Pagina principaleGruppiConversazioniAltroStatistiche
Cerca nel Sito
Questo sito utilizza i cookies per fornire i nostri servizi, per migliorare le prestazioni, per analisi, e (per gli utenti che accedono senza fare login) per la pubblicità. Usando LibraryThing confermi di aver letto e capito le nostre condizioni di servizio e la politica sulla privacy. Il tuo uso del sito e dei servizi è soggetto a tali politiche e condizioni.

Risultati da Google Ricerca Libri

Fai clic su di un'immagine per andare a Google Ricerca Libri.

El maestro Juan Martínez que estaba allí…
Sto caricando le informazioni...

El maestro Juan Martínez que estaba allí (Libros del Asteroide) (Spanish Edition) (originale 1934; edizione 2012)

di Manuel Chaves Nogales (Autore), Andrés Trapiello (Collaboratore)

UtentiRecensioniPopolaritàMedia votiCitazioni
855320,384 (4)1
After a successful tour of the Central European cabarets, flamenco dancer Juan Martínez and his partner Sole were caught by surprise in Russia by the revolutionary events of February of 1917. Unable to leave the country, in St. Petersburg, Moscow, and Kiev they suffered the fall-out of the October Revolution and the bloody civil war that followed. The great Spanish journalist Manuel Chaves Nogales met Martínez in Paris and, shocked by the stories he shared, decided to compile them. The result is this book which narrates the changes the protagonists were faced with and how they figured out a way to survive. Its pages include traveling artists, prodigal Russian dukes, German spies, Chekist assassins, and speculators of a different ilk.   Después de triunfar en los cabarets de media Europa, el bailarín flamenco Juan Martínez, y su compañera, Sole, fueron sorprendidos en Rusia por los acontecimientos revolucionarios de febrero de 1917.  Sin poder salir del país, en San Petersburgo, Moscú y Kiev sufrieron los rigores provocados por la Revolución de Octubre y la sangrienta guerra civil que le siguió. El gran periodista sevillano Manuel Chaves Nogales conoció a Martínez en París y asombrado por las peripecias que éste le contó, decidió recogerlas en un libro. El resultado es esta obra que relata las vicisitudes a las que se vieron sometidos sus protagonistas y cómo se las ingeniaron para sobrevivir. Por sus páginas desfilan artistas de la farándula, pródigos duques rusos, espías alemanes, asesinos chequistas y especuladores de distinta calaña.… (altro)
Utente:puchrojo
Titolo:El maestro Juan Martínez que estaba allí (Libros del Asteroide) (Spanish Edition)
Autori:Manuel Chaves Nogales (Autore)
Altri autori:Andrés Trapiello (Collaboratore)
Info:Libros del Asteroide (2012), Edition: 9, 320 pages
Collezioni:Comics, La tua biblioteca, Lista dei desideri, In lettura, Da leggere, Letti ma non posseduti, Preferiti
Voto:****
Etichette:ensayo

Informazioni sull'opera

El maestro Juan Martínez que estaba allí di Manuel Chaves Nogales (1934)

Nessuno
Sto caricando le informazioni...

Iscriviti per consentire a LibraryThing di scoprire se ti piacerà questo libro.

Attualmente non vi sono conversazioni su questo libro.

