Bede Griffiths (1906–1993)
Autore di The Golden String: An Autobiography
Sull'Autore
Opere di Bede Griffiths
The space in the heart of the lotus Bede Griffiths: a Benedictine in India [video recording (1987) — Featured — 1 copia
India and the Eucharist 1 copia
Smuggling in Seaham — Traduttore — 1 copia
Opere correlate
Christ in the lotus : an interview with Bede Griffiths [video recording] (1985) — Interviewee — 2 copie
Etichette
Informazioni generali
- Nome canonico
- Griffiths, Bede
- Altri nomi
- Swami Dayananda
Griffiths, Alan Richard (birth name) - Data di nascita
- 1906-12-17
- Data di morte
- 1993-05-13
- Sesso
- male
- Nazionalità
- UK
- Luogo di nascita
- Walton-on-Thames, England, UK
- Luogo di morte
- Shantivanam, Tamil Nadu, India
- Luogo di residenza
- Prinknash Abbey, England, UK
Kurisumala Ashram, Kerala State, India
Shantivanam Ashram, Tamil Nadu, India - Istruzione
- University of Oxford (Magdalen College) (1929)
Christ's Hospital - Attività lavorative
- Catholic priest
Benedictine monk
Camaldolese monk - Relazioni
- Lewis, C. S. (teacher, friend)
Barnhart, Bruno (colleague) - Organizzazioni
- Roman Catholic Church
Prinknash Abbey
Syro-Malankara Catholic Church
Christian Ashram Movement
Order of St. Benedict
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Return to the center di Bede Griffiths
" All religions are historically conditioned and though the absolute may be found making itself known and communicating itself in a religion, the religion itself can never be absolute in the sense of being free from historical and cultural conditions." Bede Griffiths
If modern civilization has lost sight of the goal that all ancient cultures held steadily before their eyes --a religious goal-- how is man to recover the sense of the absolute and the unconditioned to which he can commit himself?
So many writers on spiritual matters have named Bede Griffiths as a key influence in their spiritual lives. As is typical of the highly evolved, he has little new to say about the spiritual path; but his gentle soul and intelligence always shine through. Perhaps best known as a voyager to India and an important mid-century catalyst in bringing the Hinduism to the West (it worked less well in reverse), he seems someone well worth getting to know.
> BAnQ (Relations, déc. 1979, pp. 344-345) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2507648
> LES NOCES DE L'ORIENT ET DE L'OCCIDENT, de Bede Griffiths (2020, Les Deux Océans, 208 p., 14 €). — La question de la rencontre entre Orient et Occident est la grande question de ce siècle. Les humains voyagent et migrent, porteurs de leurs empreintes culturelles et religieuses. L’Occident dont les modes de connaissance s’ancrent dans un rationalisme souvent trop sec, l’Orient ouvert à une part intuitive, féminine de l’être. L’Occident pour qui seule la matière existe, l’Orient pour lequel le monde phénoménal est une illusion. Bede Griffiths, moine bénédictin tombé (relevé ?) sous le charme de l’Orient, a dirigé en Inde l’ashram de Henri Le Saux qui fut éclaireur de cette rencontre entre Orient et Occident. Il voit la puissance du monde occidental, « produit d’un esprit rationnel, agressif, violent » qui ne « peut qu’aboutir à la destruction des cultures traditionnelles de l’orient ». En même temps, la « domination occidentale est en passe d’être résolue », le centre de gravité du monde se déplaçant vers l’Asie. Quoi qu’il en soit, l’auteur est clair : le monde a besoin de ces deux pôles, le masculin porté par l’Occident et le féminin porté par l’Orient. Mais la dimension contemplative, nous dit-il, a presque complètement disparu de l’Occident et subit les assauts de la pensée rationnelle en Orient. Les religions, perdant ainsi le goût de la transcendance, d’une dimension non mentale, d’une qualité de silence qui se découvre et est indépendante de tout schéma mental (l’unification vibratoire entre le corps, la pensée alors sous la forme d’une attention totale, et le sentiment dissout la pensée conditionnée), se rigidifient et existent de plus en plus par un affichage de signes extérieurs. Avec toute la compréhension fine qu’il aura acquise au carrefour de ces traditions, l’auteur examine les mythes fondateurs de trois religions : révélations védique, judaïque et chrétienne. Il voit le danger de rester bloqué chacun dans son mythe et son histoire, alors même que les mythes ne sont qu’une façon imagée de retranscrire une réalité intraduisible en mots. Or, « il nous faut aller, au-delà du mythe, au Mystère lui-même, au-delà du mot, de la pensée, de la vie et de la mort ». C’est là que l’humanité peut trouver le chemin de l’harmonie, dans cette compréhension du dedans que tout concept et toute image doit être abandonné. C’est une voie de non dualité à laquelle nous sommes invités dans ce livre inspirant.
—3e millénaire, (139), Printemps 2021… (altro)
> LES NOCES DE L'ORIENT ET DE L'OCCIDENT, de Bede Griffiths (2020, Les Deux Océans, 208 p., 14 €). — La question de la rencontre entre Orient et Occident est la grande question de ce siècle. Les humains voyagent et migrent, porteurs de leurs empreintes culturelles et religieuses. L’Occident dont les modes de connaissance s’ancrent dans un rationalisme souvent trop sec, l’Orient ouvert à une part intuitive, féminine de l’être. L’Occident pour qui seule la matière existe, l’Orient pour lequel le monde phénoménal est une illusion. Bede Griffiths, moine bénédictin tombé (relevé ?) sous le charme de l’Orient, a dirigé en Inde l’ashram de Henri Le Saux qui fut éclaireur de cette rencontre entre Orient et Occident. Il voit la puissance du monde occidental, « produit d’un esprit rationnel, agressif, violent » qui ne « peut qu’aboutir à la destruction des cultures traditionnelles de l’orient ». En même temps, la « domination occidentale est en passe d’être résolue », le centre de gravité du monde se déplaçant vers l’Asie. Quoi qu’il en soit, l’auteur est clair : le monde a besoin de ces deux pôles, le masculin porté par l’Occident et le féminin porté par l’Orient. Mais la dimension contemplative, nous dit-il, a presque complètement disparu de l’Occident et subit les assauts de la pensée rationnelle en Orient. Les religions, perdant ainsi le goût de la transcendance, d’une dimension non mentale, d’une qualité de silence qui se découvre et est indépendante de tout schéma mental (l’unification vibratoire entre le corps, la pensée alors sous la forme d’une attention totale, et le sentiment dissout la pensée conditionnée), se rigidifient et existent de plus en plus par un affichage de signes extérieurs. Avec toute la compréhension fine qu’il aura acquise au carrefour de ces traditions, l’auteur examine les mythes fondateurs de trois religions : révélations védique, judaïque et chrétienne. Il voit le danger de rester bloqué chacun dans son mythe et son histoire, alors même que les mythes ne sont qu’une façon imagée de retranscrire une réalité intraduisible en mots. Or, « il nous faut aller, au-delà du mythe, au Mystère lui-même, au-delà du mot, de la pensée, de la vie et de la mort ». C’est là que l’humanité peut trouver le chemin de l’harmonie, dans cette compréhension du dedans que tout concept et toute image doit être abandonné. C’est une voie de non dualité à laquelle nous sommes invités dans ce livre inspirant.
—3e millénaire, (139), Printemps 2021… (altro)
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Seeking the Soul (1)
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