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Google Books — Sto caricando le informazioni... GeneriSistema Decimale Melvil (DDC)838Literature German literature and literatures of related languages Miscellaneous German writingsVotoMedia:
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Écrite en 1925, la deuxième nouvelle a un sujet plus classique. Dans l’Allemagne des années 20, subissant de plein fouet l’inflation, des jeunes gens de bonne famille, d’une vingtaine d’années, invitent leurs amis pour se distraire. Participe à la fête les deux autres enfants des parents âgés de cinq ans, la mère et le père qui s’isole au début de la nouvelle puis se mêle à la fête pour mieux observer la nouvelle génération. Un drame se produit : la petite chérie du père tombe en amour pour un ami de son grand frère.
J’ai énormément aimé ces deux nouvelles, même si clairement pour la première nouvelle, j’ai manqué de références culturelles. Ce qui m’a impressionné, c’est l’écriture de Thomas Mann. Il arrive à recréer le contexte historique de manière très fine en utilisant un intérieur de maison bourgeoise et des relations familiales identiques dans les deux nouvelles. En effet, les deux textes mettent en avant une nouvelle génération décidée à perdre son indépendance par rapport à la précédente : elle veut s’amuser, s’affranchir des convenances, vivre dans l’absolu défini par l’Art et les sentiments. Les parents portent dessus un regard complaisant. Cependant, on sent que tout cela est permis par le fait qu’on est dans un milieu bourgeois. Thomas Mann porte lui un regard attentif mais aussi amusé sur ses personnage et leurs manières de vivre. Il décrit tout très finement et très légèrement en laissant penser au lecteur qu’il ne fait que jeter un coup d’œil dans ces vies, qu’il ne fait que passer. ( )