This should be on a list of required reading. ( )

ما هذه السخافة، هذه ليست رواية بل مجموعة من النصائح الفلسفية صيغت في شكل اسئلة واجوبة رديئة
يدعي الكاتب انها مخطوطة من مخطوطات نجح حمادي التي هي مخطوطات تعود الي فترة ١٠٠ و٢٠٠ ميلادية، في حين ان احداث الرواية في عام ١٠٩٩ ميلاديا اثناء الحملات الصليبية
لا اعرف كيف كاتب مثل باولو كوهيلو لا يقوم بابحاث كافية قبل كتابة رواية
هل رجعوا في الزمن ليودعوا المخطوطات ضمن مخطوطات نجع حمادي
لم استطع اكمالها ولا اراها تستحق لقب رواية اصلا ( )

14 de julio de 1099. Mientras Jerusalén se prepara para la invasión de los cruzados, un griego conocido como el Copto convoca al pueblo, jóvenes y viejos, hombres y mujeres, a reunirse junto a él. ¿Qué valores quedan cuando todo ha sido destruido? «Nadie sabe lo que nos reserva el mañana, porque cada día llega con el mal y con el bien. Así pues, al preguntar lo que deseáis saber, olvidad las tropas que están fuera de la ciudad y el miedo que está dentro de ella. Hablaremos, en cambio, de nuestra vida cotidiana, de las dificultades que debemos afrontar.» Mientras esperan el ataque enemigo, las gentes le preguntan acerca de la derrota y la soledad, la lucha y el cambio, la belleza, cómo encontrar el propio camino. Y después, sobre el amor y la lealtad, el destino, el sexo y la elegancia, el miedo y la ansiedad, la sabiduría y, también, lo que aguarda en el futuro... Y las respuestas que obtuvieron siguen siendo válidas ahora, mil años después. Ellos preguntaron. El Copto contestó.

Sometimes I enjoy Coelho's work and sometimes I don't. The premise of his stories draws me in before I've read the first page, and then I discover the wisdom I had hoped for is just not there. This was the case with this book. Maybe I'm expecting another Kahlil Gibran? I didn't wind up feeling enlightened. One thing in particular that put me off was something another reviewer pointed out - Coelho makes liberal use of Biblical stories and parables and sayings without attributing them, thereby making it sound like they are actually his own. ( )

> Copie carbone
Par Nicolas (Le blog de Menon), le 3 juin 2020 (Sur Amazon.fr) 2/5 … ; (en ligne),
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« 14 juillet 1099. Alors que les croisés sont aux portes de la ville, les habitants de Jérusalem se pressent autour d'un homme mystérieux connu sous le nom du Copte pour entendre ses derniers enseignements. » : voilà le résumé éditeur d’un des plus mauvais romans de Paulo Coelho.
Je ne vais pas y aller par quatre chemins : si vous avez été enthousiasmé par cet ouvrage, c’est que vous n’avez jamais lu le Prophète de Khalil Gibran (1923) dont le Manuscrit retrouvé n’est qu’un décalque.
Et au jeu des comparaisons, le livre de Coelho peine à s’élever à la hauteur de celui de Gibran. Pourtant, Coelho sait se faire poète. La forme courte lui convient particulièrement bien comme le prouve Maktub ou Le fleuve qui coule et L’Alchimiste jouit justement d’une écriture charriant une belle musicalité. Hélas, rien à faire ici, ça ne prend pas.
A l’instar de chez Gibran, le personnage du livre appelé le Copte dispense un enseignement de l’Amour aux auditeurs effrayés venus le consulter alors que Jérusalem est sur le point de tomber. On retrouve les thématiques de Coelho sur l’amour, l’amitié, le combat, mais tout cela fleure bon la guimauve new âge et on espère rapidement arriver au bout du livre tant il semble lourd.
Encore une fois, au risque de me répéter, autant le Prophète de Gibran mérite d’être relu régulièrement pour en pénétrer l’exquise poésie et la hauteur de vue, autant ce Manuscrit me semble un coup d’épée dans l’eau. Peut-être suis-je trop sévère et adopterai-je un autre point de vue lors d’une prochaine relecture, mais, pour l’heure, je suis sorti navré de cette première découverte.