Arlette Cousture

Le livre se découpe en deux parties: les premières années en Pologne pendant la Seconde Guerre mondiale, puis l'immigration de la famille au Canada. Les premiers chapitres où l'on apprend à connaître la famille sont vivants, intéressants et originaux. Plus le livre avance, plus il devient mièvre, voire moraliste, jusqu'à la fin où il tourne carrément (et de façon prévisible) au mélodrame.
Dommage que Cousture n'ait pas su garder un ton égal. En raccourcissant des scènes et tranchant dans les malheurs, elle aurait atteint un rythme bien plus réaliste et équilibré.
C'est définitivement un roman passé de mode.… (altro)

> LES FILLES DE CALEB, par Arlette Cousture. — Un véritable retour en arrière, au pays de nos ancêtres. La vie d'Émilie nous y est racontée. Nous découvrons passionnément sa jeunesse, son désir d'être instruite, son métier d'institutrice et sa rencontre avec le beau Ovila. Quel plaisir de lire le début de leur amour! On aurait cru qu'ils fileraient le parfait bonheur mais la vie en ce temps-là était difficile.
-- Ce livre est vraiment le récit d'une aïeule d'Arlette Cousture. Il nous décrit comment était la vie en ce temps-là, avec ses joies et ses difficultés.
—Nathalie Bellemare, St-Boniface (ICI.Radio-Canada.ca)… (altro)