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Sto caricando le informazioni... Ravage (originale 1943; edizione 1996)di René Barjavel (Autore)
Informazioni sull'operaDiluvio di fuoco di René Barjavel (1943)
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Iscriviti per consentire a LibraryThing di scoprire se ti piacerà questo libro. Attualmente non vi sono conversazioni su questo libro. A la primera part del llibre "Les temps nouveaux" l'autor ens exposa una visió de la societat futura, concretament el Paris de 2052. És una societat que ha trobat solucions tecnològiques als seus problemes (els aliments es produeixen en fàbriques, els morts es conserven congelats...) Però per això mateix és molt dependent de les tecnologies. El fet d'haver estat escrit al 1942 dona un to curiós a certes previsions, com el fet d'anomenar emisions de Radio al que avui anomenariem TV en 3D, el métode de sanació mental amb electroshocks... A la segona part "La chute des villes" arriba la catàstrofe, desapareix l'electricitat i l'hecatombe subsegüent pren dimensions apocalíptiques. Però un grup d'elegits liderats pel protagonista lluitarà per escapar de la destrucció i sobreviure a la barbàrie. El llibre haguera estat molt millor sense la quarta i darrera part, "Le patriarque" on es proposa com a base de la construcció del nou món la instauració d'una societat patriarcal, un retorn al passat d'allò més retrògrad, amb crema de llibres inclosa. Tot el llibre traspúa un cert flaire d'adoració al líder suprem (un home per suposat, les dones queden relegades al paper de reproductores de l'espècie), el cabdill que tot ho pot i tot ho controla. Les descripcions de morts i accidents catastròfics és prou crua, gairebé sàdica en ocasions, però tot el conjunt resulta un poc naïf. It is the kind of dystopian future stories I usually enjoy. We are in France, somewhere in the late 21st century. Society relies entirely on electricity and synthetically produced food. One day, suddenly, everything stops working. A young man, François, who somehow didn't believe in that automated society, retrieves his childhood love and escapes disaster-ridden Paris with a few survivors. They cross France, in the end literally wading through the ashes of a great fire that engulfed cities and country alike. When they finally reach the hero's childhood area, which is almost untouched by the disaster, they found a bucolic, primitive, un-technologised society. And it was that end, told mainly through an epilogue, that is somewhat annoying. François has become The Patriarch, he single-handedly rebuilt society, but on such paternalistic bases that it's hard not to feel it wasn't his ambition all along. It's an onverall enjoyable read for its subject matter, but it is very French, something I don't often go for. D'un côté une oeuvre d'anticipation intéressante : un monde surconnecté, ultra dépendant energétiquement; et d'un autre un condensé d'idées réactionnaires et conservatrices : société idéale patriarcale et régression de la place de la femme. Du coup, on cherche à apprécier l'oeuvre d'invention du déclin catastrophique de ce monde, mais on garde sans cesse cet arrière goût détestable de misogynie assumée. Le personnage féminin est faible, attiré par la gloire éphémère, sotte et naive, enplus d'être une jeune blonde bonasse. Le personnage masculin est fort, grand, viril, proche de la terre (paysan) il a un instinct infaillible qui compense sa non éducation. Car on a aussi une critique de la civilisation dans le sens de l'instruction : le héros n'est pas instruit mais plus valorisé que les personnages isntruits qui périssent betement dans le marasme de la cité. Seul le héros a le bon sens (instinct) de s'organiser, quitter la ville... mais bien sûr Mr.Barjavel... La surcouche machiste gâche la lecture, ce livre fait véritablement l'apologie d'une société patriarcale paysanne, ou la femme fait des enfants et le ménage, l'homme travaille à reconstruire la civilisation et à protéger son coin de terre. D'ailleurs, la polygamie est encouragée car il y a trop de femmes seules, le héros, en toute bonté, prend pour épouses supplémentaires des moches et handicapées. Quel grand coeur. La société idéale de Barjavel donne envie de gerber, une totale régression des acquis des femmes. On soupconne que Barjavel exprime ainsi que la civilisation étant trop féminisée, trop sophistiquée, trop complexe, trop instruite, trop libertaire..été vouée à la disparition, au profit d'un retour au bonnes vieilles valeurs qui ont fait leurs preuves. nessuna recensione | aggiungi una recensione
È contenuto inHa l'adattamento
"'— Vous ne savez pas ce qui est arrivé ? Tous les moteurs d'avions se sont arrêtés hier à la même heure, juste au moment où le courant flanchait partout. Tous ceux qui s'étaient mis en descente pour atterrir sur la terrasse sont tombés comme une grêle. Vous n'avez rien entendu là-dessous ? Moi, dans mon petit appartement près du garage, c'est bien un miracle si je n'ai pas été aplati. Quand le bus de la ligne 2 est tombé, j'ai sauté au plafond comme une crêpe... Allez donc jeter un coup d'œil dehors, vous verrez le beau travail !'. 'Ravage', publié en 1943, ouvre la voie à la science-fiction en France." [Source : 4e de couv., tirage 2011] Non sono state trovate descrizioni di biblioteche |
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Google Books — Sto caricando le informazioni... GeneriSistema Decimale Melvil (DDC)848Literature French Miscellaneous French writingsClassificazione LCVotoMedia:
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> RAVAGE, de René Barjavel ; Collection Folio, 310 pages. — Imaginez un peu toutes formes d’énergie au monde soudain inefficaces. Plus d’électricité, plus de moteur, plus d’énergie atomique, rien! C’est la vision de la fin du monde telle que décrite par René Barjavel dans Ravage. Publié en 1943 il ouvrait la voie à la science-fiction en France. Et croyez-moi, il est toujours d’actualité !
Ravage se divise en quatre parties : “Les temps nouveaux, la chute des villes, le chemin des cendres, le patriache”.
Blanche et François vivent d'abord dans la ville, inhumaine, très moderne et surpeuplée. Une histoire d’amour banale où une jeune femme ambitieuse tombe sous la coupe du “méchant puissant protecteur”. Puis c'est la chute, la panne sèche, la fin d’un monde artificiel : “La Nature est en train de tout remettre en ordre…” (p. 92) dit François au milieu d’une foule hystérique. C’est la panique… C’est alors que l’homme se rapproche de sa condition animale, la quête de la nourriture qui est lutte pour la survie. Seule issue possible : fuir la ville stérile pour se réfugier dans le giron d’une terre féconde. François tel un Moïse nouveau guidera quelques purs, avec pour compagne Blanche sauvée d’elle-même. Après maintes aventures et difficultés, ils créeront un monde où régnent la spiritualité et la sagesse.
Le message de Barjavel : la vie moderne dénature l’homme et l’amène à sa perte. C’est une vision, une morale que l’on peut plus ou moins accepter ! Ce qui n’enlève rien à la qualité de cet excellent roman. —Madeleine GAUTHIER
—La voix de l'Est, 15 mai 1982, (p. 20)