Fai clic su di un'immagine per andare a Google Ricerca Libri.
Sto caricando le informazioni... On ne tue pas les pauvres typesdi Georges Simenon
Nessuno Sto caricando le informazioni...
Iscriviti per consentire a LibraryThing di scoprire se ti piacerà questo libro. Attualmente non vi sono conversazioni su questo libro. nessuna recensione | aggiungi una recensione
Appartiene alle SerieLe inchieste di Maigret [serie] (Short Story) È contenuto in
Kommissær Maigret løser en mordgåde. Non sono state trovate descrizioni di biblioteche |
Discussioni correntiNessuno
Google Books — Sto caricando le informazioni... GeneriSistema Decimale Melvil (DDC)843.91Literature French French fiction Modern Period 20th CenturyClassificazione LCVotoMedia:
Sei tu?Diventa un autore di LibraryThing. |
Le client le plus obstiné du monde : Jamais personne, dans les annales de la police, ne mit autant d'acharnement ou de coquetterie à se montrer sous toutes ses faces, poser en quelque sorte des heures durant, seize heures d'affilée exactement, à attirer, volontairement ou non, l'attention de dizaine de personnes, à telle enseigne que l'inspecteur Janvier, alerté, alla regarder l'homme sous le nez. Et pourtant, quand il fallut reconstituer son signalement, on devait se trouver devant l'image la plus imprécise la plus floue qu'il soit possible d'imaginer. Au point que pour certains - qui n'étaient pas particulièrement imaginatifs - cette ostentation de l'inconnu apparut comme la plus habile et la plus inédite des ruses.
Maigret et l'inspecteur Malgracieux : Le jeune homme déplaça légèrement le casque d'écoute sur ses oreilles. - Qu'est-ce que je disais, mon oncle ?... Ah ! oui... Quand la petite est rentrée de l'école et que ma femme a vu qu'elle avait des plaques rouges sur le corps, elle a d'abord cru que c'était la scarlatine et... Impossible de finir une phrase un peu longue ; invariablement une des petites pastilles s'éclairait dans l'immense plan de Paris qui s'étalait sur tout un pan de mur.
Le témoignage de l'enfant de chœur : Il pleuvait tout fin, et la pluie était froide. Il faisait noir. Vers le bout de la rue seulement, du côté de la caserne où, à cinq heures et demie, on avait entendu des sonneries de trompettes et d'où parvenaient des bruits de chevaux que l'on mène à l'abreuvoir, on apercevait le rectangle faiblement éclairé d'une fenêtre : quelqu'un qui se levait de bonne heure, ou peut-être un malade qui avait veillé toute la nuit. Le reste de la rue dormait. Une rue calme, large, presque neuve, aux maisons à peu près pareilles, à un étage, à deux étages au maximum, comme on en trouve dans les faubourgs de la plupart des grandes villes de province.