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Sto caricando le informazioni... Spinoza incula Hegel: romanzo nero di guerriglia e di passionedi Jean-Bernard Pouy
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Iscriviti per consentire a LibraryThing di scoprire se ti piacerà questo libro. Attualmente non vi sono conversazioni su questo libro. Je n'ai été ni surpris ni déçu du style que l'auteur utilise dans ce roman (ayant déjà lu plusieurs oeuvres de JB Pouy). Ce style d'écriture mêlant avec brio ironie, humour noir tout en laissant une place aux réflexions de l'auteur, au travers du personnage, sur certaines situations rencontrées au fil de cette courte fiction. Pour poser le cadre du récit : il se passe en France après l’effondrement de notre société, "le Grand Merdier". Suite aux semaines d'anarchie et de pillage des milices locales essaient de restructurer une néo-société mais de nombreux groupes de pillards (rassemblés selon leur idéologie sur la société) sèment le chaos et plongent le pays dans une ambiance à la "Mad Max" Le récit est divisé en trois types de chapitres : - Le premier type est celui où l'on suit Julius Puech, leader de la F.A.S. (Fraction Armé Spinoziste) avec sa troupe de sbire Ils sont en guerre d'extermination face aux Hegeliens (autre groupe) qui leurs ont lancé un défi. - Ensuite viennent les chapitres "flash-back" qui racontent plus ou moins chronologiquement le parcours du personnage principal à travers ce chaos. - Le dernier est un type vraiment très spécial : il s'agit de communiqués radio de la station RCI, dont l'objectif est surtout de tenir le tableau des scores des massacres entre groupes. Je trouve que cette forme de récit divisé en trois donne un rythme intéressant en plus de la touche d'originalité narrative. J'ai également bien aimé cet ouvrage, outre la construction, par le style. L'auteur usant d'un vocabulaire décomplexé et mettant en scène des situations plus improbables les unes que les autres, sans pour autant tomber dans la vulgarité ou l'absurde. L'évolution du caractère du personnage est aussi très bien développer, c'est dommage que les personnages secondaires soient si peu exploités. En bref un roman excentrique, captivant, qui pose le cadre des les premières pages mais qui tient en haleine jusqu'à la fin. Une très bonne lecture. Victor Après le "grand bordel" (mai 68), de jeunes gens libérés de tous les carcans de la société cherchent la liberté, cherchent l'éthique, et l'appliquent de manière absolue, jusqu'au bout de la violence. La bande à Julius, un groupe de motards dignes de Mad Max, s'amuse à voler un canadair et des centaines de litres de peinture pour repeindre le sacré-coeur en vert. Elle combat les fachos en surenchérissant sur leur violence. Puis quand ceux-ci ont été exterminés, elle s'en prend aux autres groupes d’extrême gauche. Massacres entre hommes (les femmes sont ailleurs, organisées en groupes féministe tout aussi violents). La vie est considérée comme une expérience artistique de l’extrême. Un texte missile, qui renvoie à nos propres fantasmes. Nos aspirations intimes, reptiliennes, peuvent-elles une fois libérées se révéler si délétères ? (Je termine ce livre le jour du premier anniversaire du massacre d'Andres Brevik, alors qu'un étudiant en a perpétré un autre lors d'une première du nouveau Batman). Un polar uchronique épique et sans concession. nessuna recensione | aggiungi una recensione
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Il y a de quoi être tout de suite séduit par le style aussi direct que précis de l'auteur. C'est plein d'humour et de distance. J'étais franchement transporté dans cet univers original et frais, et pourtant datant de 1983 ! Le côté scènes de combat en métaphores de conflits idéologiques me fait penser aux mangas. On compare ce bouquin à Mad Max, mais ce bouquin est infiniment plus dense, là où Mad Max n'est que pur esthétisme justement. Creux. Ce n'est qu'une histoire d'amour et de vengeance, alors que le bouquin est une véritable fresque d'une période historique politiquement essentielle et incroyablement prolifique et créative.
En dénouement survient les géniales retrouvailles avec les femmes, absentes des factions armées gauchistes réservées aux hommes. Naturellement, elles sont regroupées en factions armées féministes. Et lorsqu'elle attrapent un homme... ( )