Tome 1 : "1937. La crise n'en finit plus de sévir. Ce n'est plus l'horreur de 1932, mais le contexte demeure difficile. Chacun s'accroche à son emploi, ou en cas de chômage, se désespère de trouver une nouvelle place. Louis Bujold a perdu le travail qu'il occupait à Ottawa. Il devra donc partir à Montréal pour en trouver un autre, grâce à la complicité d'un ami de son père. Dans la grande ville, il se greffe à un microcosme, celui d'une pension de famille. Elle est tenue par Cédulie Caron, une veuve, et sa grande fille Précile, toujours célibataire à trente ans. Son fiancé des dix dernières années, Edmond, s'avère incapable de fonder une famille, car il doit entretenir ses vieux parents. Cédulie suggère fortement à sa fille de rompre, afin de se donner une chance de faire sa vie avec un autre homme, mais Précile s'y refuse toujours. Au contraire, elle tentera de bousculer les événements. Louis fait aussi une très agréable rencontre à son nouveau travail, une société d'assurance-vie. Toutefois, la jolie Constance se montre insensible à ses charmes. Mais le jeune homme n'est pas du genre à se décourager rapidement..."-- Fourni par l'éditeur Tome 2 : "1937-1938. Depuis sa rupture, Précile Caron est devenue l'objet d'un véritable harcèlement de la part de son ancien fiancé, Edmond. Celui-ci espionne tous ses faits et gestes et la soupçonne d'impureté avec les hommes habitant sa pension. D'ailleurs, il se montre volontiers menaçant lors de leurs rencontres. Par ses médisances, il écorche la réputation de la jeune femme. Heureusement, certains de ses locataires se montrent de parfaits chevaliers servants. Pour Constance, sa situation de jeune mère célibataire est encore plus délicate. Désireuse de ne pas se retrouver au ban de la société, elle a construit un mur autour d'elle. Cependant, Louis ne se compte pas pour battu. Pour le jeune homme, offrir son amitié à Constance en espérant que leur relation se transforme en liaison amoureuse représente le plus beau des défis."-- Fourni par l'éditeur