L'histoire est celle de Brick, ex-footballeur devenu alcoolique après avoir cessé de jouer (Paul Newman, beau à tomber et tenant formidablement son rôle) et de sa femme (Elizabeth Taylor) qui désespère de ne pas être aimée en retour par son mari.
Le film relate cette tension en huis-clos (le film est essentiellement du théâtre filmé) qui n'est pas sans évoquer celle de "Who's afraid of Virginia Woolf?" mettant en scène la même actrice.
La tension provient également de la famille de Brick. Son père ("Big Daddy"), patriarche ayant fait fortune et ayant toujours tout mené d'une main de maître, est en fin de vie. Son fils aîné, marié à une imbécile et vénale à laquelle il a fait une ribambelle d'enfants, essaie d'obtenir le maximum de l'héritage à venir tandis que son frère Brick continue à se consumer dans l'alcool avec la plus parfaite indifférence.
Quand ce dernier apprend à son père, par un écart de langage, que sa maladie est incurable, les deux hommes entament à leur tour un long affrontement alors que le père s'est réfugié dans la cave de la maison pour pouvoir éprouver sa douleur (physique et psychologique) à l'écart de sa famille qui l'étouffe.
La deuxième partie du film, dans laquelle se déploie l'excellent duo Paul Newman-Burl Ives (Big Daddy) est la plus intéressante. De manière générale, le film peine à intéresser en raison de son style trop factice et théâtral qui a beaucoup vieilli. ( )

A southern family deals with their relationship issues.

It seems unnatural and forced that any of the crucial confrontations happen at all. It's like everyone has appointed themselves to be every else's therapist. Otherwise, it does pretty well. Southern Melodrama has zero draw for me, but this held my interest.

Concept: D
Story: C
Characters: A
Dialog: B
Pacing: B
Cinematography: B
Special effects/design: B
Acting: B
Music: B

Enjoyment: B

GPA: 2.8/4 ( )

108 minutos