Pagina principaleGruppiConversazioniAltroStatistiche
Cerca nel Sito
Questo sito utilizza i cookies per fornire i nostri servizi, per migliorare le prestazioni, per analisi, e (per gli utenti che accedono senza fare login) per la pubblicità. Usando LibraryThing confermi di aver letto e capito le nostre condizioni di servizio e la politica sulla privacy. Il tuo uso del sito e dei servizi è soggetto a tali politiche e condizioni.

Risultati da Google Ricerca Libri

Fai clic su di un'immagine per andare a Google Ricerca Libri.

Sto caricando le informazioni...

I segreti della camera rossa (2012)

di Pauline A. Chen

UtentiRecensioniPopolaritàMedia votiCitazioni
17018160,408 (3.56)8
Fiction. Literature. Historical Fiction. HTML:In this lyrical reimagining of the Chinese classic Dream of the Red Chamber, set against the breathtaking backdrop of eighteenth-century Beijing, the lives of three unforgettable women collide in the inner chambers of the Jia mansion. When orphaned Daiyu leaves her home in the provinces to take shelter with her cousins in the Capital, she is drawn into a world of opulent splendor, presided over by the ruthless, scheming Xifeng and the prim, repressed Baochai. As she learns the secrets behind their glittering façades, she finds herself entangled in a web of intrigue and hidden passions, reaching from the petty gossip of the servants?? quarters all the way to the Imperial Palace. When a political coup overthrows the emperor and plunges the once-mighty family into grinding poverty, each woman must choose between love and duty, friendship and survival.

In this dazzling debut, Pauline A. Chen draws the reader deep into the secret, exquisite world of t
… (altro)
Sto caricando le informazioni...

Iscriviti per consentire a LibraryThing di scoprire se ti piacerà questo libro.

Attualmente non vi sono conversazioni su questo libro.

» Vedi le 8 citazioni

I'm sorry to say that despite really wanting to like this book I really did not like it. I think there's just too much Harem Intrigue, too many concubines worrying about sex, too much jealousy, and I guess it's just too much of a romantic romance for my taste . ( )
  ShiraDest | Mar 6, 2019 |
3.5 stars

This is a retelling of a Chinese classic book, but pared down. Chen took out some of the characters and storylines and cut down the text substantially (from, I think, over 1000 pages).

It’s the early 18th century. Daiyu is left an orphan and must travel to live with the rest of her family. Her grandmother never forgave Daiyu’s mother for leaving. Daiyu meets her cousins and it doesn’t take long to fall in love with one of them, Baoyu, but she doesn’t have a hope of becoming betrothed to him, although he has also fallen for her. She becomes good friends with Baochai. In other storylines, there is someone getting out of a murder charge; there are concubines and affairs.

I thought this was good, although it took some time to try to sort out all the characters, with the Chinese names, and I was listening to the audio, so I couldn’t really check back for clarification. So, that took some time. Not that I can really compare it to the original (apparently, the ending was lost), but I thought Chen did a really good job of telling the story that she did. I also like the way she ended it. ( )
  LibraryCin | Dec 7, 2018 |
Je suis sûre qu’il vous arrive à vous aussi de tomber sur un livre que vous adorez, dans lequel vous vous plongez entièrement, corps et âmes, et de vous réjouir d’être tombé sur ce livre par le plus grand des hasards (dans la masse des livres à lire), alors que vous n’en aviez jamais entendu parler. C’est exactement ce qu’il m’est arrivée avec ce livre ci. Je cherchais juste un livre chinois dans le catalogue de la bibliothèque numérique de Paris et j’ai emprunté celui-ci par le plus grand des hasards. Et cela a été un pur plaisir de lecture.

Pauline Chen a réécrit un classique du 18ième siècle de la littérature chinoise, Le Rêve dans le Pavillon Rouge de Cao Xueqin, d’un point de vue féminin. Le roman est énorme (2 tome de Pléiade, 3278 pages), comporte une multitude de personnages et est raconté visiblement du point de vue des personnages masculins, même si les personnages féminins sont omniprésents. Ici, Pauline Chen a resserré l’intrigue en supprimant des personnages et des actions pour atteindre un total de 566 pages dans l’édition de poche, tout en donnant plus de corps aux voix féminines de la maison, à leurs pensées plus exactement.