» Vedi 1 citazione

Mostra 5 di 5
Hasta hace pocos meses desconocía la existencia del escritor Manuel Chaves Nogales. Por casualidad leí un artículo sobre él y me propuse leer alguno de sus libros. El maestro Juan Martínez que estaba allí ha sido el primero y ya tengo en mente leer el siguiente que será A sangre y fuego. Manuel Chaves nos transporta a primeros de siglo y más concretamente a los años de la Revolución Rusa. Nos narra las peripecias que sufrió por Europa el bailaor flamenco español Juan Martínez, al parecer, a través de testimonios contados por él mismo. Pero lo que más me ha gustado del libro ha sido el relato esclarecedor y tremendo de la que fue la guerra civil que todos conocemos como Revolución Rusa. La brutalidad de los contendientes, las miserias, las muertes, la bajeza humana, la mentira comunista, y un sinfín de atrocidades que se produjeron en esta guerra y que suelen ser comunes a casi todas. Un libro duro, precioso y muy recomendable a todo los amantes del género histórico. ( )
  Lorizar | Jul 21, 2017 |
Después de triunfar en los cabarets de media Europa, el bailarín flamenco Juan Martínez, y su compañera, Sole, fueron sorprendidos en Rusia por los acontecimientos revolucionarios de febrero de 1917. Sin poder salir del país, en San Petersburgo, Moscú y Kiev sufrieron los rigores provocados por la Revolución de Octubre y la sangrienta guerra civil que le siguió. Relata los avatares a los que se ven sometidos sus protagonistas y cómo se las ingeniaron para sobrevivir. Por sus páginas desfilan artistas de la farándula, pródigos duques rusos, espías alemanes, chequistas asesinos y especuladores de distinta calaña ( )
  juan1961 | Jun 17, 2013 |
Manuel Chaves Nogales est un célèbre journaliste espagnol de l'avant-guerre (la Seconde Guerre mondiale). Il a réalisé entre autres des reportages sur les Russes réfugiés à Paris. À cette occasion, il a rencontré Juan Martínez, bailarín flamenco, qui a vécu les Révolutions russes de 1917 à Saint-Pétersbourg et à Moscou, et la guerre civile qui a suivi en Ukraine, à Kiev et à Odessa. Andrés Trapiello souligne que dans sa préface que Manuel Chaves Nogales prête sa voix au récit de Juan Martínez, quitte parfois à utiliser des souvenirs et des anecdotes qu'il a entendu d'autres réfugiés. C'est donc bien un travail littéraire qui nous est proposé ici. Ce récit est paru sous la forme d'un feuilleton en 1934 dans le journal Estampa. La traduction qui est proposé par les éditions du Quai Voltaire est issu d'une version publiée en 2007 (est-ce que c'était la première fois que ce récit paraissait en livre ? je n'en sais rien).

Le récit de Juan Martínez est très intéressant car il permet de voir les évènements d'un œil étranger, de plus complètement apolitique. On comprend mieux comment se sont sont déroulés les Révolutions, et surtout l'entre-deux qui semblent surtout avoir été très calme (le calme avant la tempête me direz-vous). On voit aussi que le bolchévisme ne s'est pas imposé d'un coup à tout le monde, à tout le pays entier (j'ai trouvé intéressant de voir que l'après révolution n'était pas préparé ; il semble qu'il y avait une "volonté de bien faire" et donc d'être organisé et qu'il y a une progression dans le temps, en même temps que la corruption d'ailleurs). On se rend compte des difficultés à trouver de la nourriture, non pas comme le souligne l'auteur parce que la nourriture a disparu d'un coup d'un seul mais à cause de gens qui font de la spéculation.

Le récit qui prend le plus de place dans le livre est celui de la guerre civile que Juan Martínez a vécu en Ukraine, à Kiev et à Odessa (c'est la première fois que je lis un récit sur ce sujet). La ville de Kiev changeait d'occupants tous les mois ou deux mois suivant les assauts, il fallait s'adapter à chacun car il y avait les Rouges, les Blancs, les Ukrainiens. C'est un fait que je ne connaissais pas d'ailleurs. À ce moment-là, il y avait une armée pour lutter pour l'indépendance de l'Ukraine. Celle-ci était dirigé par Simon Petlioura. Ce qui ressort du récit, c'est qu'il n'y avait pas de différence entre les trois : chacun tuait sans merci, sans beaucoup de distinctions et avec barbarie (la partie sur la Tchéka est assez édifiante d'ailleurs), il y avait de la corruption à tous les niveaux. L'auteur nous permet aussi de voir l'antisémitisme primaire qui régnait à l'époque. C'était le règne de la débrouillardise, du mensonge et du dessous de table si on voulait s'en sortir. Juan Martínez était tout petit et on se demande comment il a fait pour tenir compte à tout ces gens. Je crois que cela vient de son caractère affirmé mais aussi d'un naturel enjoué et qui ne se laisse jamais abattre.

