Cette deuxième partie reflête les qualités de Dumas en dépeignant la société parisienne, les moeurs et toute l'absurdité des privilégiés. Bon, le projet du Comte est bien long, décrit de facon on ne peut plus detaillée, mais c'est un peu Rambo en intello en mission de Dieu. Un peu tirées par les cheveux, toutes les ruses qui marchent infailliblement, mais bon. Pourtant, ca laisse le lecteur entre l'admiration et la satisfaction de voir qu'il l'a, sa vengeance, et, de l'autre côté, qu'il exagère un peu quand même, le comte. Mais bon - ce coonflit, c'est bien ce qu'il intentionne, Dumas. Mais quelle fin d'éclair après tant de lignes... Et pourquoi cacher la petite Villefort et prolonger la douleur de Morel? Et pourquoi le comte a-t-il des remords quand Mme de Villefort se tue at prend son fils awec elle? Pourquoi il prend ca sur lui? Alors, les raisonnements du comte ne sont pas trop linéaires. Mais bon, ca le rend humain, n'est-ce pas?
Tout ce que je sais, c'est que 56 heures dee francais du 19ème, ca suffit pour quelque temps! J'ai tout de suite téléchargé le nouveau roman de Roddy Doyle en audio pour que ca change un peu de registre et d'époque : )