L’action se situe sous la dynastie des Qing, la dernière dynastie, dans la capitale Pékin, principalement au palais de Rongguo, palais de la famille Jia, femme qui est depuis longtemps au service de l’Empereur et qui a bâti sa réputation et sa fortune sur cela. De multiples personnages habitent dans ce palais, de la famille plus ou moins éloignée (il y a un arbre généalogique au début du livre, mais en réalité on n’en a pas besoin au cours de la lecture tellement le livre est bien écrit).

La douairière du domaine est Grand-Mère Jia. Elle est vieille et affaiblie, reste la plupart du temps dans ses appartements mais manipule toute la famille pour que tout se passe comme elle le souhaite. Elle a eu trois enfants avec son mari, qui lui est mort au début du roman. Les trois enfants sont Jia Jing, Jia Zheng et Jia Min. Il faut voir qu’à l’époque les hommes des « bonnes familles » devaient préparer le concours pour devenir fonctionnaire, monter les échelons, gagner du prestige et de l’argent pour eux et pour leur famille. Bien sûr, les deux fils de la famille Jing et Zheng ont réussi ce concours. Malheureusement Jing est mort, mais Zheng sert loyalement l’Empereur au poste qu’il occupe. Il est l’homme de la famille, celui qui prend les décisions (avec l’accord de sa mère) et rapporte l’argent et le prestige. Min est partie depuis longtemps de la maison, fâchée avec sa mère car elle a osé choisir son mari (et bien sûr son choix ne correspondait pas avec celui de sa mère).

Les trois enfants ont eu eux-même des enfants. Jing a eu deux enfants avant de mourir : Lian qui est marié avec Wang Xifeng et Xichun qui a une vingtaine d’années dans le roman. Wang Xifeng, en tant que bru s’occupe de l’administration de la maisonnée puisque Grand-Mère Jia ne peut plus s’en occuper. Cela lui coûte beaucoup de temps, de soucis et lui rapporte très peu de reconnaissance. En plus, son mari n’a que mépris pour elle ; ils ne s’entendent pas du tout et ne forment donc pas un couple uni.

Jia Zheng a eu deux enfants avec sa femme (légitime), Dame Wang qui est morte avent le début du roman : Zhu (garçon lui aussi décédé après avoir réussi les examens de fonctionnaires tout de même) et Baoyu. Baoyu est le personnage principal du roman de Cao Xueqin. Le légende familiale indique qu’il est né avec un jade dans la bouche. C’est un garçon d’une vingtaine d’années, extrêmement beau, très sensible, choyé par toutes les femmes de la famille, surtout par sa grand-mère (même si visiblement c’est très indécent à son âge). Il cause cependant des sueurs froides à son père car par fainéantise, et non par manque d’intelligence, il ne prépare pas de manière efficace les fameux examens de fonctionnaires et il semble qu’il ne semblera jamais prêt. Jia Zheng a aussi une concubine (vivante elle), avec qui il a eu deux enfants : un garçon Huan (très jaloux de Baoyu son demi-frère) et une fille, Tanchun. Avec Xichun, tout le monde les appelle toutes les deux les « Deux-Printemps ».

Min a eu une fille, Lin Daiyu, dont personne au début du roman n’a entendu parler. À tout ce petit monde s’ajoute la belle-sœur de Jia Zheng, Mme Xue, sœur de sa femme décédée et elle même veuve, et sa fille, Baochai, âgée elle aussi d’une vingtaine d’années. Il y a peut être encore cinq personnages, mais ils ne sont pas importants pour ce billet.

Il faut quand même préciser que les femmes « les plus âgées » vivent au palais, tandis que les jeunes filles ont leurs propres appartements dans le jardin, où chacune à un petit pavillon à sa disposition (cela m’a fait rêver quand j’ai lu cela). Cela « facilite » les intrigues entre les jeunes.

