Informazioni generali

Nome canonico: Galsan Tschinag
Nome legale: Irgit Schynykbai-oglu Dshurukuwaa
Data di nascita: 1944-12-26
Sesso: male
Nazionalità: Mongolia
Luogo di nascita: Bayan-Ölgii Province, Mongolia
Luogo di residenza: Ulaanbaatar, Mongolia
Germany
Istruzione: University of Leipzig
Attività lavorative: shaman
Premi e riconoscimenti: Marburger Literaturpreis (2012)
Heimito von Doderer-Literaturpreis (2001)
Adelbert-von-Chamisso-Preis (1992)

Utenti

Recensioni

The Blue Sky: A Novel (Seedbank) di Galsan Tschinag

This was the first book I read by a Mongolian author, for both the Read Across Asia and the Read the World challenges. Child narrator will leave you with some questions about the culture, but I loved that kid and was with him all the way. Autobiographical fiction about the shifting of traditional Tuvan culture under 20th century pressure to assimilate.

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greeniezona | 14 altre recensioni | Mar 10, 2024 |

The Blue Sky: A Novel (Seedbank) di Galsan Tschinag

A fictionalised account of the author's childhood in 1950s Mongolia, The Blue Sky is at its best when Galsan Tschinag is both showing us the rich texture of nomadic daily life and how much the child narrator doesn't understand about what's going on around him. As a Soviet satellite, mid-20th-century Mongolia underwent a process of livestock collectivisation and political purges, and passing references to "kulaks" clues in the reader to what the narrator's parents are so worried about. The pacing is slow, but occasionally feels too deliberately so, and the ending smacks too much of "Book 1 of 3." Still, the writing is often beautifully evocative, and the build up to the ending works very well.… (altro)

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siriaeve | 14 altre recensioni | Feb 14, 2024 |

The Blue Sky: A Novel (Seedbank) di Galsan Tschinag

Galsan Tschinag is a Mongolian author, actually part of the Tuvan people who live there. This book is a memoir of his childhood and focuses on his relationship with his grandmother and his dog. As his loses these relationships, it also seems that some of the Tuvan people's way of life is also changing and being lost. More and more, outside forces begin to change life for these people.

I liked this, but didn't love it as much as Lisa (labfs39). I like stretching my worldview by reading books like this, but at the same time I often find them hard to connect with. That was the case here. Not having any background in the region or culture, I think I missed some of the significance of the changes that were happening and also was a little lacking in a framework for the cultural knowledge that would have added to my enjoyment.

I still would encourage people to seek this book out, but it wasn't a favorite for me.… (altro)

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japaul22 | 14 altre recensioni | May 13, 2023 |

La Fin du chant di Galsan Tschinag

En réalité, on sait bien que la nature, toute cette grande vie alentour, est insensible à la souffrance d’une mère animale, au destin d’un poulain et aux efforts vains d’un être humain. (p. 7).

N’était-ce pas le soupir des fleurs qui s’étaient redressées le matin même avec ardeur, s’offrant joyeusement au soleil, et qui attendaient maintenant leur déclin ? N’était-ce pas celui des herbes dont la vie consistait à croître en dépit du bétail, des fraîches nuits de gelée et des orages incessants ? Celui des forêts encore présentes ? Des pierres inertes, apparemment éparpillées au hasard, et pourtant animées en réalité d’une vie exigeante et haute en couleur ? Cette plainte n’émanait-elle pas de tout ce qui vivait ou semblait ne pas vivre, engagé cependant dans une âpre lutte pour l’existence ?
(p. 157-158).

A y regarder d’un peu plus près, c’est peut-être bien le premier roman de Galsan Tschinag que je lis, après ses récits autobiographiques et un recueil de deux longues nouvelles. Et c’est un petit bijou que j’ai découvert sous cette couverture toute verte toute simple.
Nous sommes dans les steppes de l’Altaï, au cœur d’une famille qui a connu des malheurs et des bonheurs aussi. Shumuur est veuf depuis peu, cette histoire est la sienne, mais aussi surtout celle Dombuk sa fille aînée qui chante comme une future chaman, et de Gulundshaa, la belle femme qui aime Shumuuk. C’est une histoire simple, où il ne se passe pas beaucoup de choses, à part une jument qui accepte de nourrir un poulain qui n’est pas le sien (tout un symbole de la famille de Shumuuk), un repas partagé, une yourte déplacée… Une histoire toute simple de la vie ordinaire, avec ses moments de tendresse et aussi ses moments de violence.
Et l’on a l’impression d’être transporté dans un autre monde, ou hors du temps peut-être, dans un ailleurs qui malgré sa dureté et ses habitants taiseux fait rêver. Mais alors, le dernier chapitre, en nous projetant quelques trente ans plus tard pour nous brosser à grands traits le devenir des personnages principaux, nous ramène dans la réalité et donne un relief tout différent à cette lecture.
C’est un livre tout simple avec lequel pourtant on apprend beaucoup sur la vie des Touvas, sur leur histoire récente et sur l’évolution (pour ne pas dire la disparition) de leur civilisation. C’est aussi un livre qui fait beaucoup réfléchir, et qui semble étrange car Galsan Tschinag semble justement assez fataliste quant à cette disparition. Il est parti et semble nous dire qu’il n’est donc plus légitime pour critiquer ce qui se passe sur place, que ce soit ce que font les Touvas ou les Kazakhs qui se sont installés plus récemment. C’est un regard étrange, plein de sagesse et peut-être de renoncement. Un regard et une histoire qui peuvent paraître tristes, mais Galsan Tschinag semble nous inviter à en conserver l’image en nous, sans chercher à la chercher dans la réalité. Ce livre est la fin de plusieurs chants, celui de Dombuk qui finit par amadouer la jument, celui d’un peuple aussi, c’est un livre qui a de nombreux niveaux de lecture, du singulier au général, du réaliste au symbolique. Une lecture qui m’a touchée, plus que je ne m’y attendais, touchée par sa simplicité au premier abord mais aussi par les sentiments complexes qu’elle véhicule. Une très belle œuvre de fiction, qui mérite d’être lue et relue.… (altro)

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raton-liseur | Jan 3, 2023 |

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