Marc-Antoine Mathieu

Septième volume des aventures de Julius Corentin Acquefacques, prisonnier des rêves. Album ardu qui aborde le concept d'infini, l'infiniment grand et l'infiniment petit pour en chercher, dans une course absurde et illusoire, une éventuelle limite, ou au moins une définition. Les titres des chapitres parlent d'eux même : Multirêves (avec la mise en abîme.... infinie), le petit réel, un fini, l'infiniment fini, par-deçà le fini, le quasi-tout et le presque rien, l'horizon des évènements ou du finiiiiiiiiiii;.. et l'indéfini des évènements, au-delà de l'au-delà. Album qui demande de la concentration et quelques bonnes bases de culture générale.. Bref j'ai pris moins de plaisir pour cet album que pour les précédents. Marc Antoine Matthieu poursuit sa réflexion philiosophique et métaphysique. On retrouve une nouvelle fois l'art de Marc Antoine Matthieu de jouer avec l'album objet et les pages. Cette fois-ci des pages qui vont en se réduisant de plus en plus vers l'infiniment petit, puis une page se dépliant pour créer une ouverture dans le chapitre 7avec un chapitre 7,5 (clin d'oeil à Harry Potter avec la quai 9.3/4)… (altro)

"Here are the most intelligent comics the world has to offer". So it says in the flyleaf.

Okay. . . .

This is a short black and white graphic novel that takes place in some alternate world. The Expert - Eudeus Volumer - must catalog everything in a museum with it's original name long forgotten, consigned to anagrams of paintings and rooms and names.

Everything is now below-ground. There are many, many, many sub-basements filled with everything imaginable. The first art work, the molds of every statue every made, frames that exist for frame's sakes, a flood basement with the tips of the statues showing above the water. Even a classroom where guards are taught the proper method of saying "tss tss don't touch the painting" (a phrase I've heard myself as a kid at the museum!) and a sub-basement dedicated to the act of unrestoring the restored statues and restoring them in a way that shows they are actually restored but can be unrestored again when fashions in restoration change. . . .

I finally read the back cover. "Stinging irony to the pompousness of art history". Ah, I get it.

But I didn't love it.… (altro)