L'auteur utilise un ton léger pour alléger la portée des souffrances qui sont décrites dans son récit.

C'est justement ce qui m'a aussi gêné parfois. On ne ressent pas la peur, le désespoir, la faim, les difficultés. Tout est raconté sous forme d'anecdotes et de pirouettes. Il ne s’appesantit sur rien. Il semble que cela reste à la surface des choses, comme si le plus difficile nous était épargné (il ne parle pratiquement pas sa femme Sole ; elle apparaît dans le récit par hasard) ou comme si on parlait des réussites et d'une débrouillardise (admirable au demeurant) mais jamais des échecs.

En conclusion, j'ai trouvé ce livre intéressant pour ce que j'ai appris grâce à lui mais le ton m'a parfois gêné car il est trop léger. Je suis d'accord que ce n'est pas un livre d'Histoire mais quand même ! ( )
  CecileB | Aug 16, 2012 |
Hay quienes todavía piensan que el "terror rojo" en lo relativo a Rusia, fue tan solo cosa de Stalin. Manuel Chaves, escritor republicano exiliado en París, conoció a Juan Martinez, bailarín flamenco, a quien la revolución bolchevique le sorprendió en Rusia, y cuenta como novela, lo que este señor vivió y sufrió; durante el estallido y consolidación del régimen proletario.
Con la sencillez de un artista, que no sabe de política, Juan Martinez nos cuenta como poco a poco la revolución se iba extendiendo. Cómo él que trabajaba como bailarin en cabarets, (de flamenco sobre todo), negocio burgués, y su señora Sole, iban huyendo de la misma hasta refugiarse en Kiev, donde el bolchevismo no parecia tener ningún futuro, al ser esta una ciduad burguesa.
Pero los bolcheviques llegaron a Kiev, y se fueron, y asi hasta cuatro veces o más cambió de bando esta ciudad. Los bolcheviques siempre que llegaban intalaban su sistema totalitarista de organización del estado, nombraban los guardias rojos, mitineaban sin parar, situaban las checas donde se interrogaba y fusilaba a los sospechosos de capitalismo, etc...es decir sembraban el terror. Pero al poco tiempo entraban en la ciudad el ejército blanco, echando a "los rojos", y aunque estos eran mejor recibidos por la población, ya que sobre todo y en apariencia parecian más un ejercito organizado; en muy poco tiempo, en cuando perdían la disciplina, implantaban otro régimen de terror en el que los que se llevaban la peor parte eran los numerosos judios de la ciudad, así como la clase trabajadora. Juan Martinez, que estuvo allí afirma que el pueblo no queria saber nada de los bolcheviques y de sus constantes mítines, pero siendo su brutalidad igual o mayor a la de los ejércitos blancos, en el terrible hambre que se pasaba allí, al menos en el ejercito rojo, los bolcheviquee¡s eran solidarios en este asunto, pasando igual hambre que la población, no así los ejercitos blancos.
Definitivamente triunfaron los bolcheviques, y no había manera de salir de Rusia, donde se había desatado una terrible hambruna, que hizo a la comunidad internacional aportar ayuda. Por eso Juan Martinez tuvo que jugarse la vida, si no se la jugaban todos los que vivieron aquellos años, trapicheando por allí y por acá.
Muchas veces en peligro inminente de muerte, nos lo cuanta con una gracia y un desparpajo del que estuviera contando una anécdota vacacional.
Al fin y con muchas penalidades consiguió huir de ese "paraiso del proletariado", que se llevó por delante a tanto proletario, así como mucho burgués, y mucho inocente que tuvo tan solo la mala suerte de vivier en el momento equivado durante la revolución bolchevique y su consolidación.
Los que sobrevivieron, no sabían lo que todavía tenían por delante, la segunda guerra mundial y la locura del "terror de Stalin", aunque a esto no llega esta buena novela ( )
  Ioseba_Meana | Jun 28, 2012 |
Juan Martínez y su mujer, Sole, son dos bailaores de flamenco, españoles, que se encuentran en Turquía trabajando cuando estalla la Primera Guerra Mundial. Huyendo de la guerra se trasladan a Rusia, donde les sorprende la Revolución Rusa. Sin poder salir del país, se desplazan de Rusia a Kiev, donde pasan un largo período de tiempo en el que los bolcheviques y los zaristas se disputan el poder, y la población civil sufre las consecuencias de la guerra.
La historia está contada tal como la vivió el bailarín. Sin posicionamientos políticos, sin matices, de forma objetiva. Gracias al tipo de narración puedes leer con cierta normalidad actos inhumanos. Y a través de las historias más insignificantes llegas a entender la crueldad de una guerra y de un tiempo que acaba de pasar. ( )
  anacasado | Jun 22, 2010 |
Mostra 5 di 5
nessuna recensione | aggiungi una recensione

