I found this honest—sometimes confusing and frustrating—self-analysis fascinating. Eric Clapton, who is a self-taught blues guitarist that never learned to read music, played with all the greats from Muddy Waters, Buddy Guy, John Lee Hooker, and Little Walter (and many others). Unfortunately, Eric was under the spell of heroin and alcohol for most of his early years, but unlike many of his friends, he finally managed to get sober and survive. Most of the book is unflattering and honest. It also represents Eric Clapton’s dedication to his craft—playing the blues. This autobiography is a must-read for anyone interested in the music scene, especially blues. ( )

Super light, fun to read while drinking. Saved from banality by EC's brutal honesty. ( )

I would listen to my father's copy of Slowhand over and over growing up. I still love listening to it today. Recently I read an article about Eric Clapton's surprising to me anti-vax stance, even though he's reportedly had the vaccine, and his history of racist rants. This all came as a bit of a shock ... Clapton is a racist anti-vaxxer? Remembering I had his autobiography on the shelf upstairs I pulled it down and dove in.

The writing, well, let's just say you can feel the different parts of the book which were written in the same period. And of course he barely touched on his 1976 racist rant. Coupled with his current defense of Enoch Powell and his anti-vax stance ... today Clapton is God might read Clapton is a bigoted anti-vaxxer ... ( )

Portrait of a purist, restless and easily disenchanted throughout the sixties, always moving on--from the Yardbirds, the Bluesbreakers, Cream, Blind Faith, etc.--searching for fulfillment beyond money and fame in the heart of the music, which he feels is religious experience. A who's who of the music business. Frank about his substance-abuse problems. ( )

> CLAPTON PAR ERIC CLAPTON, de Eric Clapton (Trad, de l'anglais par Florence Bertrand, Buchet-Chastel, Paris, 2007, 308 p.)
Se reporter à la critique de Florence MENEY
In: (2008). Compte rendu de [Essai]. Nuit blanche, (111), p. 61. … ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/19590ac

> BAnQ (Derepentigny A., La presse, 13 janvier 2008, C. Expresso arts et spectacles, p. 3)

> EN TOUTE HONNÊTETÉ. — Passionnant ! Cette autobiographie d'Eric Clapton, parue en 2007 et traduite dans la langue de Molière par Florence Bertrand (Chez Buchet/Chastel), est absolument délicieuse à lire. Ric, 9 ans, né clandestinement dans l'arrière chambre des grands parents qu'il découvre qu'ils ne sont pas ses parents comme on a pu lui laissé croire... Ric, enfant de Ripley, pas franchement passionné par les études... ses premiers pas comme graphiste, mais préférant assurément les Beaux Arts qui lui sont inaccessibles... son penchant précoce pour le blues dans une époque où l'on raisonnait Rock N' Roll... ses premières armes dans des formations faites de bric et de broc avant d'arriver aux Yardbirds où le terme de virtuose lui colle déjà à la peau au point d'être recruté par John Mayall, une sommité dans le milieu, pour relancer des Bluesbreakers qui s'endorment sur leurs lauriers... une gloire qu'il réfute née sous l'anthologique Cream, pas si soudé que leur musique peut le prétendre... le retour sur terre sous Blind Faith... l'amitié avec George Harrison et pour sa femme Pattie pour laquelle il plonge, éperdu amoureux, dans l'héroïne et l'alcool à outrance...les années 80 qui le délivrent de ces addictions... la mort de Connor, son fils qui donne le jour au grandiose Tears In Heaven... le père de famille qu'il est devenu, le musicien d'aujourd'hui... en toute simplicité, avec humilité, Eric Clapton se dévoile comme jamais, sans concession pour lui-même, honnêtement, acceptant sereinement ce parcours en dent de scie. Il n'y a rien de honteux dans cette sorte de repentance, c'est le rock n' roll ! (PLO54)
—jean-claude, le 18 octobre 2012, (Sur Amazon.fr) ( )