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I morgen var jeg alltid en løve

di Arnhild Lauveng

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50Nessuno513,851 (3.73)Nessuno
' Hämmästyttävän avoin omaelämänkerrallinen teos, jossa lähes mahdottomasta tulee mahdollista. Murrosiässä skitsofreniaan sairastuneen Arnhild Lauvengin tarina siitä, miten hän musertavan diagnoosin, itsetuhoisen sairastamisen ja lähes kymmenen sairaalavuoden jälkeen palasi takaisin elämään. Kyseessä on koskettava kertomus, miten on mahdollista voittaa, ei vain elämänpituisena pidetty sairaus vaan myös terveydenhoitojärjestelmä, jonka armoilla mielenterveyspotilaat ovat. Tämä teos on vakuuttava todiste siitä, että skitsofrenian kanssa voi elää, että se on mahdollista jopa voittaa. ' -- (Therapeia-säätiö)… (altro)
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Titolo canonico
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p.79: "Maman m'avais souvent vu briser des tasses. Elle connaissait mon extrême rapidité, savait qu'il était impossible de m'arrêter avant que le mal ne fut fait. Pourtant, elle avait sorti ses tasses ornées de roses, me manifestant une confiance pleine et entière, à moi qui avais si souvent démontré par le passé qu'on ne pouvait au grand jamais me mettre une tasse entre les mains. Et, bien sûr, je ne les brisai pas. Bien sûr, je ne trahis pas sa confiance en moi. Les tasses, la table dressée, tout ça m'affichait clairement ses attentes: tu es toujours ma fille, Arnhild. Tu es toujours celle qui apprécie ce qui est beau, qui estime sa famille, les traditions, ce qui importe dans la vie, comme la beauté. Tu ne pourras jamais être assez folle pour détruire ce qui est beau et précieux, assez malade pour ne plus être esthète, tu es toujours notre fille. Ici, tu n'es pas une schizophrène; à la maison, tu es Arnhild."

p. 170: "Un infirmier enfreint la règle et me parla. Il prit une feuille de papier à dessin et traça un grand carré noir au milieu. Il me la tendit, ainsi qu'une poignée de pastels, et me demanda de terminer ce dessin. [...] Je pris ce qu'il me donnait et me mis à dessiner. Ce ne fut pas facile parce que j'avais les deux bras bandés, mais j'y parvins en en tenant le pastel entre mes deux paumes emmaillotées. C'est ainsi que je terminai le dessin. Des cercles rouge sang, des carrés gris mouton, des triangles bleu solitude, des bulles vert germe, des demi-lunes jaune lion. Et plein d'autres éléments. Quand j'eus terminé, la page était couverte de formes et de couleurs, le carré noir était devenu un élément du tout. Je le tendis à l'infirmier, qui le regarda et sourit. "J'ai gâché tout ton dessin, Arnhild, dit-il. J'ai dessiné un grand carré en plein milieu, ça a tout gâché, et je lai dessiné au feutre pour que tu ne puisses pas l'effacer. Il n'a pas disparu, mais tu as créé un motif autour, et le carré en fait maintenant partie. Il n'est plus laid, il ne gâche rien. Il est devenu une composante naturelle d'un tout coloré. Je ne vois aucune raison pour que tu ne fasses pas la même chose de ta vie." Et c'est ce que j'ai fait. Mes pages ne sont pas vierges. Le carré est encore là, mais il n'est pas gênant. C'est un élément du tout que constitue ma vie. Il a fallu du temps, mais nous y sommes arrivés. Et j'ai utilisé toutes les couleurs que j'avais dans ma boîte."
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' Hämmästyttävän avoin omaelämänkerrallinen teos, jossa lähes mahdottomasta tulee mahdollista. Murrosiässä skitsofreniaan sairastuneen Arnhild Lauvengin tarina siitä, miten hän musertavan diagnoosin, itsetuhoisen sairastamisen ja lähes kymmenen sairaalavuoden jälkeen palasi takaisin elämään. Kyseessä on koskettava kertomus, miten on mahdollista voittaa, ei vain elämänpituisena pidetty sairaus vaan myös terveydenhoitojärjestelmä, jonka armoilla mielenterveyspotilaat ovat. Tämä teos on vakuuttava todiste siitä, että skitsofrenian kanssa voi elää, että se on mahdollista jopa voittaa. ' -- (Therapeia-säätiö)

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