Au début du roman, on assiste à la mort de Min, dans une ville du sud. Son dernier souhait est que sa fille Daiyu rencontre sa famille qu’elle n’a jamais rencontré puisque sa famille était fâchée avec elle. Il faut voir qu’elle vit dans des conditions beaucoup plus pauvres qu’au palais de Rongguo (mais bon, elle, elle aimait son mari). Pourtant elle et son mari ont assuré à leur fille, une éducation peu compatible avec celle d’une jeune fille de bonne famille. En effet, ils lui ont fourni une éducation qui est jugée à l’époque inutile pour une femme. Min a appelé (par écrit) son frère, Jia Zheng quand elle a vu que la fin approchait. Celui-ci arrive trop tard pour voir une dernière fois sa sœur (de laquelle il était un peu jaloux) mais repart avec sa nièce pour un séjour de plusieurs mois un autre monde. Elle découvre un tout autre monde : Dame Jia (la grand-mère) la hait car elle est trop comme sa mère, Xifeng ne lui semble qu’une autoritaire, légèrement robot sur les bords. Elle n’arrive pas à se lier à ses cousines car elle ne sait pas comment s’y prendre. Elle sera cependant conseillée par une servante Oie-Des-Neiges et finalement se lie d’amitiés avec Baochai, qui lui propose même d’habiter dans son pavillon. Cependant, cette dernière reste très froide, ne montrant aucuns sentiments. Ce n’est pas faute d’en avoir, pour Baoyu en tout cas dont elle est amoureuse (mais ne le montre pas car celui-ci flirte avec les servantes et un peu tout ce qui est féminin ; elle a don peur d’être déçu). De plus, elle doit se montrer forte pour aider sa mère à gérer les frasques de son frère (il tue quelqu’un par accident au début du roman).

Daiyu a donc du mal à se faire une place dans cette famille malgré les petites attentions de tous, restant une extérieure. Pourtant, cela s’améliore au fur et à mesure jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse de Baoyu et que cela soit réciproque, contrariant les plans de toute la maison. C’est cette intrigue amoureuse qui est l’intrigue principale du roman mais pas seulement, car on va aussi suivre la grandeur et la décadence de la famille Jia.

Pauline Chen adopte le point de vue Xifeng, de Daiyu et de Baochai. C’est un très bon choix car elles ont toutes les trois un caractère très différent et n’ont pas les mêmes fonctions à l’intérieur du palais. Par l’intermédiaire de Xifeng, on découvre le quotidien d’une femme très intelligente et pratique (muni d’un mari qui n’a pas ces qualités), gérant d’une main ferme un énorme palais et les domaines appartenant à la famille. Ces responsabilités ne sont reconnues par personne, femmes comme hommes. C’est un travail silencieux et sous-terrain, qui n’intéresse pas. Ainsi, elle paraît froide alors qu’elle souffre comme tout le monde, d’autant qu’au cours du roman, son mari prendra comme concubine sa servante depuis son enfance qu’elle considère comme une sœur et sa seule alliée dans cette maison. Tout cela parce qu’elle n’arrive pas à lui faire d’enfants (ce n’est pas suffisamment de bien administrer, la femme doit aussi faire des enfants pour faire l’ensemble du travail qu’on attend d’elle). La description de la vie de Xifeng est l’occasion pour le lecteur de découvrir tous les détails de la vie, quotidienne ou non, d’un tel palais, de comprendre aussi comment fonctionnait la domesticité, le couple … à cette époque.

Daiyu, comme je l’ai dit plus haut, reste observatrice de la vie du palais et décrypte pour le lecteur ce qu’il se passe, ce qui est normal ou ce qui est insensé pour le commun des mortels. Elle est aussi très clairvoyante sur les relations familiales.

