Émile Verhaeren (1855–1916)

C'est le sentiment d'amitié indéfectible que Stefan Zweig portait à Émile Verhaeren qui m'a donné envie de lire Les heures claires. Pourtant, ce texte de poésie qui rend hommage à l'amour et à la femme aimée a peu résonné en moi. C'est sûrement en grande partie dû à la sonorité des phrases que je trouve assez fade et manquant de rythme. Quelques jours seulement après la lecture du texte, le tamis de la mémoire n'a pour ainsi dire rien retenu. Si pépites il y a, je n'aurai pas su les saisir ni les retenir.… (altro)