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Sto caricando le informazioni... The Castle of Whispersdi Carole Martinez
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Iscriviti per consentire a LibraryThing di scoprire se ti piacerà questo libro. Attualmente non vi sono conversazioni su questo libro. 12th century in France: to avoid an unwanted marriage, Esclarmonde, the daughter of the lord of Castle of Whispers [so-called because of the legend of a woman walled alive in its foundation, who moans and whispers her name on occasion] becomes an anchoress. After several mysterious happenings--miracles?] she is revered as a living saint. Her influence travels far beyond the four walls of her cell. From historical novel the novel moves easily to legend and fantasy. Beautifully written. In 12th-century France, a 15-year-old girl from a noble family named Esclarmonde escapes an arranged marriage by offering herself to God. The form she takes is an anchoress, imprisoned in the walls of a chapel where she is to pray for the people of her town and the many pilgrims who are soon drawn too her. Shortly before being walled-up, Esclarmonde is raped and impregnated. The birth of her son is seen as a miracle by the local religious leaders who prefer not to ask the questions that would get to the truth of the matter. The novel takes a lot of liberty with historical accuracy and plausibility, but I find it works. It's an interesting exploration of the manner in which a woman could gain power in 12th-century Europe, as Esclarmonde is seen advising the local bishop (and the pope by proxy) as well as sending men off to fight in the Crusades. It also is a study of motherhood as Esclaramonde raises her son in her cell for three years until he grows to big to fit between the bars and is sent off to an adoptive family. Finally, it investigates the idea of faith with the suggestion that God may not exist, but the belief and rituals still have a positive function in their society. 1187, vie d'Esclarmonde qui préfère le Christ à un mari imposé. Carole Martinez donne ici libre cours à la puissance poétique de son imagination et nous fait vivre une expérience à la fois mystique et charnelle, à la lisière du songe. Elle nous emporte dans son univers si singulier, rêveur et cruel, plein d'une sensualité prenante. nessuna recensione | aggiungi una recensione
Premi e riconoscimenti
"At fifteen, Esclarmonde realizes that the only way out of her betrothal is to renounce her freedom and a part of herself. Rather than accept the hand of a philandering knight, she cuts off her own ear and declares herself to be the mistress of Christ. She uses her dowry to build a stone chapel, where she entombs herself, inhabiting a magical place between the living and the dead. Out of the ashes of her former self arises the Virgin of Whispers -- a mystical being whose prescient murmurs can alter the fate of a kingdom."--Book jacket. Non sono state trovate descrizioni di biblioteche |
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Google Books — Sto caricando le informazioni... GeneriSistema Decimale Melvil (DDC)843.92Literature French French fiction Modern Period 21st CenturyClassificazione LCVotoMedia:
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J’ai adoré le début mais mon enthousiasme n’a fait que décroitre tout au long de ma lecture, dû au caractère de l’héroïne.
Je rappelle l’histoire pour ceux qui comme moi ne la connaissait pas. L’héroïne, Esclarmonde, unique fille d’un seigneur de Bourgogne, choyée par son père, vit une vie paisible mais un peu trop surprotégée. En âge de se marier (on est au XIIième siècle), son père la destine à un jeune homme qu’il a élevé comme son fils et qu’il porte en haute estime, et qui est reconnu pour ses talents guerriers mais aussi pour être brutal envers les femmes. Refusant de se plier au désir de son père le jour du mariage, elle se coupe une oreille et lui demande de faire construire un réclusoir, attenant à la chapelle du château, pour se dédier à Dieu. Le matin de l’enfermement se passe un évènement décisif qui changera complètement la donne de son engagement et surtout la tournure du roman. Personnellement, j’ai trouvé que cet évènement était un peu trop too much.
C’est à partir de ce moment là que le roman a commencé à moins me plaire. On voit que le point commun entre les deux livres est le fait que les deux héroïnes voient, dans la réclusion, un moyen de gagner une liberté que les femmes n’avaient pas à l’époque, en France ou en Angleterre. Dès le départ, Carole Martinez présente une héroïne avec beaucoup plus de caractères que celle de Robyn Cadwallader, avec une vraie voix et la volonté de reprendre une partie du langage du Moyen-âge (cela ne parle pas moyenâgeux non plus mais cela en donne l’impression). C’est un peu une femme moderne au Moyen-Âge. Cela m’a plu, au départ (cela correspond environ au cent premières pages).
Au fur et à mesure que j’avançais dans ma lecture, Esclarmonde a commencé par me taper sur le système car elle était devenu tout simplement trop sûre d’elle. Clairement, je n’ai pas compris ses motivations religieuses et elles ne sont pas particulièrement explicitées. Mais au fur et à mesure de sa réclusion, elle devient de plus en plus humaine, de plus en plus sûre d’elle et odieuse quand elle utilise le pouvoir qu’elle a, en tant que recluse, auprès des serfs de son père ou des pèlerins de passage. Alors qu’elle est censée se rapprocher de Dieu, elle semble plus impliquée dans la vie du village et du château que jamais. Là où Robyn Cadwallader tenait 400 pages, dans un réclusoir, avec comme toile de fonds un village anglais, Carole Martinez ne tient pas 220 pages sur le thème et privilégie la peinture d’une époque, certes très réussie mais ce n’est pas ce que je cherchais.
De plus, comme je l’ai déjà dit, je ne suis pas quelqu’un de religieux et j’ai donc énormément de mal à comprendre les convictions religieuses qui rendent un peu hystérique ou qui ne sont pas dictées par une réflexion personnelle. Bien sûr, la Sarah de Robyn Cadwallader croyait dans un Dieu qui lui avait été imposé par son époque, son pays, sa famille. Elle n’ont plu voulait une liberté qu’elle ne pouvait avoir autrement et voulait devenir une sainte en se rapprochant de Dieu. Après la réclusion, on voyait tout le processus de raffermissement de sa foi, la difficulté d’adaptation à cette nouvelle vie, très dure. L’évènement too much de Carole Martinez fait qu’on ne voit pas tout cela ; il rend l’intrigue plus moderne mais détourne le livre de son sujet de base, qui était ce qui m’intéressait.
Si l’on dépasse cette déception initiale et que l’on s’intéresse au Moyen-âge, le livre est très intéressant et semble bien documenté. On peut en apprendre beaucoup sur les croyances de l’époque, la vie dans un château, les relations de servage entre les différents seigneurs et sur les croisades. J’ai personnellement trouvé que les autres personnages restaient un peu en retrait par rapport à Esclarmonde parce que justement, celle-ci a une voix extrêmement forte. Pour moi, l’intérêt se situe plutôt au niveau Histoire que personnages.
Une lecture en demi-teinte donc, sûrement car j’y cherchais ce qui ne s’y trouvait. Je l’aurais lu dans un autre contexte, peut être m’aurait-t-il plu. ( )