Au début, Michelangelo est avant-tout un artiste. La nature, ainsi ques les êtres humains, nous sont décrits par les sensations visuelles qu’ils apportent à Michelangelo. Je remercie l’auteur car n’étant pas artiste cela m’a appris beaucoup de choses sur le regard que d’autres peuvent poser sur le monde, des personnes qui font attention à la lumière, à la texture du monde. Par la suite, quand le sculpteur se rapproche des habitants, il s’ouvre au genre humain ainsi qu’à ses habitants, il s’ouvre au genre humain ainsi qu à ses sentiments. En fréquentant Michele un petit garçon de six ans qui vient de perdre sa mère, l’auteur retrouve l’image d’une morte qu’il avait pratiquement oubliée, sa propre mère qu’il a perdu au même âge (d’où la dédicace au début du livre à mon avis). On nous dit que la compréhension de la mort d’Andrea, ainsi que le souvenir retrouvé de sa mère, va lui permettre d’envisager la sculpture autrement. Je n’y ai tout simplement pas cru pour deux raisons : Léonor de Récondo ne change pas son mode de narration (il n’y a pas de rupture marquée alors que le changement de Michelangelo semble être une rupture du mode de pensée) ; cette métamorphose se faisant pratiquement à la fin du roman, ces conséquences ne sont pas décrites donc d’autant plus difficiles à imaginer.

Mon dernier bémol vient du fait que je n’ai pas compris la finalité du livre. Pourquoi l’auteur s’est arrêtée là ? Quel est le message du livre ? On peut se le demander pour beaucoup de livres ; ce n’est donc pas un vrai bémol.

Finalement, la lecture m’a beaucoup plu car elle m’a emmené ailleurs et elle m’a détendue. Cela me fera sans aucun doute lire le précédent livre. Mes bémols viennent d’une fin trop vite amenée qui m’a laissée un goût d’inachevé. Cette fin m’a donné l’impression que le but de l’auteur était plus personnel : rendre un magnifique hommage à sa mère. ( )
  CecileB | Nov 6, 2013 |
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