Avec Baochai, on apprend beaucoup du devoir d’une femme, de ce qui est attendu traditionnellement d’elle car c’est la principale inquiétude et le principal moteur de cette jeune fille. Accessoirement, on apprend beaucoup aussi sur les rouages de la Chine impériale lorsqu’elle essaie de régler les problèmes de son frère.

J’ai aimé le personnage de Daiyu mais c’est le personnage de Xifeng qui m’a le plus plu car c’est celui qui est le plus moderne et en décalage avec son époque. C’est elle qui fait bouger les frontières et qui forcément fait et créer les tensions. J’ai trouvé l’intrigue amoureuse plus classique. Du fait que l’auteur centre son action sur les femmes, je n’ai pas réussi à me faire une idée précise du caractère de Baoyu et donc comme Daiyu, je n’ai pas réussi à comprendre rapidement, si c’était aussi sérieux pour lui que pour elle. La fin du coup m’a semblé un peu extrême.

Pauline Chen insiste dans ses notes qu’elle est restée très proche du sens et du contexte profond du roman malgré le fait qu’elle est nettement resserrée l’action. Cependant, elle indique aussi avoir pris des libertés sur la reconstitution historique pour que l’action soit suffisamment fluide. Je pense que quand même beaucoup de choses restent exactes, peut-être pas pour les historiens, mais dans l’ensemble oui.

Ce livre est un dépaysement garanti, qui se suffit à lui-même, mais aussi une manière originale et moderne de s’initier au classique de Cao Xueqin, Le Rêve dans le Pavillon rouge. ( )
  CecileB | Aug 13, 2016 |
A retelling of the Chinese classic 红楼梦 (hong lou meng) or Dream of the Red Chamber by Cao Xueqin. A story I know nothing about, except its name – and fame. But Pauline A Chen’s reimagined version quickly draws me into the lives of the Jia family. More specifically, the women of the Jia family, who live in the beautiful palatial Rongguo Mansion in the Capital.

We join young Daiyu who has recently lost her mother to illness as she leaves her home in Suzhou to stay with the relatives she’s never met before. Her mother was a Jia daughter estranged from her family having married beneath her.

She enters a world so different from the simple life she led in Suzhou. One full of exquisite silks, extravagant dinners, a bevy of servants and politicking among her new relatives and close ties with the imperial court.

There is the ambitious and unappreciated daughter-in-law Xifeng, who manages the household but cannot produce an heir; ; the Lady Jia, powerful and manipulative; plain, unmarried Xue Baochai, a cousin, at first unsure of herself and her place in the family. And quite a number of other relatives and servants.

The heir to all this is Baoyu, clever but unpredictable and quite willful, and supposedly born with a jade in his mouth:

“He is so handsome that all the light in the room seems to shine on him. Low over his brow he wears a gold headband shaped like two dragons playing with a large pearl. He is dressed in a jacket of slate-blue silk with tasseled borders and medallions down the front, over a pair of ivy-colored embroidered trousers. He does not kowtow, but looks at her as if he and she are the only two people in the world.”

And so a little love triangle develops. Baoyu and Daiyu, both with the character for jade ‘yu’ in their names, fall for each other. But Baoyu is betrothed to Baochai, whose wealth and connections make her a better match in the eyes of his family.

The fortunes of the Jia family start out flying high but the death of the Emperor, a coup by a prince (and the family’s vocal support of another prince) result in the men being imprisoned and the women left to fend for themselves, which they barely manage as this is a time when people say things like: “A virtuous woman is an uneducated woman.” Ouch. While the Jia women have some sort of education due to their privileged position in society, they aren’t able to do much with it. Times are hard but they make it through. That little love triangle though, doesn’t quite.

The writing style of The Red Chamberisn’t anything to shout about but the story moves along at a well-clipped pace and its strong female characters pull the reader in.

I doubt that I’ll ever read The Dream of the Red Chamber - it apparently has 400-plus characters and drags its way out to 2,500 pages! – so I can’t tell you how this relates to that. But in my copy of the book, Chen points out that she has “shuffled, truncated, and eliminated both characters and plotlines of the original to create a cohesive and more compact work”.

