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Sto caricando le informazioni... Persian Letters (originale 1721; edizione 1973)di Charles-Louis de Secondat Montesquieu, C. J. Betts (Traduttore), C. J. Betts (Introduzione)
Informazioni sull'operaLettere persiane di Charles Louis de Secondat Montesquieu (1721)
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Iscriviti per consentire a LibraryThing di scoprire se ti piacerà questo libro. Attualmente non vi sono conversazioni su questo libro. Lettere persiane è l’esposizione attraverso la corrispondenza di due persiani in viaggio in Europa della visione innovativa della società del filosofo francese. La comparazione di due civiltà diverse, resa con una semplicità disarmante, è l’occasione per riflettere sulle strutture sociali, sui concetti di giustizia, di governo dei popoli. Dalle lettere sui trogloditi, prima massima espressione del danno sociale di condotte individualistiche e egoistiche e poi del bene che deriva da un’organizzazione sociale basata sull’interesse collettivo, alle riflessioni sullo spopolamento del mondo come testimonianza del declino delle società civili, le riflessioni di Montesquieu sono di un’attualità e di una grandezza disarmante. La considerazione finale della storia dei trogloditi che preferiscono vivere sotto un re despota, piuttosto che liberi e regolati solo dalla legge del bene comune, è, ad esempio, da considerare con grande attenzione in questo periodo in cui i nazionalismi imperano nel mondo. Il concetto centrale della riflessione di Montesquieu sulla necessità di far prevalere sempre l’interesse generale su quello individuale richiederebbe oggi una attenta riflessione sul futuro della politica e della società, a livello globale. Una lettura bella, appassionante ed istruttiva. ( ) Fiction, Charles–Louis de Sécondat, Baron de la Brède et de Montesquieu (La Brède 1689 - Parigi 1755), A fictional correspondence between two Persians to reflect on the meaning of government and social customs, Satirical attack on existing institutions, Politics and government, "Le roi de France est le plus puissant prince de l'Europe. Il n'a point de mines d'or comme le roi d'Espagne son voisin; mais il a plus de richesses que lui, parce qu'il les tire de la vanité de ses sujets, plus inépuisable que les mines. On lui a vu entreprendre ou soutenir de grandes guerres, n'ayant d'autres fonds que des titres d'honneur à vendre; et, par un prodige de l'orgueil humain, ses troupes se trouvaient payées, ses places munies, et ses flottes équipées. D'ailleurs ce roi est un grand magicien: il exerce son empire sur l'esprit même de ses sujets; il les fait penser comme il veut. S'il n'a qu'un million d'écus dans son trésor et qu'il en ait besoin de deux, il n'a qu'à leur persuader qu'un écu en vaut deux, et il le croient. S'il a une guerre difficile à soutenir, et qu'il n'ait point d'argent, il n'a qu'à leur mettre dans la tête qu'un morceau de papier est de l'argent, et ils en sont aussitôt convaincus. Il va même jusqu'à leur faire croire qu'il les guérit de toutes sortes de maux en les touchant, tant est grande la force et la puissance qu'il a sur les esprits. Ce que je dis de ce prince ne doit pas t'étonner: il y a un autre magicien plus fort que lui, qui n'est pas moins maître de son esprit qu'il l'est lui-même de celui des autres. Ce magicien s'appelle le pape: tantôt il lui fait croire que trois ne sont qu'un; que le pain qu'on mange n'est pas du pain, ou que le vin qu'on boit n'est pas du vin, et mille autres choses de cette espèce. Et, pour le tenir toujours en haleine et ne point lui laisser perdre l'habitude de croire, il lui donne de temps en temps, pour l'exercer, de certains articles de croyance. Il y a deux ans qu'il lui envoya un grand écrit qu'il appela constitution, et voulut obliger, sous de grandes peines, ce prince et ses sujets de croire tout ce qui y était contenu. Il réussit à l'égard du prince, qui se soumit aussitôt, et donna l'exemple à ses sujets; mais quelques-uns d'entre eux se révoltèrent, et dirent qu'ils ne voulaient rien croire de tout ce qui était dans cet écrit. Ce sont les femmes qui ont été les motrices de toute cette révolte qui divise toute la cour, tout le royaume et toutes les familles. Cette constitution leur défend de lire un livre que tous les chrétiens disent avoir été apporté du ciel: c'est proprement leur Alcoran. Les femmes, indignées de l'outrage fait à leur sexe, soulèvent tout contre la constitution: elles ont mis les hommes de leur parti, qui, dans cette occasion, ne veulent point avoir de privilège.", First published, under the title: "Lettres persanes", Cologne, chez Pierre Marteau, 1721, 2 tomes en un volume petit in-12, veau brun, dos orné aux fleurons et petits fers dorés, pièce de titre verte (W.H. Langerveld Boekb.), According to http://www.kcl.ac.uk/depsta/iss/library/speccoll/exhibitions/printerex/antistate..., "Printers used various devices to evade the censor. One of the most common in the seventeenth century was the use of an "accommodation address", a fictitious imprint statement designed to make it hard for officers of the state to discover where and by whom a book had been printed. The printer of this book used the accommodation address, "Cologne: chez Pierre Marteau". This fictitious imprint, believed to have been devised by the Leiden printer Jan Elzevir in 1660, was widely adopted by printers of works that were theologically or politically contentious in nature, as well as by printers of pornography. Thus, the use of this accommodation address in a book's imprint gradually came to act almost as a badge of controversial status. It was still in use in the nineteenth century, when the German publishing firm of F.A. Brockhaus adopted it in its German form ("bei Peter Hammer in Köln") when issuing works likely to offend the Prussian censor.", Italian edition, Rizzoli, Milano, November, 1996, BUR, introduction by Jean Starobinski, translated by Giuseppina Alfieri Todaro-Faranda, 400 pp. nessuna recensione | aggiungi una recensione
Appartiene alle Collane EditorialiÈ contenuto inRiceve una risposta inHa come guida per lo studenteElenchi di rilievo
Based on the 1758 edition, this translation strives for fidelity and retains Montesquieu's paragraphing. George R. Healy's Introduction discusses The Persian Letters as a kind of overture to the Enlightenment, a work of remarkable diversity designed more to explore a problem of great urgency for eighteenth century thought than to resolve it: that of discovering universals, or at least the pragmatic constants, amid the diversity of human culture and society, and of confronting the proposition that there are no values in human relationships except those imposed by force or agreed upon in self-interested conventions. Non sono state trovate descrizioni di biblioteche |
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Google Books — Sto caricando le informazioni... GeneriSistema Decimale Melvil (DDC)843.5Literature French French fiction 18th century 1715–89Classificazione LCVotoMedia:
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