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Leonard Merrick (1864–1939)

Autore di Mr Bazalgette's Agent

28+ opere 179 membri 5 recensioni

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Comprende il nome: Leonard Merrick

Opere di Leonard Merrick

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Informazioni generali

Data di nascita
1864-02-21
Data di morte
1939-08-07
Sesso
male
Luogo di nascita
London, England
Luogo di morte
London, England

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Recensioni

Ce mois-ci, Un mois Un éditeur, opération lancée par Sandrine du blog Tête de Lecture, s’intéresse à un éditeur que j’aime particulièrement L’Arbre Vengeur. Il est très facile pour moi de participer, vu que j’en ai un certain nombre dans ma pile à lire … je tairais le nombre par décence.

Pour ma première participation, j’ai pioché ce livre, sans avoir relu la quatrième de couverture. Dans ma tête, je me dis que puisque j’ai acheté le livre il va forcément me plaire à un moment ou à un autre, il suffit donc d’attendre le bon. En général, cela me mène à essayer le livre et à le laisser tomber jusqu’à la prochaine fois si il ne me convient. Mais bon ici, j’ai tout de suite accrochée. Première surprise en ouvrant le livre (c’est mieux pour le lire) : il s’agit d’un recueil de six nouvelles. Le livre est court, 120 pages. Chacune des nouvelles ne fait que 20 pages. Deuxième surprise : l’auteur vivait dans l’Angleterre de la fin du dix-neuvième siècle et du début du vingtième siècle et a connu en ce temps là une certain célébrité : ses œuvres ont été éditées en 15 volumes tout de même et présenté par H.G. Wells, G.K. Chesterton et J.M. Barrie. Il est aujourd’hui oublié des deux côtés de la Manche. C’est un choix de six de ses nouvelles que publie L’Arbre vengeur dans ce livre.

Les six nouvelles ont un thème commun, traité de manière différente mais toujours avec un humour (noir) et une ironie (mordante). Un personnage masculin, auteur, dramaturge ou compositeur (créateur donc souvent malheureux), rencontre dans sa vie privé différents problèmes, plus ou moins conscient, d’ordre domestique avec la gente féminine. Je vais essayer de résumer chaque nouvelle en quelques phrases pour ne pas trop en dévoiler.

L’Homme qui comprenait les femmes : Un écrivain à succès tout relatif est remarqué pour sa capacité à comprendre la psychologie féminine. Il finit par y croire malgré des expériences qui lui montrent qu’il a encore du chemin à faire.

Frankenstein II : Un dramaturge raconte à un journaliste tout ce que lui a coûté la création de sa pièce, en argent et en malheur et pourquoi il a continué malgré tout.

Avec Intention frauduleuse : Un écrivain, marié avec un enfant, malheureux en mariage et au travail, en a marre de tout et décide donc d’en finir. Il veut cependant auparavant assurer l’avenir de sa famille.

Les Violettes : Un homme quitte une femme (mariée) à regret. Elle part à Paris, lui reste à Londres. Il promet de l’attendre et de lui rester fidèle à jamais. Pour le lui prouver, il lui envoie chaque année, des violettes pour son anniversaire. Cinq ans après la séparation, ils se rencontrent par le plus grand des hasards …

Les Trois M : Un homme, compositeur de métier, est déçu de sa carrière dans la musique (pas assez de reconnaissance) et de son mariage. Découvrant que ses malheurs commencent tous par un M, il s’évite tous les problèmes commençant par cette lettre maudite jusqu’au jour où on lui apprend qu’il a une maladie en M et que celle-ci nécessite obligatoirement une opération. Ce sont les suites de celle-ci qui nous sont expliquées dans la nouvelle.

La Comédie de l’Évêque : un Évêque a écrit dans le plus grand des secrets une comédie qu’il fait lire à une comédienne célèbre dont il est épris (chastement bien sûr) et qui s’éprend à son tour de lui progressivement. Le problème est qu’il y a une femme dans l’affaire, qui est là depuis 25 ans tout de même.