The Red Chamber is a solid multi-generational drama set in 18th century China, with vibrant historical details (Chen has a PhD in East Asian studies) and a moving plot.

Originally posted at http://olduvaireads.wordpress.com/2013/05/17/the-red-chamber/ ( )
1 vota RealLifeReading | Jan 19, 2016 |
L'auteur a souhaité nous faire partager la vie de plusieurs femmes issues des classes "supérieures", et toutes imbues de leurs positions sociales, ou inconscientes de la chance qu'elles ont. Ce qui est intéressant dans ce roman, c'est que la vie de quelques servantes est aussi décrite et commentée. La vie politique de l'époque où se déroule ce roman nous éclaire aussi sur les us et coutumes de la cour, et de ses courtisans, sans parler des milliers de fonctionnaires, et de ceux qui rêvent le devenir.
Femmes intelligentes et ou rusées, femmes sacrifiées au nom des intérêts de la famille, femmes délaissées par leurs maris, femmes abusées par de jeunes hommes inconscients du mal qu'ils font. Les hommes, dans ce roman, sont égoïstes, ou dépensiers, ou joueurs et buveurs. Une image peu reluisante de ceux qui pourtant ont tous les pouvoirs, alors que les femmes, qui gèrent tout du budget de la maison à l'éducation des enfants, n'ont aucun droit et doivent se plier aux exigences de la gent masculine. Sauf, peut-être, celles, exceptionnelles, qui sont assez malignes pour mener leur vie de la manière la plus juste pour elle. Mais elles sont rares... ( )
  pangee | Apr 7, 2015 |
nessuna recensione | aggiungi una recensione

È una rivisitazione di

Devi effettuare l'accesso per contribuire alle Informazioni generali.
Per maggiori spiegazioni, vedi la pagina di aiuto delle informazioni generali.
Titolo canonico
Titolo originale
Titoli alternativi
Data della prima edizione
Personaggi
Dati dalle informazioni generali inglesi. Modifica per tradurlo nella tua lingua.
Luoghi significativi
Dati dalle informazioni generali inglesi. Modifica per tradurlo nella tua lingua.
Eventi significativi
Film correlati
Epigrafe
Dedica
Incipit
Citazioni
Ultime parole
Nota di disambiguazione
Redattore editoriale
Elogi
Lingua originale
DDC/MDS Canonico
LCC canonico

Risorse esterne che parlano di questo libro

Wikipedia in inglese

Nessuno

Fiction. Literature. Historical Fiction. HTML:In this lyrical reimagining of the Chinese classic Dream of the Red Chamber, set against the breathtaking backdrop of eighteenth-century Beijing, the lives of three unforgettable women collide in the inner chambers of the Jia mansion. When orphaned Daiyu leaves her home in the provinces to take shelter with her cousins in the Capital, she is drawn into a world of opulent splendor, presided over by the ruthless, scheming Xifeng and the prim, repressed Baochai. As she learns the secrets behind their glittering façades, she finds herself entangled in a web of intrigue and hidden passions, reaching from the petty gossip of the servants?? quarters all the way to the Imperial Palace. When a political coup overthrows the emperor and plunges the once-mighty family into grinding poverty, each woman must choose between love and duty, friendship and survival.

In this dazzling debut, Pauline A. Chen draws the reader deep into the secret, exquisite world of t

Non sono state trovate descrizioni di biblioteche

Descrizione del libro
Riassunto haiku

Discussioni correnti

Nessuno

Copertine popolari

Link rapidi

Voto

Media: (3.56)
0.5
1 2
1.5 1
2 3
2.5
3 12
3.5 4
4 9
4.5 2
5 9

Sei tu?

Diventa un autore di LibraryThing.

 

A proposito di | Contatto | LibraryThing.com | Privacy/Condizioni d'uso | Guida/FAQ | Blog | Negozio | APIs | TinyCat | Biblioteche di personaggi celebri | Recensori in anteprima | Informazioni generali | 204,797,598 libri! | Barra superiore: Sempre visibile