» Aggiungi altri autori (2 potenziali)

Nome dell'autoreRuoloTipo di autoreOpera?Stato
Manuel Chaves Nogalesautore primariotutte le edizionicalcolato
Trapiello, Andrésautore secondarioalcune edizioniconfermato

Appartiene alle Collane Editoriali

Devi effettuare l'accesso per contribuire alle Informazioni generali.
Per maggiori spiegazioni, vedi la pagina di aiuto delle informazioni generali.
Titolo canonico
Dati dalle informazioni generali spagnole. Modifica per tradurlo nella tua lingua.
Titolo originale
Titoli alternativi
Data della prima edizione
Personaggi
Luoghi significativi
Eventi significativi
Film correlati
Epigrafe
Dedica
Incipit
Citazioni
Ultime parole
Nota di disambiguazione
Redattore editoriale
Elogi
Lingua originale
Dati dalle informazioni generali spagnole. Modifica per tradurlo nella tua lingua.
DDC/MDS Canonico
LCC canonico

Risorse esterne che parlano di questo libro

Wikipedia in inglese

Nessuno

After a successful tour of the Central European cabarets, flamenco dancer Juan Martínez and his partner Sole were caught by surprise in Russia by the revolutionary events of February of 1917. Unable to leave the country, in St. Petersburg, Moscow, and Kiev they suffered the fall-out of the October Revolution and the bloody civil war that followed. The great Spanish journalist Manuel Chaves Nogales met Martínez in Paris and, shocked by the stories he shared, decided to compile them. The result is this book which narrates the changes the protagonists were faced with and how they figured out a way to survive. Its pages include traveling artists, prodigal Russian dukes, German spies, Chekist assassins, and speculators of a different ilk.   Después de triunfar en los cabarets de media Europa, el bailarín flamenco Juan Martínez, y su compañera, Sole, fueron sorprendidos en Rusia por los acontecimientos revolucionarios de febrero de 1917.  Sin poder salir del país, en San Petersburgo, Moscú y Kiev sufrieron los rigores provocados por la Revolución de Octubre y la sangrienta guerra civil que le siguió. El gran periodista sevillano Manuel Chaves Nogales conoció a Martínez en París y asombrado por las peripecias que éste le contó, decidió recogerlas en un libro. El resultado es esta obra que relata las vicisitudes a las que se vieron sometidos sus protagonistas y cómo se las ingeniaron para sobrevivir. Por sus páginas desfilan artistas de la farándula, pródigos duques rusos, espías alemanes, asesinos chequistas y especuladores de distinta calaña.

Non sono state trovate descrizioni di biblioteche

Descrizione del libro
Riassunto haiku

Discussioni correnti

Nessuno

Copertine popolari

Link rapidi

Voto

Media: (4)
0.5
1
1.5
2 2
2.5
3 3
3.5 1
4 10
4.5 1
5 7

Sei tu?

Diventa un autore di LibraryThing.

 

A proposito di | Contatto | LibraryThing.com | Privacy/Condizioni d'uso | Guida/FAQ | Blog | Negozio | APIs | TinyCat | Biblioteche di personaggi celebri | Recensori in anteprima | Informazioni generali | 207,130,159 libri! | Barra superiore: Sempre visibile