Enfin, un recueil de nouvelles comme je les aime. Chacune est courte (comme je l’ai dit, 20 pages « seulement »), a un nombre de personnages plantés rapidement, un décor (une scène) souvent unique et joue sur une seule situation ou intrigue. Chacune est traitée avec ironie, possède une chute bien sentie.

Il est dit sur un des rabats du livre que Leonard Merrick s’inspirait de sa vie personnelle. Il a du être bien déçu par les femmes ce pauvre homme vu que les femmes (mariées) sont dans la plupart des textes présentés ici source de désolation, de désappointement et de malheurs. Elles aiment trop, sont étouffantes, un peu trop mièvres, un peu trop promptes à vouloir vivre comme dans un roman d’amour. L’homme lui doit supporter en silence car c’est son rôle (il prévoit l’avenir de sa famille en cas de mort par exemple). Sauf que comme je l’ai dit, tous les thèmes sont traités avec ironie. La femme se révèle le plus souvent plus terre à terre que son mari ou amant qui n’est pas aussi « aimé » qu’il aime à le croire (le mari se plaint sans penser que sa femme peut penser pareil). Ce que j’énonce là ne sont cependant pas des généralités, il y a dans chaque nouvelle un détail qui surprend, par rapport à ce qu’on peut s’imaginer sur ce que l’auteur aurait pu faire.

Les thématiques abordées sont donc très « modernes » et ne ressemblent pas franchement à ce que l’on peut lire dans des livres datant d’avant les années 1930. Cette modernité est d’autant mieux soulignée par une excellente traduction de Jules Castier qui n’est pas du tout datée ou vieillotte.
… (altro)
 
Segnalato
CecileB | Jan 1, 2017 |
Miriam Lea, the protagonist of this novel, may not be a very good detective but she is a fascinating character.

The narration takes the form of her diary. She is an acerbic and entertaining narrator and is interesting for what she withholds as much as what she says. She vividly describes her reduced circumstances, living in London in a dreary boarding house. She implies that she is used to better and refers drily to losing her post as a governess because she was previously an actress.

It seems she has a colourful past, but although she drops hints throughout the narrative, it is never entirely clear what her background is and why she finds herself so alone.

She is forthright in describing the terror of poverty. She is just clinging to respectability but, however much she despises her current life, she knows she has further to fall. She is exasperated by her failure to find employment and weary of the disbelief of those who would say she just isn’t trying (contemporary resonances there).

However, she maintains her spirits in part by looking down on those who are in the same precarious situation as her, rather than finding any sense of solidarity.

In desperation she turns to a private investigator for work, after spending the last of her money on a good pair of gloves, knowing that ‘the less you look in want of the thing you solicit the more likely you are to get it’.

It seems her problems are solved when she is offered an assignment which requires her to travel Europe, staying in top hotels in the guise of a wealthy widow, while pursuing a fugitive. But this opportunity throws up other challenges.

The plot doesn’t stand up to scrutiny and for this reason I think many fans of contemporary crime fiction would find this novel lacking. But it is an interesting piece of social history and the more enduring mystery is Miriam Lea herself.
… (altro)
 
Segnalato
KateVane | 2 altre recensioni | Apr 25, 2015 |
Interesting as one of the first novel-length stories about a female detective. The heroine (who tells the story to her diary) is a poor unemployed gentlewoman (poverty vividly described0 in London who takes a detective job out of pure desperation. She is assigned to find a fleeing embezzler. She tracks what se believes to be the main across Europe and eventually to South Africa ad the diamond fields at Kimberley, where she falls in love with him and suffers a conflict of love and duty which is resolved in a neat, but to me unsatisfying, manner. She does not display great detective abilities other than persistence. The story is competently written but more a travelogue than a mystery. Merrick wrote many more books, but no more mysteries.… (altro)
 
Segnalato
antiquary | 2 altre recensioni | Mar 27, 2015 |

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